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Le journal intime d'un arbre – Didier Van Cauwelaert

Le Journal intime d'un arbre
Genre :  roman, littérature française
Auteur : Didier Van Cauwelaert
Année :  2011
Nombre de pages : 245

Résumé : En ce moment, je suis dans le foufou absolu ultime, puisque, là-encore, c’est un algorithme qui a décidé à ma place. Oui, sinon, je n’y serai pas allée bien sûr. Évidemment, on se demande ce qui peut se passer derrière ce trou de couv’ : oui, du coup j’ai appris ce qu’était la dendrophilie, mais ce n’est pas grâce au bouquin, mais à mon esprit juste mal placé.
Là, rien de tout ceci, mais on suit juste la vie de Tristan, le poirier. Oui, il a un nom. Bon déjà, ce qui m’a attiré, c’est que je me suis demandée comment l’auteur allait pouvoir s’en sortir, parce que le journal intime d’un arbre, je me voyais déjà lire du Ent, avec la pluie, le beau temps, le vent, un vrai coup de Madame Soleil. En fait, Tristan est un poirier tricentenaire, auquel son proprio, un vieux toubib est très attaché, parce que son fils y a été abattu. Yannis, un écrivain de pacotille, essaie de le faire classer dans les arbres remarquables, et Manon, un chtiote malheureuse vient y trouver refuge pour fuir ce triste monde tragique. Et paf, pas de bol, une mini-tornade et paf le Tristan. Il ne meurt pas vraiment, une racine reste bien accrochée. Son âme, humanisée au possible, va alors voguer entre les personnages qu’il côtoie ou qu’il a côtoyé et errer.

Ce que j’ai aimé : Le pitch. Au départ, c’était tellement intrigant, l’idée était carrément originale et je me demandais comment l’auteur allait s’en sortir.
Ce que je n’ai pas aimé : C’est un peu loupé tout de même, l’arbre ici ne sert que de fil conducteur pour l’histoire des personnages principaux, tous un peu trop mystiques. Y’avait de l’idée, mais c’est foiré, dommage! Et puis c’est tellement chiant, ces bouquins blindés de pseudo-philosophie à deux balles!

Note : 1/5
Plumpy Trash
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Addiction – Blake Nelson

AddictionTitre Original : Recovery Road
Genre :
 
roman, jeunesse
Auteur : Blake Nelson
Année :  2011
Nombre de pages : 348

Résumé : Encore une histoire de jeunes et de drogues. C’est un peu ma came à moi on dirait, comme si je m’étais toujours imaginée jeune tox, alors que bon, pas vraiment. J’ai sans doute tripoté un peu plus de truc que le commun des mortels, mais jamais à ce point-là. Bon bref, là, j’ai toppé l’histoire de Maddie, une petite ado de 17 ans qui vit le triste monde tragique de la désintoxication. Paf, même pas, la phase sombritude, non : là, on est au bout du chemin. Bon, ben la clinique de désintox, forcément, c’est moche. Elle se fait une super copine, les autres puant trop du slip, et elle se prend de béguin pour Stewart, un toxico maigrichon, avec le look de rock-star-qu’il-est-tellement-trop-beau-que-tout-le-monde-se-retourne-sur-lui.
Chamalove party, ils s’aiment, mais c’est compliqué, tu vois. D’abord, parce qu’elle sort de désintox avant lui. Et puis parce que la Maddie, c’est une bourge plus prout prout tu meurs. Le gamin, lui, c’est un digne descendant de la cassos family. Et comme on est dans un livre pour ado, tout est un « triste monde tragique« . Maddie, elle a la gniaque, elle veut s’en sortir, donc elle s’accroche à donf’ à l’école. Pour Stewart, c’est plus compliqué. Comment leur histoire d’amour va perdurer?

Ce que j’ai aimé : La vitesse à laquelle ça se lit.
Ce que je n’ai pas aimé : La mignonceté et la gnangnantitude. OK, on est dans le rayon jeunesse, mais ce n’est pas une raison pour nous servir une soupe pareille. La Maddie, elle est tellement trop propre sur elle que ça en devient flippant et que tu te demandes même comment elle a réussi à faire une crise d’adolescence. Vraiment, épargnez-vous cette dépense (que ce soit financière en l’achetant ou énergétique en le chopant à la biblio) et ne prenez pas vos ados pour des cons.

