Catégories
Livre

Les Années Charlie 1969-2004 – François Cavanna et Philippe Val

Les Années CharlieTitre Original : Les Années Charlie 1969-2004
Genre :
 
BD, politique, littérature française
Auteur : François Cavanna et Philippe Val
Année :  2004
Nombre de pages : 145

Résumé : Pas très dur de résumer, il s’agit ici d’égrener la vie de l’hebdo depuis sa naissance sur les cendres d’Hara-Kiri, de contextualiser un peu les dessins présentés pour chaque année.

Ce que j’ai aimé : Le format du livre 25×34 cm. Je n’avais jamais lu un livre de cette taille : du coup, j’avais l’impression que le monde était grand et que je redevenais petite. Ça tombe bien, j’ai emprunté ce livre à la biblio pour me retrouver, non pas en enfance, mais à la fin de mon adolescence, période où j’étais lectrice assidue du journal. Le fait que l’édition date de 2004, donc « Avant » redonne au journal sa légèreté, son humour pipi-caca et son côté incisif-doigt-dans-la-plaie-purulente. Rien n’est idéalisé et pas de pleurnicheries, ni de sacralisation. J’ai aussi pu refermer une page sur Charlie, ce journal que j’avais tant aimé, mais qui correspond à une de mes époques. J’ai pu voir qu’ils n’avaient jamais changé d’un iota, c’est juste moi ainsi que le monde qui m’entoure qui a changé. Bref, à lire un après-midi pluvieux sous un plaid avec un bon café, ou pour passer le temps à #NuitDebout, qui sait.
Ce que je n’ai pas aimé : J’en ai chié sur la première moitié : un manque de contexte politique (pour les années 60-70 surtout). Il y a sur certaines planches également trop de dessins, ce qui les rend rikiki et assez illisibles.

Note : 2/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

Le chien couchant – Françoise Sagan

le chien couchantTitre Original : Le chien couchant
Genre :
 
roman, contemporain, littérature française
Auteur : Françoise Sagan
Année :  1980
Nombre de pages : 158

Résumé : Guéret, c’est le petit comptable minable de la fabrique du coin. Un soir, en rentrant du boulot, après une journée de merde, comme toutes les autres, il se fait suivre par un chien galeux. Forcément, ça l’énerve. Par un pur hasard, il trouve au pied d’un terril une sacoche avec des bijoux. Et ça, ça lui tourne la tête. Guéret rentre dans sa pension de famille. Sa logeuse, une quinqua froide comme une porte de prison, commence à se douter de quelque chose. Lorsque paraît l’article de journal parlant d’un meurtre sordide et de l’histoire des bijoux, Maria commence à s’intéresser à Guéret, voire même à lui faire du gringue.
Guéret, il a sa petite bobonne, qu’il saute tous les week-ends, mais que Maria s’intéresse à lui, ça lui fait pousser des ailes. Il n’est pas dupe, il sait bien que c’est parce qu’elle le prend pour un voyou. Alors il va se lancer et vivre son mensonge à fond la caisse. Même si sa personnalité de minable va rendre difficile d’endosser ce rôle de bad boy.

Ce que j’ai aimé : C’est une entrée en matière pour moi dans la Sagan-bibliographie. L’ambiance est assez morose et noire, on est dans le côté obscur et misérable de l’humanité, c’est le côté fort de ce roman. Mettez-le dans votre valise pour un week-end pluvieux en Baie de Somme, vous ne serez pas dépaysé.
Ce que je n’ai pas aimé : Encore un roman qui sent la naphtaline, et qui ne reste pas inoubliable.

