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Pavillon de l'exil – Honor Harrington 5 – David Weber

pavillondelexilTitre Original : Flag in exile
Genre :
 
roman, science-fiction, space opéra, militaire, littérature américaine
Auteur : David Weber
Année :  1995
Nombre de pages : 496

Résumé : David Weber nous emmène cette fois-ci non plus dans l’espace ni dans des histoires de duels mais sur la planète Grayson avec Honor en seigneur qui gère sa boîte de bâtiment. Elle va mettre toutes ses économies dans des constructions de dômes et – bien sur – il va y avoir un sabotage qui va faire effondrer toute une structure sur une école avec des enfants dedans. Inutile de vous préciser que tout va lui être mis sur le dos et qu’elle ne va pas lâcher les méchants qui ont fait ça.
Dans cet opus, David Weber transmet plus que jamais un certain nombre de messages sur le rôle des femmes dans la société et particulièrement à des postes de direction ainsi que sur la religion et une de ses dérives – l’intégrisme. On se dit que l’auteur a un vécu personnel fort du sujet, tellement ces sujets sont particulièrement bien amenés.
Ce que j’ai aimé : Les messages transmis par David Weber et bien sur qu’il sache toujours nous faire rêver au cinquième épisode.
Ce que je n’ai pas aimé : Rien

Note : 4/5
Tristan
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Au champ du déshonneur – Honor Harrington 4 – David Weber

auchampdudeshonneurTitre Original : Field of dishonor
Genre :
 
roman, science-fiction, space opéra, militaire, littérature américaine
Auteur : David Weber
Année :  1994
Nombre de pages : 448

Résumé : David Weber quitte vraiment le ton des deux premiers tomes et des batailles interstellaires sans nous ennuyer et nous démontre qu’une série peut ne pas s’essouffler une fois un premier chef d’œuvre pondu.
Cette fois-ci, notre charmante Honor quitte ses aventures spatiales et nous entraîne dans un opéra militaire sur fond de procès, de duels au pistolet et de politique. Bien entendu, tout cela tourne autour de son idylle démarrée à l’opus précédent et nous découvrirons à quel point l’ennemi d’Honor, que nous avions découvert depuis le début, est un sombre crétin sans honneur.
Pavel Young est donc viré de l’armée et en veut vraiment à notre amoureuse de toujours. Il lui fait une crasse monumentale, ce qui la met en rogne au plus haut point et quand notre bichette est furax, on en entend parler tout le bouquin.
Ce que j’ai aimé : Le scénario.
Ce que je n’ai pas aimé : Le procès de Pavel Young; on aurait aimé un déroulement qui colle plus à nos méthodes d’aujourd’hui avec des témoins interrogés et tout et tout.

Note : 4/5
Tristan

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2001, l'Odyssée de l'Espace – Les Odyssées de l'Espace 1 – Arthur C. Clarke

2001, l'Odyssée de l'EspaceTitre Original : 2001, A Space Odyssey
Genre :
 
roman, science-fiction, littérature anglaise
Auteur : Arthur C. Clarke
Année :  1968
Nombre de pages : 192

Résumé : C’est à peu près la période de la Guerre du feu. Des homo quelques choses tentent de survivre. Un soir, un gros bloc noir déboule d’on-ne-sait-où et commence à leur apprendre des techniques de chasse, comment utiliser des outils, etc. Avant de se casser définitivement.
Ensuite, de nos jours, on trouve une anomalie magnétique sur la lune, AMT-1. On va voir, on creuse et hop, on déterre un gros bloc noir. Le machin envoie un signal à l’autre bout du système solaire et se tait à jamais. On réussit à voir la destination du signal, donc il faut bien aller voir.
Hop hop, une fois le vaisseau pour aller sur Jupiter construit, on y met cinq bonhommes dont trois en hibernation, et un super ordi pour gérer tout ça. Le problème c’est que l’ordi va commencer à péter les plombs pendant le voyage…
Ce que j’ai aimé : Ca se lit hyper vite, le gros bloc noir nous hypnotise, on a envie de savoir ce que c’est. Donc on ne décroche pas. Impossible de ne pas avoir en tête le film de Kubrick, puisque les deux oeuvres ont été réalisées conjointement, ainsi que Strauss qui joue en boucle. Un classique à lire absolument.
Ce que je n’ai pas aimé : Pas grand chose, si ce n’est une fin un peu mystérieuse qui ne donne qu’une envie, attaquer la suite.

