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Temps Gelé – Thierry Acot-Mirande

 

Temps GeléGenre :  nouvelles, fantastique
Auteur : Thierry Acot-Mirande
Année :  2009
Nombre de pages : 267

Résumé : Comme indiqué sur la couv’, il s’agit de nouvelles, plus ou moins longues. « Distorsions » ouvre le bal, avec une rencontre avec quelqu’un dont les tartines tombent toujours du bon côté (si, si, celui qui n’est pas beurré). Dans « Temps gelé », des geleurs fixent certaines personnes à des moments donnés de leur vie pour une durée indéterminée, comme si on prenait une photo et que plus personne ne bouge après ça. « 5 W Club » est une sorte de Rotary Club, un peu particulier… Bref, tout se déroule dans un univers bien fantastique, avec des sensations de mondes parallèles, situations dérangeantes et autres joyeusetés.

Ce que j’ai aimé : Le livre en tant qu’objet. L’éditeur soigne bien son lecteur, et ça fait plaisir. D’ailleurs, si vous jetez un œil à toutes les critiques all around ze web, on ne vous parle que de ça : c’est un pur produit bien chiadé. La couverture est en relief, avec des arabesques argentées, l’association du bleu et du gris te met dans l’ambiance du « Temps gelé ». Le papier est d’une douceur à tomber par terre, tu as juste envie de te frotter les joues avec de bonheur. Bref, pour tous ceux qui conchient les liseuses, c’est l’objet à avoir dans votre biblio, pour vous la péter sur les sensations livresques que la technologie ne pourra jamais égaler.
Ce que je n’ai pas aimé : Qu’est-ce que je me suis ennuyée! J’ai eu du mal à rentrer dans les histoires, à tel point que je pense que je n’y suis pas parvenue. Entre la fin de la lecture et l’écriture de ma chronique, il ne s’est passé que quelques jours, mais il a fallu que je relise quelques passages pour vous pondre un résumé. Je pense qu’il ne me reste plus rien que la sensation de l’objet. Oubliable, et oublié!

Note : 2/5
Nancy
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Plein Gaz – Joe Hill et Stephen King

 

Plein GazTitre Original : Road Rage
Genre :
 
nouvelle, thriller
Auteur : Stephen King, Joe Hill
Année :  2013
Nombre de pages : 96

Résumé : Amis du rock routier, sortez vos barbes et vos Harley. Le père et fils King nous racontent l’histoire d’un père et fils motard (tiens, tiens…) et de tous leurs acolytes, la Tribu. Bon, les gars, ce ne sont pas des enfants de coeur. La plupart sont des vétérans de diverses guerres, on les imagine barbus et tatoués. Ils vivent de petits méfaits, sexe drogue & rock’n roll quoi!
Au cours d’un règlement de compte, ça dérape et il y a deux morts. La Tribu se tire de là et envisage la suite sur une aire d’autoroute. Pas de chance, un routard entend leur conversation, et les emmène dans une course folle, où peu à peu la Tribu va se faire décimer.

Ce que j’ai aimé : L’univers! Je vous avais déjà avoué ma passion des camions et de sueur, et je suis aussi une fana de road trip initiatique. On y est! Et la bonne idée de J.-C. Lattès, c’est de nous avoir collé en toute fin une preview du prochain roman de Joe Hill. Ca m’a donné envie!
Ce que je n’ai pas aimé : Mouarf, un peu de longueur, pour une course, j’aurais aimé que ça aille plus vite, ou qu’il se passe plus de choses. Il y avait de l’idée, mais c’est largement oubliable.

Note : 2/5
Nancy
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Maudit Karma – David Safier

Maudit KarmaTitre Original : Mieses Karma
Genre :
 
roman, chick-lit
Auteur : David Safier
Année :  2008
Nombre de pages : 343

Résumé : En ce moment, ma vie, mon œuvre, c’est le chaos. Mon temps de cerveau disponible est peu propice à la lecture. Alors, même si la chick-lit, c’est pas mon délire, j’avais, par hasard, déjà lu un petit quelque chose du même auteur. Comme j’avais passé un bon moment, et que le titre du présent roman résume à peu près bien ma vie, why not?
Je me suis donc plongée dans la vie de Kim Lange, star de la télé allemande. Bon, elle est mariée avec un gars trop gniangnian adorable et elle a une super petite fille. Mais ils sont un peu trop pas assez paillettes, elle s’emmerde. Kim pense que sa vie serait tellement mieux si elle couchait avec son concurrent Daniel. Bref, un jour sa triste vie tragique de femme du monde qui a trop de problèmes bascule dans la mort : ben oui, un satellite se scratche sur sa tronche. Kim meurt (super, pour de la chick lit, tu me diras?)
Mais comme il faut qu’on se marre un peu, elle se réincarne en fourmi (ce qui est un peu le has-been absolu de la réincarnation). Il va falloir qu’elle gagne un peu de bon Karma pour se réincarner en autre chose, parce que bon, la vie de fourmi, ce n’est génial que dans les bouquins de Werber, ou lorsqu’on adore la discipline.
Ce que j’ai aimé : Bouarf, ça mange pas de pain. On réfléchit pas trop. Le bouquin fait le job.
Ce que je n’ai pas aimé : C’est un peu lourdingue quand même, et plein de morale à deux balles. Next.

