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Les Particules Elementaires – Michel Houellebecq

 

Les particules élémentairesGenre :  roman, littérature françaisebagde
Auteur : Michel Houellebecq
Année :  1998
Nombre de pages : 316

Résumé : Fin des années 60, Jane a deux fils de deux pères différents. Mais elle est trop baba new age pour se laisser bercer par quelque chose d’aussi conventionnel que la maternité. Les deux pères récupèrent les enfants et les font élever par leurs grands-mères respectives, en mode vieille France. Michel et Bruno grandissent alors chacun de leur côté, en ignorant tout de l’autre. Au lycée, coïncidence, ils finissent par se retrouver.
Michel, se lie d’amitié avec la belle Annabelle, mais comme il est incapable de ressentir quelque chose, il passera à côté d’elle. Son cœur vide l’emmènera tout de même à faire une grande carrière scientifique. Quant à Bruno, il sera en permanence en quête du Nirvana sexuel, mais à être un pitoyable raté. Jusqu’à ce qu’il trouve Christiane, qui lui donnera quand même un peu de bonheur, avant de sombrer dans la folie.

Ce que j’ai aimé : Ce livre aborde quelque chose qui est peu évoqué, la misère sentimentale et sexuelle. On l’adore ou on le déteste, cette œuvre a fait scandale lors de sa sortie, je ne sais plus très bien pourquoi.Je l’avais lu à l’époque, et il m’avait beaucoup parlé. Dans notre société qui valorise tellement l’épanouissement dans ces deux domaines, si tu ne rentres pas dans le moule, tu es culpabilisé, mais peu de choses l’évoquent. Que celui qui est célib’ et qui ne zone pas sur les sites de rencontres me jette la première pierre. Presque quinze ans plus tard, je pensais avoir un regard différent sur ce livre, mais pas du tout. J’ai mûri, et ça me fait encore plus de bien de voir que quelqu’un ait abordé ces thèmes, surtout qu’avec l’âge, j’ai découvert que je n’avais pas été la seule dans ce cas.
Et puis c’est « so fin de siècle », la génération désenchantée, fille des soixante-huitards, qui a gagné de nouveaux droits et de nouvelles libertés mais qui doit reconstruire ses repères : « Les enfants, quant à eux, étaient la transmission d’un état, de règles et d’un patrimoine. C’était bien entendu le cas dans les couches féodales, mais aussi chez les commerçants, les paysans, les artisans, dans toutes les classes de la société en fait. Aujourd’hui, tout cela n’existe plus : je suis salarié, je suis locataire, je n’ai rien à transmettre à mon fils. Je n’ai aucun métier à lui apprendre, je ne sais même pas ce qu’il pourra faire plus tard ; les règles que j’ai connues ne seront de toute façon plus valables pour lui, il vivra dans un autre univers. Accepter l’idéologie du changement continuel c’est accepter que la vie d’un homme soit strictement réduite à son existence. » Voilà, ça nous renvoie bien à la vacuité de notre existence. On fait ce qu’on peut pour être heureux, et puis c’est tout, mais c’est aussi un droit à être malheureux.
Ce que je n’ai pas aimé : Rien, je l’ai ingurgité en trois jours.

Note : 5/5
DianaCagothe
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Les micro humains – Troisième humanité 2 – Bernard Werber

Résumé : Une fois avalé Troisième humanité, il m’a fallu attendre un an avant de voir sortir Micro humains. Bien qu’ayant bien aimé le premier opus et d’une nature impatiente, j’avais pas mal de retard livresque, l’attente n’a donc pas été trop douloureuse. Comme toute suite werberienne, on a donc ici la suite de l’histoire sans savoir combien on en a à dévorer pour en voir la fin. Cette suite met en scène les même protagonistes, à savoir les chercheurs qui ont conçu les Emachs et quelques Emachs bien choisis.
Le scénario tourne autour d’une question : les micro humains sont-ils des humains et nos chercheurs préférés vont cette fois-ci chercher à le démontrer aux yeux du monde. Evidemment, ça n’est pas très simple quand un groupe d’Emachs menés par la petite Emma 109 dirige un groupuscule terroriste dont le but est de se venger des humains qui les malmènent. En plus de ça, on en apprend un peu plus sur la première humanité et sa disparition.
Je ne l’ai lu qu’une fois mais le livre se lit à mon avis deux fois : la première fois on va suivre le scénar, l’action, les interactions entre les protagonistes et – bien qu’on soit moins en haleine que le premier bouquin – on ne va pas s’ennuyer. La deuxième fois, on va lire autre chose, Werber nous livre une quantité incroyable de points de vue concernant l’Homme – ça il adore, on n’est pas surpris -, la religion, la politique, la maltraitance, la société de consommation – là, le sujet tourne autour du hard discount des produits chinois – et c’est un vrai régal.