Note : 1/5
Plumpy Trash
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Les hommes viennent de Mars les femmes viennent de Vénus – John Gray

 

Les hommes viennent de Mars les femmes viennent de VénusTitre Original : Men are from Mars, woman are from Venus
Genre :
 
coaching
Auteur : John Gray
Année :  1992
Nombre de pages : 346

Résumé : Bon ben tout est dans le titre, les hommes et les femmes sont des étrangers l’un pour l’autre. Comme deux cons à Babel, ils ont beau se parler, ils ne se comprennent pas, mais heureusement que le Dr. Gray déboule dans nos vies pour nous servir de traducteur de poche, on va enfin pouvoir se comprendre…

Ce que j’ai aimé : Ma décision d’arrêter cette bouse à la 27e page. Je vous jure, c’est douloureux pour moi d’arrêter un livre, mais là, ça s’est passé sans accroc.
Ce que je n’ai pas aimé : Bon, j’avoue, je suis assez insensible aux bouquins de coaching qui me paraissent toujours trop caricaturaux. Je ne me laisse pas embarquer dans le bourrage de crâne, c’est peut-être pour ça qu’Allen Carr n’a eu aucun effet sur moi. Mais bon, au vu du best-seller mondial, et vu que je suis en couple, et vu qu’on s’est dit oui-pour-la-vie, je me suis dit que je ne pouvais pas passer à côté. Si autant de gens l’ont acheté à travers le monde et ses cultures, c’est qu’il doit y avoir un truc. Et même si mon couple va bien, on sait jamais, une crise est si vite arrivée, ça pourra m’aider à gérer…
Bon, ben, sans moi hein? D’abord, ça commence par une belle auto-promo : l’auteur nous rapporte les propos de soi-disant (vrais ou éléments marketing, on s’en branle, en fait) qu’il aurait sauvé grâce à cette méthode. Ça, c’est un truc qui m’éneeeeeeerve : parle-nous d’abord de ta méthode, et après de tes résultats. Moi, les vantards, je me méfie, donc je commence ta lecture avec les yeux-mi-clos-parce-que-je-le-sens-pas. Bref, je trouve ça louche de se passer la brosse à reluire avant le début…
Ensuite, la méthode bourrage de crâne : quand Mister Gray sent qu’il a pondu un bon poncif, comme il est très fier de sa crotte, il la regarde et il la prend en photo et fait sa petite séance diapo. Pardon, je m’égare. Dès qu’il a sorti une phrase qu’il sent bien percutante, il la répète dans un paragraphe à part et en italique. Why the fuck? Why? On tue des arbres pour ça, bordel?
Enfin, bienvenue dans le bon vieux cliché de l’Amérique des années 50 : « Aujourd’hui encore, sur la Terre, tandis que les femmes rêvent au grand amour, les hommes fantasment sur les voitures puissantes ». Ouaouh, Gray n’y va pas par cinquante nuances… C’est tellement trop que cette phrase a sonné le glas de ma lecture. J’ai eu l’impression d’être en phase post « Manif pour tous » et « théorie du gêne-d’heure ».
Conclusion, fuyez votre chemin, écoutez vraiment plutôt votre partenaire, ça vous sera plus utile que ces conneries… A chier, à chier, à chier. Vivons au 21e siècle!

Note : 1/5
Nancy
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Mémé Goes To Hollywood – Nadine Monfils

Mémé Goes To HollywoodGenre :  roman, humour, action
Auteur : Nadine Monfils
Année :  2014
Nombre de pages : 228

Résumé : Bon ben c’est le retour de la vengeance de la mort qui tue la vie de Mémé Cornemuse. Si tu sais, la vieille cinglée des vacances du Serial Killer.
Mémé, elle a pour objectif de rencontrer Jean-Claude Vandamme à Hollywood et de se marier avec lui. Rien que ça, la folie des grandeurs…
Comme elle n’a pas le sou et que l’Amérique, elle veut l’avoir. Elle passe donc à la téloche pour se faire adopter. Elle se retrouve donc dans une famille Néchinoise, qu’elle se fait un plaisir de plumer pour partir dans un fourgon baraque à frites. Et patati, et patata.
Ce que j’ai aimé : Ca se lit très vite.
Ce que je n’ai pas aimé : Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais j’ai eu envie de le lire. J’ai encore du succomber aux sirènes de la caravane en couv’. Ca n’a ni queue ni tête, mais ça n’est pas drôlement absurde. mais bon, j’ai déjà conchié à plusieurs reprises la Nadine. Impossible de faire une chronique digne de ce nom, j’oubliais le paragraphe lu une fois passé au suivant. J’ai du en reprendre des pages. Heureusement, il n’y en a pas trop, Belfond nous gratifie de nombreuses pages blanches, comme d’habitude. Le matin, je ne pars jamais sans une bonne centaine de pages devant  moi, au risque de tomber en rade, sinon, je pars avec un autre livre. Ben là, j’avais la dose requise (normalement) mais ça n’a pas suffit. Next.

