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Opération Astrée – Perry Rhodan 1 – Clark Darlton, Karl-Herbert Scheer

operationastreeTitre Original : Unternehmen stardust
Genre :
 
roman, science-fiction, space opéra, littérature allemande
Auteur : Clark Darlton, Karl-Herbert Scheer
Année :  1961
Nombre de pages : 166

Résumé : 
Tristan : Whouaou, comment n’ai-je pas entendu parler de la série de science fiction la plus longue du monde, 2600 volumes de 1961 à 2011, le monstre sacré de la SF. L’histoire de la série en elle-même est plutôt sympa, originellement faite pour durer entre 30 et 50 fascicules, elle ne s’est jamais arrêtée. Plusieurs écrivains s’y sont mis sur une trame commune avec un fil directeur correctement mené entre les bouquins. A la base, moi la SF d’avant les années 80, je suis toujours un peu moins fan mais le premier tome fait 166 pages, ça ne va pas être long, j’attaque direct.
Ça démarre en 1960 (date d’écriture du bouquin) où, en pleine guerre froide, les Etats-Unis font la course pour aller sur la Lune. L’univers est très fidèle aux événements de l’époque. Perry réussit donc à se poser sur notre beau satellite et y rencontre un autre vaisseau spatial peuplé d’extraterrestres pacifiques et neutres sur le déclin dont un est malade (Aucun rapport avec les hippies non non non). Le bouquin est très bien écrit et détaille vraiment bien la déco très stylée de l’époque, le truc que j’aime vraiment.
On reste naturellement sur sa faim dès la dernière page tournée, mission accomplie donc pour un épisode pilote, je lirai donc un de ces quatre quelques suivants.
Diana Cagothe : Tout d’abord, je veux dire un grand merci à Tristan, qui m’a déniché une vieeeeeeeille édition absolument nickel, absolument culte, absolument magnifique. Même si je suis une grande fan des sixties (petite baby doll), j’avoue que j’étais longtemps passée à côté de la série Perry Rhodan.perry-rhodan
Concernant, l’histoire, on en est à la période prélunaire, et les amerloques vont se poser sur la Lune, damant le pion à la Fédération Asiatique et au grand éternel ennemi bolchevique. Le vaisseau de la gloire sera l’Astrée et le big boss de la bête : « Le commandant de la première expédition lunaire sera le major Perry Rhodan, pilote du risque des Forces de l’Espace, 35 ans astronaute et physicien atomique, spécialiste également, de la proppulsion nucléaire. Vous connaissez tous, déjà, Perry Rhodan : il est le premier pilote américain à avoir bouclé la boucle autour de la lune ». Ben ouais, rien de moins. Tout boss de fin de niveau qu’il est, Rhodan va connaître un incident d’alunissage sur la face cachée de l’Astre. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, il y a un autre vaisseau scratché, appartenant aux Arkonides. Eux, ce sont une race (on peut encore dire ça?) plus ancienne, qui a depuis longtemps atteint son apogée et qui est en plein déclin. Et Rhodan va conclure un pacte avec eux pour empêcher la guerre froide de devenir explosive.
Ce que j’ai aimé :
Tristan : Le côté fidèle aux événements politiques de l’époque, la personnalité de Perry, l’écriture.
Diana Cagothe : Le côté viril & poilu : gloire au Major Perry Rhodan. Lui, c’est le plus beau, le plus fort, le plus intelligent. Les auteurs ont réussi à sublimer le kitchissime personnage pour en faire un culte, une peu comme les bons vieux Schwarzy ou Van Damme. Pas besoin d’être fan de SF, ça se lit vite et bien. Si on accroche, c’est parti pour une longue série. Si ça ne plaît pas, c’est vite plié. Mais il faut au moins goûter à ça!
Ce que je n’ai pas aimé :
Tristan :
Pour le moment rien mais j’espère que la suite quitte le côté politique actuel du moment USA/URSS/Chine pour entrer plus dans de la SF space opéra.
Diana Cagothe : rien, vivement la suite!
Note : 4/5
DianaCagotheTristan

