
Genre : nouvelles, polar, littérature américaine
Auteur : Isaac Asimov
Année : 1984
Nombre de pages : 320
Résumé : Bon, ben c’est le troisième volume des Veufs Noirs que je chronique ici. Si tu n’as pas suivi, c’est que tu es à la ramasse, ou que tu ne sais pas te servir de tes flux RSS (je peux te filer un coup de main dans ce cas) ou enfin que c’est la première fois que tu déboules dans nos WC.
Pas grave, dans un accès de sympathie inconsidéré, je vais te refaire un mini-débrief. Les Veufs Noirs, c’est une bande de potes (enfin je crois, parce qu’ils n’arrêtent pas de s’en envoyer plein la tronche), ils se voient une fois par mois au resto. Et ils s’en paient une bonne tranche sur la tronche de leur invité pas si surprise que ça. Comme d’hab, il y a toujours un mystérieux mystère à résoudre et c’est le serveur, Henry, qui trouve toujours la solution.
Ce que j’ai aimé : Comme dit dans les précédents épisodes, Asimov est vraiment un artiste à nous amuser avec des variations autour du même thème. Toujours le même squelette, c’est la cerise sur le gâteau qui change.
Ce que je n’ai pas aimé : Ca en devient presque un peu lassant. La pause s’impose.
Note : 4/5