Note : 1/5
Nancy
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Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire – Jonas Jonasson

Hundraåringen som klev ut genom fönstret och försvannTitre Original : Hundraåringen som klev ut genom fönstret och försvann
Genre :
 
roman, littérature suédoise, road-trip
Auteur : Jonas Jonasson
Année :  2009
Nombre de pages : 506

Résumé : Pour son centième anniversaire, Allan Karlsson décide de fuguer de la maison de retraite ou il s’ennuie à mourir. Pendant sa fuite, il va ’emprunter’ la valise d’un membre d’un gang. S’en suit une course poursuite entre le vieillard et le gang avec en toile de fond, la vie passée du vieux.

Ce que j’ai aimé : Les cinq première pages. C’est très drôle de voir ce vieillard centenaire se carapater en charentaises.
Ce que je n’ai pas aimé : Je n’ai même pas pu le finir Je n’ai jamais réussi à ressentir de la sympathie avec le personnage principal ni même réussir à avoir un minimum d’empathie.. L’ennui a eu raison de moi et j’ai du, pour la première fois, abandonner un livre en cours de lecture. Je le note un parce que ma petite sœur l’a adoré et que j’ai peur qu’elle me tape si je mets un zéro.

Note : 1/5
  Kwaite
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Aux mains de l'ennemi Tome 1 – Honor Harrington 7 – David Weber

 

auxmainsdelennemitome1Titre Original : In enemy hands
Genre :
 
roman, science-fiction, space opéra, militaire
Auteur : David Weber
Année :  1996
Nombre de pages : 352

Résumé : Fan de la série depuis le 1er opus, je reconnais qu’il y a des hauts et des bas dans le cycle, on peut citer « Mission Basilic » et « Mascarade silésienne » comme les meilleurs et « Au champ du déshonneur » comme étant le moins bon, car plus orienté planet opéra que space op. Bref, David Weber nous sert tout de même un cycle bien écrit avec un univers bien travaillé, des protagonistes profonds, des scénarios de qualité et un fil directeur général du cycle qu’on a envie de suivre. Là, contrairement à ma précédente critique (Mascarade silésienne) qui a regroupé les tomes 1 et 2, je ne parlerais que du premier tome de « Aux mains de l’ennemi » :
L’auteur a donc probablement soit eu quelques déboires avec son éditeur, soit fait une tentative d’un autre style et nous sert ici un numéro bien en deçà de la qualité du cycle. Le bouquin fait 350 pages et pendant 300 pages, on a le droit à des discussions politiques ou des descriptions somnolentes, bref, il ne se passe r.i.e.n. Sur la fin, on a tout de même droit à Honor et le comte de Havre Blanc qui en pincent un peu l’un pour l’autre et une mission qui part dans l’espace (ouf). Le numéro est donc à éviter de toute urgence.
Je vous renvoie donc au résumé du premier tome par Wikipédia pour vous éviter de l’ouvrir et vous permettre d’attaquer directement le tome 2 (attention, l’article de Wikipédia fait un résumé des tomes 1 et 2, je ne vous conseille donc pas de le lire en entier à moins de ne pas être gêné par le spoil) :

Le triumvirat dirigeant le comité de salut public de la République populaire de Havre décide de nommer Esther McQueen au comité malgré la perte de l’Etoile de Trévor ainsi que d’autres systèmes, ceci à fin de redonner confiance à la flotte après toutes les purges et exécutions faites.

Honor revient sur Grayson accompagnée de son chat sylvestre Nimitz ainsi que de Samantha sa compagne et de leurs quatre chatons. Huit chats adultes les accompagnent pour les aider à élever les chatons et à établir une colonie extraplanétaire. Elle soupçonne les chats sylvestres d’être plus intelligents qu’ils ne le laissent paraitre. Pour le voyage, elle a acheté un yacht rapide le Paul Tankersley lors de l’arrivée un chat adulte, Farragut, adopte Miranda LaFollet première dame de la maisonnée Harrington. Honor qui a été promue commodore, discute des perspectives de développement des armements avec l’amiral de Havre-Blanc, ils s’affrontent. Havre-Blanc se rend compte qu’il a tort et surtout qu’il est attiré par elle. Honor a un coup de foudre pour lui mais c’est son supérieur hiérarchique et il est marié. Pour échapper à ses sentiments, Honor prend le commandement d’une escadre de croiseurs.