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Dune – Dune 1 – Frank Herbert

duneTitre Original : Dune
Genre :
 roman, science-fiction, planet opéra

Auteur : Frank Herbert
Année : 1970
Nombre de pages : 265

Résumé : 
TristanC’est l’histoire d’un clan « La maison Atréides » qui débarque sur la belle planète Arrakis pour y planter des choux et des carottes. Et non, pas vraiment la possibilité de cela parce que sur Arrakis, point d’eau ni de terres verdoyantes, la planète est loin d’être belle ou accueillante : du sable, du sable et encore du sable. A défaut donc de venir faire autre chose, ils déboulent uniquement pour faire le seul truc que l’on puisse faire : récolter l’Epice. L’Epice, il n’y a que la où l’on puisse la récolter dans toute la galaxie, ça coûte très cher donc potentiellement ça rend riche et ça sert à donner des pouvoirs aux être humains. C’est donc le produit swag du bouquin.
Là où il y a un hic, c’est que la maison Atréides n’est pas vraiment hyper pote avec la maison Harkonnen et qu’avant la planète était exploitée par ceux-ci. L’auteur nous met dans le bain dès le début avec une belle envie de péter de l’Atréides par les Harkonnen.
Heureusement, on ne dévie pas dans le huis-clos entre les deux clans et on découvre les Fremens, un peuple natif du coin qui connaît les trucs et astuces de la région, on y croise aussi les Bene Gesserit (un groupe de nanas un peu barrées).
Au milieu de tout ça le petit Paul, 15 ans, est pressenti pour endosser le rôle de l’élu de service, ce qui n’est pas étonnant au vu de ses capacités à ressentir et connaître les choses. Il est plutôt sympa et l’auteur nous décrit bien ses sentiments et ses humeurs, ce qui nous permet de nous mettre à sa place et de le comprendre. Ça j’adore.
Après avoir lu Destination vide du même auteur – un bouquin rempli d’ordinateurs et de trucs de geek – je m’attendais à un univers techno. Et bien absolument pas ! La moindre petite calculette n’existe même pas et ici, on se bastonne au couteau et au bouclier. Le film – que j’ai vu il y a longtemps – m’avait laissé une impression de style steampunk de l’univers ce que je n’accroche pas vraiment, je ne remercie donc pas David Lynch d’avoir pour moi tiré le livre vers le bas.

Kwaite: Moi je chronique Dune 1 et 2 parce que j’ai pas la séparation dans mon livre électronique… Nous sommes donc dans le futur, un futur où les vivants ont banni les machines. L’histoire commence sur Caladan, planète sur laquelle vivent les Atréides, une des grandes maisons de l’histoire. Il s’apprêtent  à partir pour Dune, la planète qui donne son nom au roman, pour obéir aux ordres de l’empereur et gagner du galon parce que sur Dune se trouve l’épice et l’épice, ça rapporte un max. L’épice est une drogue qui permet juste de prolonger la vie, renforce le système immunitaire, permet le voyage spatial en donnant une forme de prescience aux navigateurs.
Paul, le fils du duc Léto Atréides, se retrouve au milieu de ce bordel et il a la sensation qu’il est pas juste fait pour devenir un duc qui va se spécialiser dans l’achat/revente de piment. Son contact avec Dune et l’épice va modifier son existence en y mettant un sacré bordel: l’empereur et le Baron Harkonnen – le pire ennemi de sa maison – fomentent un complot pour tuer son daron et il va faire la connaissance d’un troupeau d’elfe des bois de fremen – le peuple de Dune – qui est le peuple natif de la planète. Nous suivrons ses tribulations au fur et à mesure qu’il commence à se chopper des poils de barbe qui lui permettent d’affirmer sa virilité.
 
Ce que j’ai aimé : 
TristanTout le travail de background autour de l’univers, des clans. L’Elu est très bien mis en scène et on l’aime vraiment. Pour couronner le tout, Herbert écrit extrêmement bien.
Kwaite: Tout, tout, tout. C’est ma bible, mon livre ultra culte. Tout est pensé, réfléchi. Il y a des plans dans les plans dans les plans. Herbert écrit très bien et a bossé son univers à fond, on sent très vite que c’est pas juste une guéguèrre de l’espace à deux dollars cinquante. Comme toujours, il y a beaucoup de réflexion sur les castes politiques et leur déconstruction à coup de marteau pilon.
 
Ce que je n’ai pas aimé :
TristanEn fait rien mais je suis moins sensible à ce type d’univers. L’avis négatif est donc uniquement personnel.

KwaiteC’est peut être un peu touffu à aborder et cela peut effrayer rapidement.
 