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Ce que j’ai aimé : Ca se lit vite, on a deux plans de lecture et à la fin on se dit vivement le suivant.

Ce que je n’ai pas aimé : Un peu moins palpitant que le premier opus mais ça il fallait s’y attendre, Werber n’allait pas créer une quatrième humanité pour nous faire revivre le précédent bouquin.

Titre Original : Les micro humains
Genre :
  roman, fantastique, littérature française
Auteur : Bernard Werber
Année :  2013
Nombre de pages : 434

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Ca swing – Edika

Ca swingueGenre :  BD, humour, littérature française
Auteur : Edika
Année :  2001
Nombre de pages : 51

Résumé : Il s’agit ici d’une succession de petites histoires comico-absurdes de quelques pages, parues ou pas dans le célèbre magazine Fluide Glacial. Le dessin est en noir et blanc, pas franchement élaboré. Et c’est assez bite-couille-nichon. Bref, on reconnait bien la patte de l’auteur. Bref, on reconnait bien la BD franchouillarde.
Il faut dire que je ne suis pas très bande-dessinée. Je n’en achète jamais, parce que je trouve que le ratio prix/temps de lecture ne vaut pas beaucoup le coup. Mais comme je me suis fraîchement inscrite à la médiathèque, je me suis dit, pourquoi pas?
Ce que j’ai aimé : J’ai ri sur l’histoire du mec qui a un plâtre à la bite.
Ce que je n’ai pas aimé : Je me suis fort ennuyé sur le reste. Voilà, voilà, ma fiche qui ne sert à rien.

Note : 2/5

DianaCagothe
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Une Vie – Simone Veil

Une VieTitre Original : Une Vie
Genre :
 
biographie, littérature française
Auteur : Simone Veil
Année :  2007
Nombre de pages : 416

Résumé : « Maupassant, Maupassant que j’aime, ne m’en voudra pas d’avoir emprunté le titre d’un de ses plus jolis romans pour décrire un parcours qui ne doit rien à la fiction »… Épigraphe de S.V. en tête de son autobiographie… Un des personnages politiques français les plus charismatiques nous raconte son parcours hors du commun. Simone Veil est évidemment connue pour avoir fait passer la loi autorisant l’avortement. Cet évènement marquant ne représente pourtant qu’un des nombreux accomplissements de sa vie! Administration pénitentiaire, Ministère de la Santé, Parlement européen, Conseil constitutionnel. Autant d’institutions où elle aura été souvent la première femme à œuvrer.

Ce que j’ai aimé : Personnellement, cette lecture m’a inspirée. J’aime quand elle dit à son mari que maintenant qu’il a un boulot stable et qu’il est papa de 3 gamins, et bien elle, elle va pouvoir travailler! Et même si son mari préfère qu’elle s’occupe des enfants et qu’elle prépare le dîner, et bien non Simone, elle tient bon!!! C’est très bien écrit et c’est touchant sans être larmoyant (S.V. a survécu aux camps de concentration). J’ai également beaucoup apprécié les discours en annexe.
Ce que je n’ai pas aimé : La lecture de ce livre m’a réellement fait prendre conscience de mon ignorance en politique…

Note : 5/5
DrTomate
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Hard – Raffaëla Anderson

HardGenre :  biographie, littérature française
Auteur : Raffaëla Anderson
Année :  2001
Nombre de pages : 220

Résumé : Raffaëla est une petite banlieusarde. Elle veut se faire un peu de pognon. Une annonce assez banale l’interpelle, elle appelle. C’est un petit bout de bonne femme, mais apparemment le physique importe peu. Raffaëla s’y rend : il s’agit d’un casting pour un film X. Elle est vierge, tant pis, elle perdra sa virginité sur le tournage. L’auteure nous raconte ses années dans le milieu, avec ses belles rencontres et ses plans foireux, le plaisir parfois pris, mais aussi les moments pénibles et douloureux. Raffaëla n’omet pas de nous raconter son viol, juste parce que des gars avaient reconnu l’actrice, et la manière dont elle s’est fait traiter par l’appareil judiciaire, en raison de son métier.

Ce que j’ai aimé : La plongée dans le milieu : sans concessions, sans complaisance, mais également sans aigreur. Le style d’écriture est cru, ce qui accentue le réalisme pour le lecteur.
Ce que je n’ai pas aimé : Rien, c’était parfait.