Note : 2/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

L'amour, Béatrice – Janine Boissard

L'amour, BéatriceTitre Original : L’amour, Béatrice
Genre :
 
roman, épistolaire, romance, littérature française
Auteur : Janine Boissard
Année :  1990
Nombre de pages : 249

Résumé : Le roman s’ouvre sur la lettre de Jean. Il a vu Béatrice sur scène lors d’une conférence sur l’enfance maltraitée et son intervention lui a fait de l’effet. Béatrice est en effet bénévole dans une asso qui s’occupe des jeunes enceintes. La Béa, contre toute attente, lui répond et commence à lui raconter des bouts de vie. On découvre qu’elle est dans une belle cage dorée : épouse de diplomate, mère au foyer, fille qui a des choses à régler avec sa reum. Ça tombe bien, Jean est psy. Il tente de lui faire prendre confiance en elle. Ça marche tant et si bien que, malgré leur pacte de ne jamais se rencontrer ni même se téléphoner, Béatrice va commencer à les barreaux de sa cage dorée.

Ce que j’ai aimé : Je l’avoue franchement, j’ai pioché ce livre au hasard, sans même avoir une idée de sa 4e de couv’ et c’est finalement une bonne surprise. Le côté épistolaire rend le récit très léger, facile à lire. L’écriture, un peu désuète (j’aurais même pensé que le bouquin datait des années 60), est très élégante et fluide. On se laisse bien embarquer. C’est un bouquin idéal à emmener le dimanche après-midi à la campagne, pour se dorer la pilule au soleil après un déjeuner de famille qui s’est éternisé.
Ce que je n’ai pas aimé : La couv’, le titre, le nom de l’auteur, le pitch, tout ça sent bien la naphtaline quand même. Si la première moitié est très bien, on sent que vers la fin, la mère Boissard se démène pour que sa belle histoire se termine tout comme il faut. Mais ça reste quand même une feel-good story.

Note : 3/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

Knock – Jules Romains

KnockTitre Original : Knock
Genre :
 
théâtre, humour, littérature française
Auteur : Jules Romains
Année :  1920
Nombre de pages : 152

Résumé : Le Docteur Parpalaid, c’est un toubib qui n’en glande pas une ou presque. Sa patientèle est donc, on ne peut plus autonome, même si dans le coin, il n’y a pas l’air d’y avoir de rebouteux ou de sorcière. Bref, le Parpalaid, il essaie quand même d’enrober sa belle affaire comme un oeuf de Pâques pour la refourguer au Docteur Knock. Ne Pimp My Ride pas qui veut, le Knock, il sent le coup foireux, mais il a de la suite dans les idées et le sens du business. Il commence à se maquer avec le pharmacien, lance une consultation gratuite. Forcément, ça ramène du monde qui ne demande que ça, raconter sa misère. Il est tellement à l’écoute, que parfois même, ça en lance plus d’un à avoir la vocation de la maladie.
« LE TAMBOUR – Quand j’ai dîné, il y a des fois que je sens une espèce de démangeaison ici. Ça me chatouille, ou plutôt ça me gratouille.
KNOCK – Attention. Ne confondons pas. Est-ce que ça vous chatouille, ou est-ce que ça vous. gratouille
LE TAMBOUR – Ça me gratouille. Mais ça me chatouille bien un peu aussi…
KNOCK – Est-ce que ça ne vous gratouille pas davantage quand vous avec mangé de la tête de veau à la vinaigrette ?
LE TAMBOUR – Je n’en mange jamais. Mais il me semble que si j’en mangeais, effectivement, çà me gratouillerait plus. »

Ce que j’ai aimé : Je suis retombée sur cette œuvre, que j’avais complètement oublié de l’intérieur, même si je me souviens d’y avoir passé quelques cours de français bien endiablés au collège. Et cette pièce est non seulement très drôle, avec des personnages bien bourrus et hyper bien dessinés, mais en plus son thème est très contemporain. Knock fait son fond de commerce sur la « peur maîtrisée » : ses clients vivaient très bien avant son arrivée, mais d’un coup, ils se découvrent des maladies qui ne les handicapent pas encore, mais qu’il faut surveiller comme de l’huile sur le feu. Et franchement, quand tu te promènes sur les internettes modernes avec un peu de recul, finalement en un siècle, ça n’a pas tellement bougé. Évidemment, parallèlement à cette lecture, vous conseille de vous taper l’intégrale du Pharmachien. Et d’emmener ce bouquin à votre prochaine consultation : il se lit très vite, et sera du plus bel effet dans la salle d’attente.
Ce que je n’ai pas aimé : Même si le thème reste très actuel, faut pas se leurrer, ça a un peu vieilli quand même.