Note : Tristan3/5       Kwaite5/5

TristanKwaite
 

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Etoiles, garde à vous! – Robert A. Heinlein

etoilesgardeavousTitre Original : Starship troopers
Genre :
 
roman, science-fiction, space opéra, militaire, littérature américaine
Auteur : Robert A. Heinlein
Année :  1959
Nombre de pages : 320

Résumé : On est dans un futur lointain en pleine guerre avec des extraterrestres : les « squelettes » et les « punaises ». L’histoire, écrite à la première personne, raconte la vie militaire de Johnnie Rico de son entrée à l’armée et des échelons qu’il gravit. L’action est omniprésente y compris dans sa période d’instruction. Cette guerre est localisée un peu partout dans la galaxie, on a donc quelques passages dans les vaisseaux spatiaux mais notre héros étant dans l’infanterie mobile, les passages sont brefs et l’auteur nous fait plutôt vivre l’action sur la Terre et les planètes.
Ce que j’ai aimé : Le bouquin est parfaitement écrit, il se lit très vite.
Ce que je n’ai pas aimé : L’auteur se sert de ce livre pour exprimer sa vision militariste et politique et n’a pas, à mon sens, su noyer cela dans une histoire lisible. On aurait pu lire un discours politique, ça aurait quasiment été pareil. Les chapitres s’enchaînent thématique par thématique : l’éducation, l’anticommunisme, la citoyenneté, … et une fois le livre refermé on se dit que son objectif est rempli mais qu’il aurait mieux fait d’en faire un cycle de dix bouquins avec une vraie histoire tout en disséminant sa vision du monde un peu comme dans le cycle Honor Harrington. En plus, Johnnie Rico semble être sans âme, certes, il kiffe une meuf mais on ne la voit jamais, j’aurais par exemple bien aimé savoir si ça lui faisait des papillons dans le ventre de penser à elle.
Note : 2/5
Tristan

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La terre embrasée – La première guerre formique 2 – Orson Scott Card

laterreembraseeTitre Original : Earth Afire
Genre :
 
roman, science-fiction, space opéra, littérature américaine
Auteur : Orson Scott Card
Année :  2013
Nombre de pages : 411

Résumé : Comme dans le précédent opus, on a plusieurs histoires en parallèle sauf que là, les protagonistes se rejoignent pour former au final uniquement deux histoires : les militaires sur Terre et Lem et Victor sur la Lune : d’un côté, les formiques réussissent à larguer trois modules sur terre pour l’invasion et de l’autre le vaisseau reste en attente au dessus de la terre. L’action nous tient tout autant en haleine et on entraperçoit le bout du tunnel avec les formiques. Ce qui est très bon, c’est que les histoires s’entremêlent bien les unes aux autres, aucun détail n’est anodin et lorsque tout se rejoint, on se dit que tout le scénario est mesuré au millimètre. Orson Scott Card nous prouve une fois de plus qu’il ne sait pas écrire de planet opéra mais que sur du space opéra orienté action, il excelle à merveille.

Ce que j’ai aimé : Dans la suite du premier opus, c’est très bon.
Ce que je n’ai pas aimé : Le cycle est en trois tomes et après avoir lu le premier et le deuxième, se rendre compte que le troisième n’est pas traduit nous donne envie de faire un braquage chez l’éditeur pour lui demander la trad.

Note : 4/5
Tristan
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Avertir la terre – La première guerre formique 1 – Orson Scott Card

avertirlaterreTitre Original : Earth unaware
Genre :
 
roman, science-fiction, space opéra, littérature américaine
Auteur : Orson Scott Card
Année :  2013
Nombre de pages : 480