Ce que j’ai aimé : Les 50 dernières pages donnent tout de même envie de lire le tome 2.
Ce que je n’ai pas aimé : Le manque d’action et l’empêtrement de l’auteur dans des discussions ou des descriptions peut-être d’un certain intérêt si l’on souhaite creuser un peu plus le background de l’univers mais c’est tout.

Note : 1/5
Tristan

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Moins Que Zéro – Bret Easton Ellis

Résumé : On est aux alentours de l’anniv’ de WC, alors j’ai décidé de me replonger dans l’oeuvre d’un auteur que j’ai pas mais pas du tout aimé, souvenez-vous. Là, je reviens aux sources, je me tape le premier roman de Bret Easton Ellis. On y suit les aventures de Clay, un petit étudiant qui rentre passer les vacances de Naël chez pôpa-môman. Alors, Clay et ses copains, ce sont de bons gros gosses de riche. Les parents se branlent un peu de tout, il y a donc du pognon, donc de la coke et des putes (et du bronzage). Enfin, ça tapine beaucoup chez les mecs surtout. On écoute du bon son des années 80, et on erre de fête en fête. Clay participe à tout ça, se dope pas mal mais gère. Il est un peu au-dessus de tout ça, il regarde ça avec un oeil détaché, même des morts dans la rue ou un de ses potes se prostituer, ou une gamine de douze ans se faire droguer et violer.

Titre Original : Less Than Zero
Genre :
  roman, littérature américaine, contemporain
Auteur : Bret Easton Ellis
Année :  1988
Nombre de pages : 250

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Ce que j’ai aimé : L’auteur a soigné sa bande son, le petit Clay, il écoute de la bonne zik d’époque. Le style est facile à lire, ça se survole même.


Ce que je n’ai pas aimé : Qu’est-ce que je me suis emmerdée, c’est pas Dieu possible! Un peu comme Clay, et je crois que c’était la volonté de l’auteur : histoire de nous faire passer le côté désabusé de la première génération post-trente-glorieuses. Sur l’internette, les gens ont adoré ou détesté, comme bien souvent avec cet auteur. Moi j’ai surtout beaucoup baillé… Je ne sais pas si j’aurais un jour la force de m’attaquer à la suite.

Je ne veux pas de l’amour. Si je me mets à aimer des trucs, je sais que ça va être pire, que ce sera encore une chose qui me causera du souci. Tout est moins douloureux quand on n’aime pas.

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La Femme Parfaite Est Une Connasse – Anne-Sophie Girard et Marie-Aldine Girard

 

la femme parfaite est une connasseGenre :  essai, humour, littérature française
Auteur : Anne-Sophie Girard, Marie-Aldine Girard
Année :  2013
Nombre de pages : 159

Résumé : C’est Ze best-seller de l’année 2013, tu n’as pas pu passer à côté. Le petit guide de survie pour les femmes « normales » est un recueil de phrases et de petits conseils ayant pour but de décomplexer la majorité d’entre nous, les filles, de nous apprendre à gérer des situations, des petits tests pour comprendre qui on est.

Ce que j’ai aimé : Ça se lit en 30 min chrono. Sinon, j’ai souri quelques fois, parfois, deux fois. (Tu as vu comment j’essaie de trouver des points positifs, mais que je n’y arrive pas trop)
Ce que je n’ai pas aimé : Justement ce temps de lecture, qui tout de suite, te dit que tu viens de te faire voler cinq euros de manière honteuse. Bon, je vous le dis, moi, rien que le titre, je sentais que j’allais le déchirer. Nan, parce que bon, sous couvert de décomplexer, on monte encore un peu les femmes les unes contre les autres, ou au moins, on véhicule le cliché qu’on se jalouse toutes secrètement et que notre but, c’est de nous crêper le chignon.
Alors, ouais, je sais, c’est de l’humour, sa ka wigoler, toussa toussa.
Comme je t’ai dit, j’ai souri deux fois, mais pour le reste, j’ai vraiment eu de la peine plus que de la colère. Bridget Jones abordait les problèmes de la femme active, célibataire, un peu mal dans sa peau de manière plus intelligente. Ici, on ne te renvoie qu’à ta propre culpabilité : page 96, la phrase « Une fille qui ne grossit pas, c’est une fille qui ne mange pas » est répétée 18 fois. On te culpabise si « tes yeux sentent le cul », comme dirait l’autre, puisque tu es forcément une chagasse.
Ce serait donc moi qui suis trop vieille pour ces conneries? Bien qu’étant la cible du produit, je n’ai pas ri, parce que je ne me suis pas identifiée sur les situations ou problématiques traitées, parce que je ne les ai plus rencontrées depuis l’âge d’environ 13 et demi.
Bref, une lecture très dispensable, qui au lieu de faire rire, en met un coup dans la gueule au féminisme. Pour aller plus loin et éviter de jeter 5 euros par la fenêtre (ou alors faites-le pour de vrai, ça fera au moins plaisir à celui qui trouvera le bifton), je vous invite à lire la revue faite par Slate. Et je partage avec vous les propos d’une femme parfaite (ou qui pour moi s’en rapproche beaucoup) qui n’est pas une connasse, oh non, Juliette Dragon : je préfèrerais qu’on véhicule ce genre de discours plutôt que celui des soeurs Girard, notamment à partir de 2min11.