Note : 5/5
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Les scandales littéraires – Claire Julliard

Les Scandales LittérairesGenre : essai
Auteur : Claire Julliard, littérature française
Année :  2009
Nombre de pages : 78

Résumé : Pas facile de résumer un essai, hein? Le titre de l’essai est racoleur à souhait, j’ai donc craqué et me le suis offert. En plus, c’est un Librio, donc ça coûte que dalle (enfin, 3 euros, quand même…) et au pire, ça se jette aux orties.
Claire Julliard va nous raconter le monde de la littérature et de l’édition, surtout en France. Elle commence par nous raconter les grandes erreurs de l’édition, comme Gide qui laisse filer Proust. Ensuite, Claire nous en raconte des vertes et des pas mûres sur les prix littéraires. Nous en apprendrons aussi pas mal sur la facétie et le rocambolesque de certains auteurs, comme Agatha Christie, qui organise une disparation très médiatisée et mystérieuse, ou Jean-Edern Hallier, qui tente la même, mais avec un résultat beaucoup plus pathétique. On en apprend aussi un peu plus sur les relations entre nègres et auteurs.

Ce que j’ai aimé : C’est une mine à potins! C’est aussi le bouquin idéal à emmener en salle d’attente chez ton médecin préféré, parce qu’il ne nécessite pas une concentration extrême. En plus, ça te remontera un peu le moral si tu ne vas pas très bien (c’est pour ça que tu es chez le toubib, non?) parce que tu te marres, quand même!
Ce que je n’ai pas aimé : Le prix, j’ai trouvé que c’était un peu cher pour du Librio.

Note : 5/5
DianaCagothe
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Malevil – Robert Merle

MalevilTitre Original : Malevil
Genre : 
Roman, Aventures, Post-apocalyptique, littérature française
Auteur : Robert Merle
Année :  1972
Nombre de pages : 490

Résumé : Quelque part en France, en 1977… Il se passe un truc apocalyptique : je dis bien « truc apocalyptique » parce que nous ne saurons jamais ce qu’il est réellement advenu. Quelques hommes et une femme survivent : ils étaient en train de tirer le vin dans la cave du château de Malevil, lui même protégé par sa position géographique à côté d’une falaise. En sortant, ils voient que le paysage à perte de vue est en train de brûler, le ciel restant gris. Ils doivent alors s’organiser pour survivre dans ce nouveau monde.

Ce que j’ai aimé : Le procédé narratif. Le narrateur est le propriétaire du château, mais ses écrits sont quelques fois commentés par Thomas, un autre occupant du château. J’ai aussi aimé la réflexion menée par le narrateur sur les changements sociétaux nécessaires suite à un tel événement. Je n’ai pas pu m’arrêter sur les 150 dernières pages.
Ce que je n’ai pas aimé : Le côté « roman du terroir » m’a un peu dérouté au début.

Note : 5/5
DianaCagothe
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Le livre du voyage – Bernard Werber

Titre Original : Le livre du voyage
Genre :
 « OVNI » c’est un style littéraire ?
Auteur : Bernard Werber
Année :  1997
Nombre de pages : 66

Résumé : Il est tard, vous rentrez du boulot et vous tombez par hasard sur ce petit bouquin intitulé « Le livre du voyage ». Un feuilletage plus tard, toujours impossible à décrypter en diagonale, bon, il n’est pas long, je le commence maintenant et je le terminerais demain matin avant d’aller au taf – au même endroit où je l’ai laissé … sauf que vous allez y passer une heure aux petits coins, parce que vous ne pourrez pas décrocher du bouquin.
L’histoire est celle du lecteur qui devient un oiseau et qui va voyager dans plusieurs mondes : celui de l’air, celui de la terre, celui du feu et celui de l’eau. Dans ce voyage, le livre est soit un guide, soit un compagnon. Le guide nous immerge dans une trame scénaristique pendant que le compagnon nous aide à répondre aux questions posées. Ces réponses ne peuvent en effet pas être données par l’auteur car elle nous sont propres : le voyage est initiatique et embrasse un certain nombre de thèmes comme la peur, la mort, la malchance, le système, …
Alors si il y a bien un livre des WC c’est celui la : 66 pages, juste de quoi traîner une toute petite heure aux petits coins. L’auteur nous emmène dans un voyage et la seule chose que le lecteur ait à faire est de se laisser porter. On réfléchit aux thèmes posés. L’auteur, de son côté essaye de rester spectateur de nos réponses et nous endoctrine un peu mais pas trop de réponses toutes faîtes. On est la dans un univers complètement Werberien, avec un mélange de fantastique, d’onirique et aussi bien réel par les mises en situation.

Ce que Tristan a aimé : L’idée du bouquin, le côté ovni.

Ce que Tristan a moins aimé : Difficile de trouver un point noir au livre, soit on adore, soit on déteste, je suis tombé dans la première catégorie.