Résumé : Après avoir pleuré à la fin de La stratégie Ender parce que c’était magnifique, je me suis paluché La voix des morts et ai été un peu déçu, du coup, je n’ai pas continué le cycle d’Ender. Bref à ce moment, je me suis dit que cet auteur avait pondu un seul bouquin mythique et que sur le reste, il avait essayé de broder sans succès autour de l’histoire initiale. Et puis bon, par hasard je tombe sur un article qui dit qu’il y a une préquelle à la stratégie Ender et comme j’aime bien être titillé par ce genre de chose, ben j’attaque le bouquin … et je le lis … et j’arrive pas à la refermer, je suis fasciné, je le lis d’une traite.
Le bouquin est découpé en chapitres dont chaque chapitre est centré sur une histoire – elles sont toutes liées bien sûr – avec ses protagonistes : l’histoire d’un groupe de mineurs dans la ceinture de Kuiper, l’histoire d’un groupe de chercheurs qui mettent au point une technique d’extraction de minerai, l’histoire d’une faction militaire sur terre. Le découpage de l’action est simplement magnifique, l’auteur introduit le protagoniste, nous dresse un portrait sensible, un background, de sorte qu’on s’identifie et ensuite il lance l’action, du coup, on est bien dedans et on n’a pas l’impression d’être juste spectateur de loin.
L’idée du scénario est simple : le premier aperçu des formiques et – le titre étant explicite – avertir la terre. Techniquement c’est au point, les techniques d’extraction de minerai sont bien décrites, les vaisseaux spatiaux et machines correctement détaillés, les lieux sont vastes mais pas trop et l’action est continue, on n’a pas de temps mort.
Ce que j’ai aimé : L’écriture est parfaite, elle reflète parfaitement l’action, nous emmène dans l’espace, et nous fait retenir notre souffle jusqu’à la dernière page (le temps d’aller chercher le tome 2).
Ce que je n’ai pas aimé : Rien

Note : 5/5
Tristan

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L'arme de nulle part – Les loups des étoiles 1 – Edmond Hamilton

lesloupsdesetoilesTitre Original : The weapon from beyond
Genre :
 
roman, science-fiction, space opéra, littérature américaine
Auteur : Edmond Hamilton
Année :  2000
Nombre de pages : 160
Résumé : C’est l’histoire de Morgane Chane, Loup des étoiles – non mais c’est un humain en fait -, né sur une planète hyper inhospitalière et du coup hyper fort. Il se trouve qu’il a été banni par ses potos de sa planète qui veulent le retrouver pour lui faire la peau. Bien sûr, comme de par hasard, dès le début il se retrouve embarqué avec une bande de mercenaires qui ont plutôt l’air sympatoches et il va guerroyer dans l’espace avec eux.
Vu comme ça le pitch donne plutôt envie de poursuivre et en effet c’est assez bon, on a de l’action, de l’infiltration, de la bataille dans l’espace, bref tout ce que j’aime. Le rythme est bien mené, on ne s’ennuie pas et c’est bien écrit. Le hic c’est que c’est un roman entres couilles. Pas un bout de nichon et donc l’aspect sensible qui pourrait nous donner envie de nous identifier à lui n’est pas présent. Même si l’action est omniprésente, le héros reste donc un étranger pour le lecteur et l’auteur ne réussit pas à nous séduire comme on pourrait tout vouloir ressembler à Black Jack Geary ou vouloir se marier à Honor Harrington.

Ce que j’ai aimé : L’action, l’écriture, le rythme.
Ce que je n’ai pas aimé : On ne s’identifie pas au héros.

Note : 3/5
Tristan
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Docteur Futur – Philip K. Dick

docteurfuturTitre Original : Dr Futurity
Genre :
 
roman, science-fiction, fantastique, littérature américaine
Auteur : Philip K. Dick
Année :  1959
Nombre de pages : 224

Résumé : Alors moi quand j’attaque un Philip K. Dick, je me colle au fond de mon siège, je m’attache bien et dès la première page, je décolle tellement le gars il pond à chaque fois des scénars à couper le souffle. Là, c’est l’histoire de Jim Parsons, un médecin, qui se retrouve dès le début plongé dans un futur lointain sans comprendre pourquoi. Ce futur n’est peuplé que de gens jeunes, tout le monde se ressemble et un culte de la mort est omniprésent. On va découvrir qu’il y a un motif réel et qu’il a une mission bien précise en tant que médecin.
Le principe de l’histoire est le même qu’un Retour vers le futur – bien que moins high tech, aucune Deloréane à l’horizon – avec des actions menées dans le passé qui peuvent changer le futur et donc des interactions entre les deux et une énigme autour de ce thème. En généra,l les scénars qui mèlent plusieurs époques et du voyage temporel ne sont pas fastoches à imaginer et à retranscrire pour que le lecteur puisse suivre et là, on a un grand maître qui exerce sont art à la perfection. A un moment, on a l’impression qu’il y a tout de même un trou dans l’histoire, que K. Dick a eu du mal à ficeler une partie, qu’il est passé vite dessus parce qu’il a galéré et bien non, tout est calculé au millimètre, tout est expliqué et le plus génial dans tout ça c’est que ça reste lisible pour le lecteur moyen.
Ce que j’ai aimé : L’intrigue est excellente, l’écriture est parfaite, l’action est rythmée comme il faut.
Ce que je n’ai pas aimé : Très peu de technique voyage temporel ou médecine mais bon, pour un bouquin écrit dans les années 50, c’est dans le style de l’époque.

