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Le Monde Vert – Brian Aldiss

 

Le Monde VertTitre Original : Hothouse
Genre :
 
roman, science-fiction
Auteur : Brian Aldiss
Année :  1962
Nombre de pages : 336

Résumé : On est sur la Terre, dans longtemps, très longtemps. La race humaine n’est plus, enfin n’est plus ce qu’elle était : elle a connu la décadence, les humains ont perdu la science, ne connaissent plus que la survie et un peu de mystique. Ils ont d’ailleurs beaucoup diminué en taille. La plupart des animaux ont également disparu, il reste encore quelques insectes également. Le monde est redevenu végétal à mort. Oui, à mort. Les plantes sont flippantes, non seulement par leur taille mais par leur comportement, assez bestial. Au milieu de tout ça, un clan d’hommes qui part en lambeaux, et qui tente de survivre à la djeun’-gueule.

Ce que j’ai aimé : Un très très bon pitch.
Ce que je n’ai pas aimé : Difficile de rentrer dans ce roman. Trop de plantes tue la plante. Impossible d’imaginer ce monde autrement que défoncé au LSD. L’auteur enchaîne les plantes sans trop les décrire, on a du mal à s’immerger, surtout que vlà le putain d’herbier! Et puis les héros sont un peu con-cons, on s’identifie peu à eux. Et puis péripétie sur péripétie, pas de repos pour les braves, ça en devient crevant.

Note : 2/5
Nancy
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Le monde de la mort – Harry Harrisson

lemondedelamortTitre Original : Deathworld
Genre :
 
roman, science-fiction, planet opéra
Auteur : Harry Harrisson
Année :  1960
Nombre de pages : 127

Résumé : Jason est un joueur professionnel. Un jour il se fait contacter par quelqu’un – de mystérieux, bien sûr, sinon, quel intérêt de se faire contacter par « quelqu’un » – qui lui propose un deal : il perçoit une somme d’argent de départ et doit la jouer au casino. Il a un montant à gagner pour cette personne et s’il dépasse ce montant, le trop perçu est à lui. Le pauvre Jason gagne et apprend finalement que ce fric est gagné pour l’achat d’armes pour une utilisation sur une autre planète. Bien entendu, il embarque pour la planète en question. Très classiquement, il peine à se faire accepter par les autochtones et est plongé dans une guerre entre la planète et les colons humains.

Ce que j’ai aimé : Harry Harrisson nous livre ici un planet opéra plein d’action, très bien écrit. Les descriptions de faune et de flore sont bonnes, on se croirait dedans et on est tout de suite pris de sympathie pour le héros, bref on passe un bon moment.
Ce que je n’ai pas aimé : Les pouvoirs psy du héros sont peu exploités, l’auteur aurait pu construire un personnage plus riche avec ce point.

Note : 3/5
Tristan

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Les marteaux de Vulcain – Philip K. Dick

lesmarteauxdevulcainTitre Original : Vulcan’s Hammer
Genre :
 
roman, science-fiction, fantastique
Auteur : Philip K. Dick
Année :  1960
Nombre de pages : 221

Résumé : C’est mon deuxième Philip K. Dick (le premier : Ubik) et là encore, quand je me suis plongé dans son univers, je n’ai pas dé-scotché du bouquin tellement ses concepts sont démentiels. Là, on a les humains qui se font diriger par un super ordinateur : Vulcain III. L’idée, c’est que cet ordi est enterré loin sous terre et que les dirigeants humains (en réalité « sous-dirigeants » car celui qui dirige le monde est notre Vulcain de l’histoire) lui apportent des questions (par l’intermédiaire d’un gus qui est un des protagonistes principaux). Le Vulcain, il enregistre la question et il pond une réponse. Ses réponses sont de tout ordre et ordonnent les choix politiques ou moraux de la planète. Pour alimenter sa base de connaissance, l’ordi pose également des questions et l’on doit y répondre, c’est de cette façon qu’il construit le mode de pensée à appliquer. Tout va donc presque bien dans le meilleur des mondes sauf que, bien sûr, un regroupement – « Les Sauveurs » – n’entend pas d’un bon œil un contrôle de la vie par un ordinateur.
Le livre a été écrit en 1960 et pour moi, il s’agit clairement un romain d’anticipation : le monde entier pose des questions à la même machine. Cette machine répond selon un ordonnancement de l’information qui lui est propre et qui nous est inconnu. Et ce même monde entier prend des décisions suite à ses réponses. Ça ne vous dit rien ?
Ce que j’ai aimé : L’écriture, le rythme, les concepts.
Ce que je n’ai pas aimé : La fin happy end (pas de spoil donc je m’arrête la.)