Note : 5/5
DianaCagothe
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Au prix du papyrus – Isaac Asimov

Au prix du papyrusTitre Original : The Winds of Change and Other Stories
Genre :
 
nouvelles, science-fiction, littérature américaine
Auteur : Isaac Asimov
Année :  1985
Nombre de pages : 211

Résumé : Il s’agit d’un compil’ best of d’Asimov. Il n’y a pas de fil conducteur à ces neuf nouvelles, toutes différentes autant par les sujets, que par le style et la taille. Même leur position dans le recueil est incongru puisqu’il s’agit d’un classement alphabétique. Le livre doit donc son titre à sa première nouvelle, très marrante, qui spécule sur l’origine du monde. Asimov aborde d’autres sujets « plus traditionnels » de la SF : la lévitation, la paranoïa, les voyages dans l’espace.

Ce que j’ai aimé : C’est du grand n’importe quoi Asimovien, bref on en redemande. Comme d’hab, Isaac nous fait une petite préface sur chaque histoire et nous raconte l’époque et le contexte d’écriture. C’est plutôt cool de voir de l’autre côté, la création. Une petite nouvelle au lit tous les soirs, et hop, au dodo.
Ce que je n’ai pas aimé : Le manque de fil conducteur entre tout ça.

Note : 3/5

DianaCagothe
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Une guerre victorieuse et brève – Honor Harrington 3 – David Weber

uneguerrevictorieuseetbreveTitre Original : The short victorious war
Genre :
 
 roman, science-fiction, space opéra, militaire, littérature américaine
Auteur : David Weber
Année :  1994
Nombre de pages : 448

Résumé : Ce nouvel épisode nous fait vivre une République Du Havre qui tente une guerre éclair contre le Royaume De Manticore et en passe d’essuyer un coup d’état. Contrairement aux deux épisodes précédents, l’auteur nous livre un point de vue de Havre plus poussé de l’intérieur et enfin Honor est amoureuse ! On assiste peut-être à un tournant dans l’esprit de la saga. David souhaite t-il donner un nouveau souffle au cycle ou a t-il un problème avec son éditeur ?
Le pari semble en tout cas raté s’il souhaite donner un nouveau souffle au cycle, l’auteur nous fait subir des problématiques politiques de la République Du Havre alors que l’on attend des batailles dans l’espace, une bien maigre histoire de cœur d’Honor et pour couronner le tout, la tôle froissée de vaisseau spatial arrive à 40 pages de la fin, un peu maigre donc comme menu.
Vous l’avez compris, « Une guerre victorieuse et brève » est décevant mais pas suffisamment pour bouder le quatrième épisode « Au champ du déshonneur » en espérant que l’erreur de parcours soit vite oubliée … ou alors faut il dépoussiérer Black Jack Geary pour en prendre une nouvelle fois plein les yeux ?
Ce que j’ai aimé : La petite histoire de cœur d’Honor qui nous révèle une facette de sa personnalité que l’auteur n’avait pas abordé jusque la.
Ce que je n’ai pas aimé : L’embourbement de l’histoire dans les problématiques politique de Havre et la faible proportion d’action spatiale dans le livre.
Note : 2/5
Tristan

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Fondation – Fondation 3 – Isaac Asimov

FondationTitre Original : Foundation
Genre :
 
nouvelles, science-fiction, littérature américaine
Auteur : Isaac Asimov
Année :  1951
Nombre de pages : 236

Résumé : Alors, pour commencer, on va expliquer pourquoi je commence par le volume 3 d’un cycle. C’est le premier à avoir été écrit, tout simplement. Le before a été écrit bien après, donc j’ai décidé de faire une lecture chronologique du cycle.
Maintenant que les choses sont claires, ce sont des nouvelles mais qui suivent un fil conducteur historique. On est bien loin dans le futur, les hommes ont colonisé moult planètes pour former l’Empire Galactique avec sa super planète-capitale : Trantor. Hari Seldon, un super-mathématicien-statisticien fonde une nouvelle discipline : la psychohistoire. En gros, c’est de la voyance qui s’appuie de la statistique. Le gars, il prévoit donc l’effondrement imminent de l’Empire. Il réussit donc à les convaincre que la chute ne peut pas être stoppée, mais qu’il faut faire une planète avec moult cerveaux qui compilera tous les savoirs dans l’Encyclopaedia Galactica. On l’envoie lui et ses acolytes sur Terminus, qui porte bien son nom : un caillou au fin fond de la périphérie. Seldon, pas con pour un sou, fait une colonie parallèle à l’autre bout : Star’s End.
Petit à petit, l’Empire se délite effectivement et Terminus, sans protection impériale, doit commencer à se débrouiller. Les nouvelles racontent successivement plusieurs ères des encyclopédistes et comment ils se débrouillent pour que leur but perdure.

