
Genre : Roman, Aventures, Post-apocalyptique, littérature française
Auteur : Robert Merle
Année : 1972
Nombre de pages : 490
Résumé : Quelque part en France, en 1977… Il se passe un truc apocalyptique : je dis bien « truc apocalyptique » parce que nous ne saurons jamais ce qu’il est réellement advenu. Quelques hommes et une femme survivent : ils étaient en train de tirer le vin dans la cave du château de Malevil, lui même protégé par sa position géographique à côté d’une falaise. En sortant, ils voient que le paysage à perte de vue est en train de brûler, le ciel restant gris. Ils doivent alors s’organiser pour survivre dans ce nouveau monde.
Ce que j’ai aimé : Le procédé narratif. Le narrateur est le propriétaire du château, mais ses écrits sont quelques fois commentés par Thomas, un autre occupant du château. J’ai aussi aimé la réflexion menée par le narrateur sur les changements sociétaux nécessaires suite à un tel événement. Je n’ai pas pu m’arrêter sur les 150 dernières pages.
Ce que je n’ai pas aimé : Le côté « roman du terroir » m’a un peu dérouté au début.
Note : 5/5

6 réponses sur « Malevil – Robert Merle »
qu’entends tu par « roman du terroir », et en quoi c’est dérangeant? ça donne envie en tout cas de lire ce livre!
Pour moi, le roman du terroir, c’est qu’il sent bon l’odeur de Jacquou le croquant, avec une ambiance über paysanne. Mais vas-y lance toi, il se dévore tout seul
Top ce bouquin de M. Merle. Ce qui le rend non-refermable, c’est qu’on veut savoir, oui oui savoir comment ça va se passer dans l’après. C’est notre inquiétude au sujet de notre propre vie future qui prend le dessus. A lire et à relire (notez que je ne l’ai pas encore lu en lieu clos comme des WC, ça doit ajouter à l’atmosphère)…
Je l’ai lu à la lueur de ma liseuse dans le lit sous la couette dans la nuit noire et obscure. Flip total 😉 Mais effectivement, ça te donne envie d’apprendre quelques techniques de survie
Alors ça me donne envie de le lire aussi… Robert Merle il a marqué mes années lycée avec « La mort est mon métier »…
C’était mon premier Merle, je crois que je vais m’intéresser au bonhomme