Note : 4/5
Tristan

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Fahrenheit 451 – Ray Bradbury

 

Fahrenheit 451Titre Original : Fahrenheit 451
Genre :
 
roman, science-fiction, dystopie
Auteur : Ray Bradbury
Année :  1953
Nombre de pages : 213

Résumé : Dans quelques siècles, les maisons seront ignifugées. Mais le métier de pompier ne disparaîtra pas. Ils seront recyclés en brûleurs de livres, parce que, tu comprends, c’est pas possible des trucs qui disent quelque chose et son contraire, qui amène les gens à s’interroger…
Et bien justement, nous allons suivre Montag, un de ces néo-pompiers. Il a réussi à sa manière, il est marié, a un bon taf d’avenir dont il est fier, bref, tout va pour le mieux, il pourra même bientôt peut-être se payer le quatrième mur-écran, pour avoir une méga-téloche. Mais à un moment, au boulot, le limier, sorte de chien robot commence à le renifler bizarrement et il ne comprend pas pourquoi.
Et puis à la fin de la nuit, quand il rentre chez lui, il rencontre Clarisse, une toute jeune fille, un peu hors norme dans cette société : elle kiffe un peu tout, comme se promener (truc incongru dans ce monde), ou s’interroger sur sa vie, son oeuvre, la mort, l’existence. Montag est charmé (de manière tout à fait platonique, je vous rassure) par cette jeune fille, qui lui apporte une bouffée d’air frais dans son monde pas si bienheureux que ça. Il commence donc à se poser des questions lui aussi, sur sa vie, son œuvre, et son existence…
Un soir, au cours de l’une de ses missions, une femme qui a été dénoncée décide de mourir brûlée avec ses livres. Cet événement va être la dernière goutte qui va faire basculer Montag, et lui faire voler un livre… La curiosité devient trop grande…
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Ce que j’ai aimé : Attention, classique, que dis-je? Monument! Bon, la toute première chose que j’ai aimé dans ce roman, c’est le côté nocturne de l’intrigue. Montag se demande à un moment donné pourquoi les pompiers agissent toujours de nuit : parce que les flammes sont plus spectaculaires… Ca donne une ambiance très particulière au roman.
J’avais lu ce roman au lycée (merci d’ailleurs à M. Aubanelle, où qu’il soit, pour sa géniale fuckin’ liste de lecture du programme de 2e), mais pour moi, il prend toute son ampleur aujourd’hui. Entre les deux époques, vingt ans entre les deux lectures, les écrans et les divertissements se sont multipliés, la société de loisirs et de l’image également. Je ne vais pas tomber dans la rengaine de « les gens ne lisent plus et ne réfléchissent plus, SAYMAL ». Mais c’est juste un peu flippant de voir comment ta société commence à ressembler à celle que les grands auteurs d’anticipation envisageaient dans leurs (nos) pires cauchemars. Pas de « c’était mieux avant », juste que ma relecture prend une autre dimension. Et c’est encore un livre choc qui nous tombe entre les mains, on n’en ressort jamais vraiment pareil.
Et puis j’aime toujours autant ces vieux romans toujours déniché avec plaisir au fin fond du bouquiniste… A lire à la lampe de poche!
Ce que je n’ai pas aimé : Rien, à lire et à relire…