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Les Chants de Maldoror – Isidore Ducasse, Comte de Lautréamont

Les Chants de MaldororGenre :  poésie, prose, fantastique, épopée, littérature française
Auteur : Isidore Ducasse, Comte de Lautréamont
Année : 1869
Nombre de pages : 171

Résumé : Difficile de résumer les Chants de Maldoror. Il s’agit d’une suite de paysages et de scènes. Le fil conducteur de tout ça est le personnage de Maldoror, un être mauvais et malfaisant, qui se moque et se rit de tout. C’est une œuvre complètement barrée. La première phrase du livre nous met tout de suite dans le bain et sert de bon « Parental Advisory/Explicit Content« :
« Plût au ciel que le lecteur, enhardi et devenu momentanément féroce comme ce qu’il lit, trouve, sans se désorienter, son chemin abrupt et sauvage, à travers les marécages désolés de ces pages sombres et pleines de poison; car, à moins qu’il n’apporte dans sa lecture une logique rigoureuse et une tension d’esprit égale au moins à sa défiance, les émanations mortelles de ce livre imbiberont son âme comme l’eau le sucre. »

Ce que j’ai aimé : Ça ne correspond à rien de ce que j’avais lu auparavant. Je trouve dommage qu’aucun de mes profs de français ne me l’ait mis entre les mains, parce que je pense que c’est à cette époque qu’on peut vraiment le plus savourer cette oeuvre. C’est un livre qui résume bien et est fait pour parler à la révolte adolescente : il est fait pour les ados, ou les goths notoires.
Ce que je n’ai pas aimé : Je suis un peu trop âgée pour m’être complètement laissée emporter par le voyage vertigineux de Lautréamont, ou bien il ma manque un peu de LSD.

Note : 4,5/5

DianaCagothe
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Les 120 journées de Sodome – D.A.F. de Sade

Genre :  roman, classique, littérature érotique, littérature française
Auteur : D.A.F. de Sade
Année :  1785
Nombre de pages : 448

Résumé : Sade a écrit ce roman sur des feuillets pendant son enfermement à la Bastille, qu’il a ensuite assemblé en un gros rouleau. Autant dire que Sade était au paroxysme de son délire. Ce rouleau inachevé a été sauvé pendant que le navire coulait puis caché, puis ressorti par un obscur psy allemand au début du XXe siècle, inventeur du terme « sadisme ».
4 libertins complètement psychopathes décident de faire une méga orgie. Au préalable, il faut dire qu’ils ont chacun épousé la fille de l’autre. Ils décident de partir s’enfermer dans un château inaccessible de la Forêt Noire avec les 42 victimes d’un kidnapping géant organisé au préalable. Ils partent avec 4 vieilles maquerelles qui raconteront chacune pendant un mois 5 histoires par jour de vieux dégueulasses. Entre temps, les libertins vont s’en donner à cœur joie d’imiter les histoires racontées par les vieilles.
Sade a eu le temps de développer les histoires d’une des vieilles maquerelles pendant 339 pages, surtout orientées vers la scatologie. Je vais vous en livrer ici une histoire parmi les 150:
« La passion de ce vieux libertin consistait à baiser d’abord prodigieusement la bouche de la fille. Il avalait le plus qu’il pouvait de sa salive, ensuite il lui baisait les fesses un quart d’heure, faisait péter, et enfin demandait la grosse affaire. Dès qu’on avait fini, il gardait l’étron dans sa bouche et, faisant pencher la fille sur lui, qui l’embrassait d’une main et le branlait de l’autre, pendant qu’il goûtait le plaisir de cette masturbation en chatouillant le trou merdeux, il fallait que la demoiselle vînt manger l’étron qu’elle venait de lui déposer dans la bouche. »
Le récit de Sade s’arrête proprement ici, ensuite, nous avons le plan des histoires racontées par les autres vieilles sous forme de liste. C’est là que ça devient vraiment horrible. parce qu’on a bel et bien un listing de viols, incestes, tortures et diverses nécrophilies.

C’est maintenant, ami lecteur, qu’il faut disposer ton cœur et ton esprit au récit le plus impur qui ait jamais été fait depuis que le monde existe, de pareil livre ne se rencontrant ni chez les anciens, ni chez les modernes.

Ce que j’ai aimé : La couverture très explicite proposée par 10/18 et qui ne manque pas d’humour. Aussi difficile qu’il ait été pour moi de l’achever, je suis fière : fière que ce livre soit publié par un grand éditeur, fière que ce livre soit en vente libre chez un libraire, et je n’ai eu à craindre aucune répression. Cette épreuve m’a fait réaliser que quoique nous disions, nous sommes bien dans un pays libre!

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Ce que je n’ai pas aimé : Pendant la 400aine de pages qu’il va vous rester à découvrir, vous allez successivement hésiter à :
– fermer définitivement le livre et ne plus jamais le rouvrir,
– vomir,
– commencer par la fin voir si ça se calme un peu,
– lire au hasard pour voir si les histoires changent un peu,
– rêver, penser toute la journée à du caca.
Ce livre est vraiment nauséabond et tient incontestablement une place d’honneur dans ma trashothèque. Il relègue Despentes & co au rang de piètres apprenties.