NDLR : Merci à Corine pour le prêt du livre et désolée pour tes 5 euros 😉
Note : 1/5
DianaCagothe
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L'Encyclopédie de la Fantasy – Jacques Baudou

 

L'encyclopédie de la fantasyGenre :  encyclopédie, fantasy
Auteur : Jacques Baudou
Année :  2009
Nombre de pages : 175

Résumé : Jacques Baudou nous parle des origines de la fantasy, des contes populaires en passant par Lewis Carroll et son Alice au Pays des Merveilles. Il fait une part belle à l’oeuvre de J.R.R. Tolkien puis nous décrit les divers genres de fantasy : héroïque, épique, arthurienne, humoristique, urbaine… L’ouvrage accorde un dernier chapitre aux jeux sous toutes leurs formes.

Ce que j’ai aimé : Ça parle de fantasy, un de mes genres chouchous en littérature.
Ce que je n’ai pas aimé : L’auteur spoile sans hésiter les œuvres dont il parle, ce qui est très dommage, parce que si tu acquiers ce genre d’ouvrages, c’est pour élargir tes horizons, entre autres. Cela manque également de profondeur. Baudou dresse une sorte de catalogue, surtout d’œuvres archi-connues du grand public. J’aurais aimé qu’il sorte un peu des sentiers battus. D’autre part, il s’agit surtout d’une encyclopédie de la littérature. Le cinéma, les jeux de rôle et de plateau, la bande dessinée et l’illustration, qui sont les principaux médias vecteurs de ce genre aujourd’hui, sont survolés. Bref, une encyclopédie qui n’en a que le nom.

Note : 1/5
DianaCagothe
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Pontesprit – Joe Haldeman

 

PontespritTitre Original : Mindbridge
Genre :
 
roman, science-fiction, militaire, space opéra, littérature américaine
Auteur : Joe Haldeman
Année :  1976
Nombre de pages : 296

Résumé : Dans le courant du XXIe siècle, on découvre un cristal qui permet la téléportation. Enfin de manière temporaire, puisque les objets et gens reviennent systématiquement à leur lieu d’origine au bout d’un certain temps.
Ce cristal, une fois maîtrisé, permet de commencer pour de vrai l’exploration spatiale. Jacque Lefavre, suisse-allemand, mi-brute, mi-surdoué, deviendra un de ces explorateurs, nommé maîtriseurs. Lors d’une de ses expéditions, Jacque et ses collègues découvrent une bestiole qui, tue la première personne qui la touche, mais qui permet un contact télépathique entre les suivants qui entrent en contact. Les humains se serviront de cette bestiole pour tenter de communiquer avec une autre espèce intelligente qu’ils découvriront plus tard, mais qui est très, très méchante.

Ce que j’ai aimé : La construction du roman, émaillée de tableaux, rapports, graphiques. C’est très original.
Ce que je n’ai pas aimé : L’omniprésence de tableaux, rapports, graphiques. C’est marrant au départ, mais ils sont vraiment trop nombreux, on s’en lasse vite. Surtout que ça prend vachement de place par rapport à l’histoire. J’ai aussi détesté la quatrième de couverture, qui spoile complètement la fin du livre dès la première phrase. Du coup, j’ai trouvé que ça mettait vachement de temps à démarrer. Bref, je me suis vraiment ennuyée, surtout que j’avais bien aimé auparavant le même auteur avec Rêves Infinis.

Note : 1/5
DianaCagothe