Note : 4/5
Tristan

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Invulnérable – Par delà la frontière 2 – Jack Campbell

invulnerableTitre Original : Invincible
Genre :
 
roman, science-fiction, space opéra, militaire, littérature américaine
Auteur : Jack Campbell
Année :  2012
Nombre de pages : 448

Résumé : La flotte de Black Jack rencontre finalement non pas une espèce mais trois : les Enigmas – oui ça, on savait déjà – Les « vachours » et les « lousaraignes » et va tenter de savoir qui est avec qui parce qu’en plein territoire loitain et ennemi, vaut mieux pas trop s’attirer d’ennuis. Manque de bol pour Geary – mais pas pour nous – va y avoir de la baston, des stratégies bien conçues et surtout bien poignantes.  
Ce que j’ai aimé : quand on aime la recette de la flotte perdue, on ne s’en lasse pas d’en avoir encore.
Ce que je n’ai pas aimé : les extraterrestres viennent plus d’un monde onirique : les « vachours » sont des ruminants qui ressemblent à des ours et les « lousaraignes » sont des grosses araignées avec des poils de loup.  On a du mal à rester accroché à un univers de guerre militaire et on se demande si l’auteur ne nous fait pas une blague. 

Note : 3/5
Tristan

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Intrépide – Par delà la frontière 1 – Jack Campbell

intrepideTitre Original : Dreadnaught
Genre :
 
roman, science-fiction, space opéra, militaire, littérature américaine
Auteur : Jack Campbell
Année :  2012
Nombre de pages : 415

Résumé : Le cycle précédent « La flotte perdue » se termine par le retour de Black Jack Geary. Un retour pas vraiment triomphal puisqu’il est soupçonné d’organiser un coup d’état. Vous connaissez bien notre héros préféré et savez bien qu’il n’en est rien. Le nouveau cycle démarre donc sur un fond de tension politique, ses compagnons de première heure sur le point d’être arrêtés (ben oui, juste au cas où hein !) et Tanya (avec qui il est maintenant marié) est comme à son habitude prête à casser la baraque pour défendre son n’amoureux. Black Jack – toujours trop fort – réussi à apaiser les tensions et on lui confie la mission de repartir pour observer et établir un lien avec les Enigmas. Il repart donc et on kiffe un max.
Ce deuxième cycle est exactement sur le même ton que le premier, l’auteur ne nous a pas resservi un plat froid histoire de se remplir les poches et ça on apprécie vraiment. Le fait qu’il ait mis – quasiment – les mêmes protagonistes est un plaisir, on attaque donc en terrain connu et on veut en savoir plus.
Ce que j’ai aimé : le plat est resservi mais encore plus chaud, on ne s’en lasse pas.
Ce que je n’ai pas aimé : rien 

Note : 4/5
Tristan

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La disparue de l'enfer – Honor Harrington 8 – David Weber

honor-harrington,-tome-8-2---la-disparue-de-l-enfer-140728-250-400Titre Original : Echoes of Honor
Genre :
 
roman, science-fiction, space opéra, militaire
Auteur : David Weber
Année :  1998
Nombre de pages : 496 (tome 1) et 448 (tome 2)

Résumé : Honor Harrington a été capturée par les Havriens et est exécutée – du moins c’est ce que les vidéos de propagande montrent et le domaine Harrington cherche un successeur.
Je ne vous en dirais pas plus, j’ai, au bout de 100 pages, refermé le bouquin, il ne se passe désespérément rien. Alors oui, on entend parler d’un nouveau vaisseau super cool de la flotte mais on attend qu’il veuille bien décoller et, ça parle, ça parle, ça parle …
Ce que j’ai aimé : Les très nombreux détails dans les discussions entre protagonistes qui permet à un fanboy de mieux connaître l’univers. 
Ce que je n’ai pas aimé : Le genre space opéra militaire n’est pas respecté – où sont passés les militaires et les voyages spatiaux ? – , David Weber s’éloigne que ce qu’il fait de mieux et on s’ennuie à mourir. 

Note : 1/5
Tristan