Ce que j’ai aimé : C’est un classique incontournable de la science-fiction. J’adore comment Asimov imaginait l’avenir, mais de manière tellement empreinte du XXe siècle.
Ce que je n’ai pas aimé : J’aurais aimé passer un peu plus de temps avec Hari Seldon.

Note : 5/5

DianaCagothe
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Cordelia Vorkosigan – Vorkosigan 1 – Lois McMaster Bujold

cordeliavorkosiganTitre Original : Shards of Honor
Genre :
  
roman, science-fiction, space opéra, littérature américaine
Auteur : Lois McMaster Bujold
Année :  1994
Nombre de pages : 320

Résumé : Toujours dans mon trip space op militaire, je farfouille une fois de plus chez mon libraire qui ne se lasse pas de me voir l’enrichir et je tombe (ouille) sur la saga Vorkosigan. Je lis le pitch, ça à l’air pas trop mal, bon je le prends.
C’est histoire d’un type commandant militaire que Lois McMaster Bujold fait passer pour un vieux crouton. Précision : il a 40 ans, merci donc Lois, j’avais déjà l’impression d’avoir un certain age, maintenant grâce à toi, en plus je suis un vieux crouton. Donc, le « vieux » rencontre Cordélia – son pendant militaire mais chez la faction ennemie – et la fait plus ou moins prisonnière pour traverser une forêt hostile sur une planète inhabitée très lointaine. Bon an mal an, ils se croisent et se décroisent sur fond de guerre interstellaire et de conflit politique. Les deux militaires deviennent progressivement deux tourtereaux tout mignons avec du je t’aime moi non plus à tire larigot.
Les combats spatiaux sont bons bien qu’en dessous de ceux de Honor Harrington ou de la flotte perdue mais le problème est qu’on se sait pas vraiment pourquoi ils se battent. Les motifs politiques tiennent en peu de pages et sont trop compliqués (ou mal expliqués ?). L’immersion du lecteur dans les scènes d’action est donc difficile.
Point de space opéra militaire ici en fait, les grands thèmes du genre ne sont pas abordés : ni management des armées, ni les stratégies militaires, c’est donc uniquement un space op d’une histoire d’amour entre deux militaires de deux factions différentes. J’ai donc mal pioché, mon libraire sera alors pendu haut et court ou guillotiné et pas de suite pour moi sur cette saga.
Ce que j’ai aimé : Les personnalités des deux tourtereaux bien retranscrite et crédible.
Ce que je n’ai pas aimé : L’intrigue politique de fond trop compliquée qui perd le lecteur dans les scènes d’action.

Note : 2/5

Tristan

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Pour l'honneur de la reine – Honor Harrington 2 – David Weber

couverture-14961-weber-david-honor-harrington-pour-l-honneur-de-la-reineTitre Original : The Honor of the queen (Mais pourquoi avoir traduit le titre pour l’édition française ??)
Genre :
  
roman, space opéra, science-fiction, littérature américaine
Auteur : David Weber
Année :  1993
Nombre de pages : 496

Résumé : Cette fois-ci, David Weber emmène notre Honor de service pour une négociation plutôt politique d’un accord avec une planète à mi-chemin entre le royaume de Manticore et la république du Havre. Une fois lu le premier opus, on connaît les talents désastreux de la pauvre bichette en matière de ronds de jambe et là, ça n’est pas vraiment mieux. Heureusement, on a une bande de fanatiques religieux anti-meufs avec des vaisseaux spatiaux en bois qui lui font reprendre de ce qu’elle préfère : plier du vaisseau spatial.
L’auteur nous emmène dans une aventure rythmée comme Mission Basilic : la première moitié pour nous faire connaître les différentes factions et les rapports qu’elles entretiennent entre elles, le quart suivant, on goûte à de la bataille type planet-opéra et le quart suivant elle fait tout péter dans l’espace. Honor est tout aussi bien mise en scène et David nous fait presque tomber amoureux d’elle tellement elle est magique et on aimerait avoir un manager qui en a comme ça dans le pantalon.
Des messages absolument pas subliminaux sont transmis comme la place de la femme dans la société, dans les postes de direction et dans la religion. A mon avis, on ne peut qu’approuver son point du vue à moins d’être complètement arriéré, le bouquin a été écrit en 1993, il n’est donc quand même pas avant-gardiste sur les idées.
Ce que j’ai aimé : Honor !
Ce que je n’ai pas aimé : La première partie un peu longue, on attend impatiemment de faire la guerre plutôt que de la politique et c’est justement pour ça qu’on ouvre ce bouquin.
Note : 4/5