Note : 5/5
Nancy
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Le vieil homme et la guerre – Le vieil homme et la guerre 1 – John Scalzi

levieilhommeetlaguerreTitre Original : Old man’s war
Genre :
 
roman, science-fiction, space opéra, militaire
Auteur : John Scalzi
Année :  2005
Nombre de pages : 265

Résumé : Le vieil homme et la guerre nous raconte l’engagement d’un homme de 75 ans dans l’armée. A cette époque, l’homme a colonisé un certain nombre de planètes et a pactisé ou est en guerre avec des populations extraterrestres. Cet homme va se retrouver à commander une troupe militaire et à élaborer des stratégies de batailles sur le terrain. L’action est bien écrite, les protagonistes sont attachants et les scènes crédibles.
Contrairement aux autres romans SF space op militaires, l’auteur ne fait pas passer par ce roman des messages sur sa vision de la société : il n’est pas question ici de management d’équipe ni de féminisme ou de politique. L’histoire est vraiment centrée sur cet homme, ses sentiments et les relations qu’il va se faire au sein de son activité militaire. Le roman peut paraître donc plat du fait d’un manque d’engagement de la part de l’auteur sur les sujets clés du genre mais en réalité, c’est par ce style que le côté « tranche de vie » ressort et reste quand même agréable à lire.
Un détail m’a déplu ans ce livre : le « saut »  ne correspond pas au voyage interstellaire mais au voyage entre plusieurs dimensions. Ce qui m’a déplu est qu’à chaque fois que l’auteur en parle, il utilise le même champ lexical et les mêmes références que le saut traditionnel qui consiste à voyager en vitesse supraluminique dans l’espace. Je dois être bourré de principes mais je trouve que ce détail affecte le réalisme du livre.
Ce que j’ai aimé : Le style d’écriture « tranche de  vie ».
Ce que je n’ai pas aimé : Le côté un peu « plat » du roman.

Note : 3/5
Tristan

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Le filet d'Indra – Juan Miguel Aguilera

 

Le filet d'indraTitre Original : La Red de Indra
Genre :
 
roman, science-fiction
Auteur : Juan Miguel Aguilera
Année :  2009
Nombre de pages : 377

Résumé : Grâce à leurs satellites tout-puissants, les ricains découvrent une grosse géode de deux kilomètres de diamètres bien enfoncée dans le granit canadien. C’est trop bizarrement parfait pour que ce soit quelque chose de naturel. Ils constituent donc une bonne grosse équipe internationale de scientifiques, tout ça supervisé par l’armée of course.
Ils font leur petite base secrète, creusent, et tombent sur la géode, constituée de diamant noir. Leur analyse révèle qu’elle ne contient qu’un truc au beau milieu, qui ressemble fortement à un trou noir. Aller voir, ne pas aller voir? Bien sûr, les scientifiques se tâtent, parce que si c’est bien ce qu’ils pensent, le trou noir risque de bouffer la Terre toute crue. Mais le gouvernement pousse au cul, parce que la situation politique au Canada commence à puer du bec pour les you-essai.
Pot de terre contre pot de fer, les militaires réussissent à pousser les scientifiques à ouvrir. A ce moment-là, la géode « se défend » et crée un dôme invisible qui les enferme tous. Déjà qu’il ne fait pas bien chaud au Canada, mais là, la température continue de chuter et en plus, ils ont extrêmement peu de réserves d’eau et de nourriture. Leur seule solution consiste à essayer de passer par le trou noir. Ouais…
Ce que j’ai aimé : Putain j’ai adoré ce roman, malgré tout ce que j’ai trouvé de critiques négatives all around ze web. Pour moi, c’est une chouette découverte. Neko, un des personnages principaux, est un geek suprême, alter ego de Sheldon Cooper. D’ailleurs, je pense que c’est une source d’inspiration pour l’auteur, qui décline un beau melting-pot de toutes ses références SF : du Dôme de Stephen King, à Stargate pour le côté « Porte des Etoiles », puis à H.G. Wells pour les civilisations rencontrées, que ce soient des gentilles, comme dans la Machine à Explorer le Temps, ou bien les vilaines comme dans la Guerre des Mondes. D’ailleurs, vers la fin, les confontrations avec les méchants ne sont pas sans rappeler Starship Troopers. Bref que du bon, englouti en deux jours! Une belle découverte de mon challenge « je me fais le rayon SF de ma biblio par ordre alphabétique »!
Ce que je n’ai pas aimé : Que ça se termine!