Note : 3/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

Lettre au père – Franz Kafka

lettre au pèreTitre Original : Brief an den Vater
Genre :
 
biographie, littérature tchèque
Auteur : Franz Kafka
Année :  1952
Nombre de pages : 112

Résumé : L’auteur écrit une lettre qu’il n’enverra jamais à son père. Il revient sur ses années d’enfance : comment il admirait et haïssait ce père autoritaire, qui a fait de lui un être chétif, peu sûr de lui.

Ce que j’ai aimé : Ca se lit très vite, c’est plutôt bien écrit. Kafka écrit à son père mais pour nous tous. Ce qui fait que l’on s’imagine assez bien le personnage.
Ce que je n’ai pas aimé : La lecture, c’est quand même deux heures de torture. Ok, c’est très bien que Kafka ait réussi à sortir tout ce vomi qui était à l’intérieur de lui, mais j’ai observé ceci avec un peu de distance. Du coup, j’ai eu l’impression d’assister à un lavage de linge sale en famille. Je me suis sentie gênée. Surtout parce que ce père n’a jamais reçu cette lettre. A réserver à ceux qui veulent vraiment en savoir plus avec Kafka ou qui ont un truc à régler avec papa.

Note : 1/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

Les Justes – Albert Camus

Les JustesTitre Original : Les Justes
Genre :
 
théâtre, littérature française
Auteur : Albert Camus
Année :  1949
Nombre de pages : 150

Résumé : 1905, dans un appartement Moscovite, un groupe de terroristes révolutionnaire se prépare à tuer le grand-duc lors d’une soirée au théâtre. Ils peaufinent les derniers détails qui jettera chacune des bombes et le timing. Au dernier moment, Kaliayev se débine, parce qu’il croise le regard des neveux du grand-duc.
L’attentat est reporté et finit par réussir deux jours plus tard. Kaliayev est arrêté puis pendu.

Ce que j’ai aimé : Il s’agissait pour moi moi d’une relecture, la première fois ayant eu lieu dans le cadre scolaire. Dans mes yeux d’adolescente, j’avais adoré tout ce romanesque : engager sa vie pour une cause, la révolution pour la fin de la noblesse, l’amour impossible, des personnages marqués et tranchés.
Ce que je n’ai pas aimé : Ma relecture avec mes yeux d’adulte m’a mise très mal à l’aise. Ironie du sort, j’avais mis ce bouquin dans mon sac à main le jour des attentats de Bruxelles. Dans le contexte actuel, plein de choses se sont bousculées dans ma tête. J’ai presque trouvé l’oeuvre déplacée, hors de propos. Alors qu’elle joue son rôle, elle incite d’autant plus à la réflexion.

Note : 3/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

La Route – Cormac McCarthy

la routeTitre Original : The Road
Genre :
 
roman, post-apocalyptique, science-fiction, littérature américaine
Auteur : Cormac McCarthy
Année :  2006
Nombre de pages : 251

Résumé : Post-apo oblige, on est dans un monde dévasté. On ne sait pas vraiment bien ce qu’il s’est passé, mais c’est moche : tout ou presque a brûlé, le ciel est constamment gris, les animaux semblent avoir disparu. Un homme et son fils chargés d’un caddie et de maigres possessions tentent de rallier la mer, pour rallier une hypothétique parcelle de terre habitable. Ils survivent des boîtes de conserve qu’ils trouvent dans les maisons abandonnées.
Ils esquivent le plus possible les autres êtres humains, ou ce qu’il reste de l’humanité. C’est la loi du plus fort et sans nourriture l’humanité en est réduite au cannibalisme. Le père tente d’élever son fils non pas dans l’espoir d’un monde meilleur, mais plutôt pour qu’il garde le souvenir du monde passé.