Tristan

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Rendez-vous avec Rama – Rama 1 – Arthur C. Clarke

rendezvousavecramaTitre Original : Rendezvous with Rama
Genre :
  
roman, science-fiction, littérature anglaise
Auteur : Arthur C. Clarke
Année :  1973
Nombre de pages : 304

Résumé : Rien à voir avec un roman politique ou télévisuel, l’auteur nous conte l’histoire d’un immense vaisseau spatial (50km x 20km : Arthur n’a pas lésiné sur les moyens.) qui rentre dans le système solaire, en 2130, à l’époque où plein de planètes sont habitées. Ce vaisseau – Rama – est abordé, puis visité par une équipe de scientifiques qui aimerait bien comprendre le pourquoi du comment de ce vaisseau qui vient du fin fond de la galaxie.
Ils s’invitent donc, installent un camp de base dedans et observent une sorte de mini planète cylindrique avec une mer et tout plein de trucs bizarres.
Le roman est écrit sur un ton descriptif, les paysages sont bien détaillés, on sent qu’il a maquetté le vaisseau et qu’il a pris le temps d’imaginer un sacré truc avant de commencer à rédiger son machin. Les paysages sont superbes et on rentre complètement dedans. Ça c’est le point positif et ça impose le respect.
La ou le bât blesse c’est que justement, le ton neutre et descriptif ne laisse pas la place aux émotions des protagonistes. L’auteur ne nous permet pas de nous identifier à eux ce qui fait que le lecteur reste toujours en retrait de l’histoire et donc ne rentre pas complètement dedans.
La morale de l’histoire est intéressante car en général les romans de ce type mettent les humains au centre de l’univers pensant que la galaxie a trop envie de connaitre notre belle bande de badabeu terriens et là au contraire, les raméeens se fichent bien de ce qu’il se passe autour de notre nombril.
Ce que j’ai aimé : le travail réalisé pour imaginer et décrire Rama.
Ce que je n’ai pas aimé : le manque de personnalisation des protagonistes

Note : 3/5 

Tristan

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Le démon sans visage – Kévin Iacobellis

Démon sans visageTitre Original : Le démon sans visage
Genre :
 
Science-fiction, nouvelle, littérature belge
Auteur : Kévin Iacobellis
Année :  2013
Nombre de pages : 33

Résumé : Guilty est réputé pour être un village où règne la peur. Nul ne sait exactement pourquoi l’endroit tient cette réputation, mais des rumeurs circulent à propos de nombreux tueurs qui y sèment la terreur. « Je ne suis pas un grand amateur de films d’horreur, mais en revanche, je suis un expert pour retrouver des personnes disparues. Lorsque Henry m’engage afin de retrouver son frère, je fais la promesse de le ramener et de comprendre ce qu’il se passe dans ce village. Sur place, je découvre l’existence d’un Colocaster, un démon sans visage qui m’apprend la vérité sur les habitants… »