Note : 5/5
Nancy
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Le choix du courage – Confédération 1 – Tanya Huff

lechoixducourageTitre Original : A Confederation of Valor
Genre :
 
roman, science-fiction, planet opera, militaire
Auteur : Tanya Huff
Année :  2006
Nombre de pages : 300

Résumé : En plein dans mon trip space opéra militaire, je me fais conseiller « le choix du courage » de Tanya Huff, ça tombe bien c’est le premier tome d’un cycle (Confédération) donc si j’accroche l’univers, je peux continuer. Eh bien en fait non, ça n’est pas un space op militaire, c’est un planet opéra militaire et moi, si j’ai pas quelques vaisseaux spatiaux qui se tirent la bourre, je m’ennuie.
Bon, ça ne m’a pas empêché de le lire et ça en va pas m’empêcher non plus de vous faire le pitch : c’est l’histoire d’une petite garnison plutôt orientée « missions musclées » qui se tape de faire de la figuration style garde d’honneur pour une mission politique sur une autre planète. Forcément, ils s’ennuient tous à mourir et – on ne s’y attendait pas du tout – ils finissent par se retrouver dans leur élément naturel favori, à savoir dans la jungle contre des hordes d’autochtones et donc à reprendre sérieusement du service.
L’univers est bien construit, chaque personnage à son petit background, plusieurs races extraterrestres sont présentes avec leurs caractéristiques propres du style mandibules et compagnie et on s’y attache facilement. Les scènes d’action sont bien écrites et la lecture est fluide.
Ce que j’ai aimé : Le background, les descriptions des extraterrestres, la fluidité de lecture.
Ce que je n’ai pas aimé : Sur la deuxième moitié du livre, on est au même endroit avec la même action qui se répète, et même si ça tire dans tous les coins, on a envie que ça bouge un peu plus ailleurs.
Note : 3/5
Tristan

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L'univers en folie – Fredric Brown

luniversenfolieTitre Original : What mad universe
Genre :
 
roman, science-fiction, planet opéra, fantastique
Auteur : Fredric Brown
Année : 1949
Nombre de pages : 197

Résumé : Keith Winton est écrivain de science-fiction. Il rédige des nouvelles pour le compte d’un magazine. Lors d’un week-end chez le patron du magazine, une fusée censée aller sur la lune s’écrase à côté de lui, provoque un éclair électrique qui l’envoie dans un autre univers. On découvre un univers parallèle sur terre avec les luniens (habitants de la lune) et autres créatures bizarroïdes.

Bien sur, notre héros est pris dans une histoire pleine d’action et de rebondissements et il va devoir s’en dépêtrer pour tenter de rentrer chez lui. Chaque détail est travaillé et la lecture doit se faire avec en tête le fait que le roman a été écrit en 1949 pour comprendre certaines situations.
L’écriture est très bonne,  on se laisse facilement porter et on prend beaucoup de plaisir à se mettre dans la peau de notre héros. Le rythme est soutenu et on en vient à se demander quelle va être la prochaine invention de l’auteur pour nous divertir.
Ce que j’ai aimé : L’écriture, l’univers, le héros.
Ce que je n’ai pas aimé : Vu l’univers délirant, je m’attendais à un ton plus comique.