Ce que j’ai aimé : La couverture scandaleusement pailletée : je peux vous dire que dans les transports en commun, ça a plutôt fait un effet wouahou. Ce bouquin fait affreusement réfléchir sur la condition humaine, le sens de la vie, la mort, l’existence…
Ce que je n’ai pas aimé : La couverture scandaleusement pailletée : mais pourquoi alors que c’est le bouquin le plus glauque au monde? On appelle ça le défaut de la qualité, on va dire. Pour être glauque, il est glauque. Il ne faut pas s’attendre à un Walking Dead alternatif, ou bien à un Malevil. Il ne se passe pas grand chose et en plus l’écriture est un peu horrible, épurée voire dépouillée, comme le monde, mais pénible… Bref, à ne pas lire si vous n’avez pas trop le moral…

Note : 2/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

Chanel m'a dit… – Lilou Marquand

chanel m'a ditTitre Original : Chanel m’a dit…
Genre :
 
biographie, littérature française
Auteur : Lilou Marquand
Année :  1990
Nombre de pages : 163

Résumé : Lilou Marquand, fan absolulu de Mademoiselle Coco, s’endette un jour pour s’acheter quelques tailleurs de la dame. Elle va se planter devant la boutique pendant quelques jours, jusqu’à se faire remarquer. Chanel l’engage d’abord comme RP, puis finit par en faire son assistante/bras droit/exutoire.
C’est donc à travers le regard de l’auteur qu’on va découvrir le petit quotidien de cette grande dame bien fantasque tout au long des années où elle l’a accompagnée, jusqu’à la fin.

Ce que j’ai aimé : Ça se lit vite et au milieu, il y a des photos. (Tu le sens le kif?)
Ce que je n’ai pas aimé : Bon, j’avoue, au départ, je n’étais pas hyper emballée par le sujet. La mode ça me passionne pas, et bon, le tailleur Chanel, ça reste très étrange pour moi. En ce qui concerne l’écriture, bon ça n’est pas un style littéraire très prenant.
J’ai particulièrement détesté le regard de l’auteur : pseudo-fan mais hyper critique et un peu gratuitement. Chanel est un mythe, à quoi ça sert de nous raconter qu’elle est un génie et que donc elle n’a que peu de prise avec la réalité? Ça me paraît assez lié. Lilou Marquand chouine beaucoup sur le fait qu’elle avait une vie impossible à côté de la grande dame, pleine d’horaires au boulot, pleine de délires de la vieille. Du coup, on passe plus de temps

Note : 1/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

Millénium – Stieg Larsson

MilléniumTitre Original : Millenium
Genre :
 
 roman, polar, littérature suédoise
Auteur : Stieg Larsson
Année :  2007
Nombre de pages : 2378

Résumé : Pour le premier tome, Les Hommes qui n’aimaient pas les femmes, deux personnages vont se retrouver à enquêter sur une disparition vieille d’une quarantaine d’années. D’abord, Mikael Blomkvist, ex-journaliste star déchu après un papier mal fichu sur un magnat industriel. Ensuite, Lisbeth Salander, une femelette anorexique, qui parait avoir dix ans de moins que son âge, un peu Goth sur les bords, complètement asociale mais qui a de la ressource. Un autre vieux magnat de l’industrie les embauche pour enquêter sur la mort de sa nièce. Les deux futurs acolytes vont tomber sur un sacré sac de nœuds : famille/meurtres/business, un combo explosif.
Au début du deuxième tome, Super Blomkvist et Lisbeth Salander ne sont plus en contact, le temps a passé. Les deux derniers tomes se concentrent surtout sur l’histoire de Lisbeth. Elle est accusée du meurtre de Dag Svensson, un nouveau collaborateur de Millénium et de sa femme. Le journaliste était sur le point d’achever une grosse enquête à scandale au sujet de la prostitution : nombre de personnes « bien placées » pourraient être amenées à tomber. Super Blomkvist a un peu du mal à croire à la théorie de la police sur la culpabilité de Lisbeth, alors que l’arme du crime porte ses empreintes et que son tuteur, Nils Bjurman, est lui aussi retrouvé mort, la même nuit que les autres.
L’enquête va se poursuivre le long du troisième tome également. On va découvrir que l’histoire de Lisbeth est intimement liée à un gros scandale d’état, impliquant une partie de la Sapö, le service des renseignements. Blomkvist va enquêter pour blanchir son amie, au risque de sa réputation et aussi sa vie.