Ce que j’ai aimé : Quand Nancy nous a informé qu’un auteur nous avait contacté pour lire une de ses nouvelles, j’avoue que j’étais très excité par cette lecture toute neuve. Le canevas de l’histoire est très bon, l’idée est là, les ressorts de SF aussi avec quelques rebondissements qui auraient mérités d’être mis plus en valeur. Et c’est tout.
Ce que je n’ai pas aimé : Peut-être ai-je mis la barre trop haut ? Je suis déçu déçu déçu… Cette nouvelle me laisse un vilain gout d’inachevé dans la bouche, un gout d’écriture à l’arrache histoire de coller aux images, quitte à laisser le lecteur dans son coin. La première chose qui a commencé à me fatiguer est purement statistique: le nombre de ‘je’ et de ‘Guilty’ en italique à travers la nouvelle soit respectivement 618 et 128 (préface incluse) – 18 et 4 par page. Et le vocabulaire que diable ! 19 ‘étrange’ et 4 ‘étrangement’. Je ne parlerai pas des fautes que tout bon traitement de texte actuel soulignera de son plus beau rouge.
Ensuite, je m’identifie souvent au personnage principal, il n’est pas rare que je pleure ou que je ris en lisant un bouquin. Or, là, il est totalement impossible de s’identifier vu que la description du héros manque de cohérence: il est enquêteur, sans vie de famille, a beaucoup voyagé (même si son salaire raisonnable ne lui permet pas de faire cela), est pugnace dans ses enquêtes mais s’énerve très vite (en témoigne son arrivée à Guilty où il s’excite comme un naze dans le bar). Rajoutez le fait qu’entre deux pages, il n’a plus besoin d’une année sabbatique pour s’occuper de Guilty mais d’une semaine… J’avoue que je n’ai vu que la plume de l’écrivain à travers ces ‘je’ et pas un vrai personnage.
Enfin, Guilty, la ville un peu démoniaque: c’est une fois un village à l’autre coin de son pays, puis un coin reculé du monde mais pas tant que ça puisqu’il suffit de deux jours en bagnole (avec des pauses parce que c’est important les pauses) pour y arriver. Je passerai sur la description du Colocaster remplie de termes de biologie qui n’ont rien à faire là vu le langage utilisé sur le reste de la nouvelle : « ocelles sensorielles, . thermorécepteurs éparpillés sur cette dichotomie anatomique inhabituelle. ».
Question bonus: il repart comment M. Châtier de Guilty vu qu’il a paumé sa voiture au début de la nouvelle ?
Note : 1/5Kwaite

 
Ce que j’ai aimé : Effectivement, c’est très flatteur, quand toi, modeste rédacteur de blog quelconque, te fais repérer par un auteur qui t’offre une de ses œuvres en échange d’un avis. La couv’ est bien sympa et l’idée de commencer à écrire à partir de cette image est une très bonne idée.
Ce que je n’ai pas aimé : Je me joins à Kwaite pour ses critiques. Le bouquin est très mal écrit, ce ne sont qu’incohérences du début à la fin et un étalage du vocabulaire de biologiste (la carrière de l’auteur). Je ne suis pas déçue, je suis carrément énervée. Personne n’a donc lu cette œuvre? Dans l’entourage ou dans la blogosphère? Ah ben si pourtant, il y a bien quelques critiques élogieuses qui traînent par-ci, par là. Alors Kévin, un petit conseil, si tu veux évoluer dans ce domaine, arme-toi de quelques relecteurs, qui pourront, grâce à leurs critiques constructives, t’aider à t’améliorer. D’autre part, sois réactif, parce qu’après ta proposition de départ, j’ai été obligée de te relancer, je t’ai demandé le fichier au format « epub », qui est un peu le format universel pour les liseuses, et tu nous a envoyé un « pdf », tout cradoc’, qu’on a été obligé de tarabiscoter pour un minimum de confort de lecture. Bref, travaille ton marketing…
Note : 1/5DianaCagothe

Ce que j’ai aimé :
 Le fait que l’on me contacte pour faire une critique.
Ce que je n’ai pas aimé : Étant donné la façon dont nous avons été contacté ainsi que le ton du site internet, la barre était placée assez haut, la critique a donc été à cette hauteur. Nous aurions eu sous la main un écrivain plus jeune et moins en attente de reconnaissance forcée, cette critique aurait probablement été différente. J’ai, par exemple, pu être moins exigeant sur de la SF ou du fantastique du siècle dernier où l’on ne pouvait aborder certains sujets que différemment. L’Homme Invisible de H.G Wells en est le meilleur exemple.
Tout d’abord, au sujet de l’écriture, il y a de gros problèmes de tournures de phrases et on a l’impression que l’enfant maladroit : « je » … « je » … « je » … « je » … « je » … « je » … a du mal à transmettre une émotion au lecteur sans passer par un nombrilisme qui n’atteint forcément pas le lecteur. Je passe les fautes de scénario, mes collègues en ont déjà fait état plus haut. Non, sérieusement, Kevin, tu tiens là une bonne trame générale avec les codes qui vont bien, sur lesquels on peut s’appuyer – le village hanté, le détective rongé – mais un travail de réécriture est à refaire pour te lancer dans l’expérience de l’édition. Cela étant, ma critique n’est fondée que sur le premier tiers du livre, le tome 4 de la saga Honor Harrington m’a fait un peu plus d’œil et je me suis laissé emporter.
Note : 1/5  Tristan