Note : 3/5
Tristan
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Flatland – Edwin Abbott Abbott

 

 FlatlandTitre Original : Flatland
Genre :
 
roman, science-fiction, philosophie, classique
Auteur : Edwin Abbott Abbott
Année :  1884
Nombre de pages : 150

Résumé : Attention, je me suis lancée dans un challenge « un peu fou » : lire le rayon SF de la bibliothèque de ma ville. C’est donc pour cela que je suis tombée sur ce livre non moins fou. Flatland, ou le plat pays qui n’est point la Belgique, soit dit en passant,  est le monde à deux dimensions. Un carré nous décrit donc son monde, où plus tu as de côtés, plus tu as le Mojo. en gros, si tu es un triangle, tu as la loose, et si tu as tellement de côtés et que tu ressembles à un cercle, tu es le roi du monde. En revanche, une femme reste toujours une ligne, quelle que soit son extraction sociale.
Ce carré nous raconte tous les petits détails de son quotidien de Flatland ainsi que quelques faits historiques marquants. Un soir, il se retrouve en rêve dans un nouveau monde : Lineland. Les deux visions, celles du monde à une dimension et celle du monde à deux dimensions se confrontent, et se comprennent peu. Mais le carré aura le choc en retour lorsqu’il recevra la visite d’une sphère, et pas que dans ses rêves…

Ce que j’ai aimé : Ce monde est fou, fou, fou! Franchement, te faire voyager dans la géométrie Euclidienne, Flatlandc’était un pari rudement risqué mais rondement bien mené. Et puis ce livre est intemporel, tellement moderne. Il t’ouvre les perspectives et les chakras! En plus, j’ai eu la chance d’avoir entre les mains un exemplaire de l’édition « Zones Sensibles », où ils se sont vraiment déchiré pour la présentation.
Ce que je n’ai pas aimé : Au début, j’ai vachement tiqué sur la position des femmes dans ce monde, qui n’ont pas franchement une place enviable. Bon, en remettant dans le contexte d’écriture et sachant qu’il s’agit d’une critique de l’étriquée société victorienne, je comprends mieux. Mais c’est ce qui date un peu le roman.

Note : 5/5
Nancy
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Simulacron 3 – Daniel F. Galouye

 

simulacron 3Titre Original : Simulacron 3
Genre :
 
roman, science-fiction, cyberpunk, thriller
Auteur : Daniel F. Galouye
Année :  1964
Nombre de pages : 186

Résumé : Fuller bosse sur un projet de réalité virtuelle qui pourra permettre de faire plein d’expériences sociologiques (comme tester une loi anti-tabac, ou l’impact d’une publicité). Ça tombe bien, parce que dans ce monde, les enquêteurs foisonnent et on ne peut pas se dérober pour répondre à un sondage. Alors tu penses bien que ça plaît à tout le monde. Mais Fuller meurt.
Son assistant, Douglas Hall, apprend par Morton Lynch, que cette mort ne serait pas si naturelle que ça. Hall se met alors à douter, et puis à enquêter. Lynch disparaît alors corps et biens, mais genre, comme s’il n’avait jamais existé. Tout ça commence à turlupiner Hall, qui se demande s’il devient fou ou pas, surtout en commençant à avoir des choses étranges qui se passent autour de lui.

Ce que j’ai aimé : Amis du classique bonjour! Si vous avez aimé les paranoïaques Matrix et Inception, ce roman est fait pour vous, puisqu’il a inspiré ces œuvres. Forcément génialissime et tellement visionnaire! Ça se lit très vite et on passe un bon moment.
Ce que je n’ai pas aimé : Une écriture et un style un peu démodés, et pas assez vintage pour susciter la nostalgie.

Note : 3/5
Nancy