Ce que j’ai aimé : Moi qui ne suis pas une très grande fan de polars, j’ai compris pourquoi cette trilogie a été un succès mondial. Il ne faut pas avoir peur de plonger dans les plus de deux milles pages du cycle. Comme j’aime assez rester longtemps dans des univers, je me suis sentie comme un poisson dans l’eau. L’écriture de Stieg Larsson est très détaillée, il aime à nous faire visualiser les scènes comme au microscope. Toutefois, l’action n’en pâtit pas du tout, parce qu’il se passe plein de choses tout le temps et le rythme est assez effréné malgré la longueur des pages. L’auteur a trouvé le bon combo pour happer l’imagination et l’attention. Chaque fois qu’on ferme les bouquins pour reprendre une vie normale, on est un peu déchiré.
Cette œuvre a quelque peu changé ma vision du polar, pour une fois, j’ai l’impression qu’on n’a pas eu de gros persos bien stéréotypés sortis de sous les fagots. C’est frais et sombre à la fois. N’hésitez pas à vous jeter dedans. Mais si vous êtes amateurs de café, préparez les cafetières et les thermos. Non seulement les personnages n’arrêtent pas d’en boire, ce qui met l’eau à la bouche, mais vous n’aurez plus envie de dormir tant que vous ne serez pas arrivé au bout au moins du premier tome.

Ce que je n’ai pas aimé : Que la saga se fasse continuer après la mort de l’auteur, alors que ça aurait pu se terminer comme ici. Mais on verra plus tard pour la suite.

Note : 5/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

Route de la gloire – Robert A. Heinlein

Route de la gloireTitre Original : Glory Road
Genre :
 
roman, science-fiction, fantasy, littérature américaine
Auteur : Robert A. Heinlein
Année :  1963
Nombre de pages : 352

Résumé : Oscar, soldat démobilisé du Vietnam, fait un petit tour en Europe pour kiffer un peu la vibz. En goguette sur l’île du Levant, il rencontre une petite nénette, qui a l’air physiquement et intellectuellement pas mal. Tant et si bien qu’il est carrément étonné qu’elle s’intéresse à lui. Il la retrouve quelque temps plus tard, en répondant à une petite annonce pour un job. Elle est toubib et se propose de l’embarquer pour une grande aventure.
Là, le roman bascule totalement, un peu à la « Une nuit en Enfer« . En fait, la gonzesse se révèle être Star, impératrice des 20 Univers, et elle va le transporter dans des mondes parallèles pour qu’il l’aide à accomplir sa quête : retrouver un oeuf de Phénix. Oscar va se retrouver dans sdes tas de situations rocambolesques à essayer de survivre au milieu de créatures fantasques.

Ce que j’ai aimé : La partie « réaliste » : j’ai eu l’impression de partager un peu de la vie de François Pignon.
Ce que je n’ai pas aimé : Je me suis perdue assez vite. Le côté burlesque était trop omniprésent, ça partait tellement dans tous les sens, que j’ai souvent perdu le fil. Terminer ce roman a été une épreuve de longue haleine. Décidément, nous restons un peu hermétiques à Heinlein ici.

Note : 1/5
DianaCagothe