Note : 2/5
Nancy
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3001 : L'Odyssée finale – Les Odyssées de l'Espace 4 – Arthur C. Clarke

 

3001 L'odyssée finaleTitre Original : 3001 : The Final Odyssee
Genre :
 
roman, science-fiction, littérature anglaise
Auteur : Arhur C. Clarke
Année :  1997
Nombre de pages : 315

Résumé : Après un premier et deuxième volets très bons, un troisième volet plutôt nul, j’attendais impatiemment de voir comment Clarke allait se dépatouiller pour terminer cette odyssée.
A la dérive, dans les confins du système solaire, dans la ceinture de Kuiper, on repêche le corps en hibernation de Frank Poole. Si tu as oublié, c’est le mec qui dérivait dans l’espace depuis que Hal avait pété les plombs. Comme la vie est bien faite, et comme avec la science-fiction on peut te faire avaler (presque) n’importe quoi, on le ramène à la vie mille ans plus tard. Forcément, le gars « constituait une pièce de musée d’une valeur inestimable ». Il est donc choyé par ses contemporains et est un peu en décalage : « il fut flatté de découvrir à quel point ils connaissaient bien l’histoire de Discovery, devenue un grand classique de l’Âge de l’espace. Elle représentait pour eux ce qu’une saga viking pouvait représenter à ses yeux, et il ne pouvait s’empêcher de songer que lui-même se tenait à mi-chemin entre l’époque du Goliath et celle où les premiers navires traversaient l’océan Atlantique. »
Comme il apprend que David Bowman continue à se manifester de temps, il décide d’aller sur Europe malgré l’interdiction pour prendre contact avec lui. Poole va essayer de comprendre ce qu’il se cache derrière les monolithes et comprendre quel est leur but.

Ce que j’ai aimé : Le clin d’oeil à Susan Calvin, la robopsychologue. Sinon, comme dans tous les tomes de ces Odyssées, Clarke est très fort pour nous faire voyager dans le système solaire. On en devient presque des passionnés d’astronomie.
Ce que je n’ai pas aimé : Ben là encore, mes espoirs sont bien déçus sur ce final. Il nous ramène un personnage qu’on avait presque oublié, et donc passe la première moitié du roman à l’adapter à cette société du quatrième millénaire : on s’en fout, que de temps perdu qui ne fait pas avancer l’intrigue. Heywood Floyd, qu’on attendait impatiemment comme fil conducteur, est complètement zappé. Le cycle entier a eu beau être écrit sur trente ans, j’ai l’impression que Clarke ne s’est pas relu avant d’entamer les suivants. Et puis bon, encore une fin qui ne rime à rien, un peu sortie de sous le chapeau. Et puis bon, il s’attendait sûrement à ce que ce soit porté sur le grand écran, car le final est plus digne des studios hollywoodiens : on pète tout et advienne que pourra.

Note : 2/5
DianaCagothe
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2061 : Odyssée Trois – Les Odyssées de l'Espace 3 – Arthur C. Clarke

 

2061 Odyssée TroisTitre Original : 2061 : Odyssey Three
Genre :
 
roman, science-fiction, littérature anglaise
Auteur : Arthur C. Clarke
Année :  1989
Nombre de pages : 252

Résumé : Si tu n’as pas lu les deux premiers volumes, ici et , c’est sûr que je vais te faire un minimum de spoil. Maintenant que tu es prévenu, tu peux passer ton chemin, il est encore temps, à la prochaine ligne, ce ne sera plus possible.
Quand on a quitté le Leonov en 2010, le vaisseau se cassait fissa-fissa et bien lui en avait pris, parce que Jupiter a implosé et est devenu une bébé étoile, qu’on a rebaptisé pour le coup Lucifer (« le porteur de lumière » en latin). En même temps, l’humanité a reçu un message, des mystérieux monolithes ou de ce qui se cache derrière, la prévenant de ne pas toucher à Europe.
Notre vieux poto Heywood Floyd, toujours de la partie, malgré son âge canonique, part de son côté faire une mission de tourisme avec quelques pipôles sur la comète de Halley, pendant que son petit-fils, de son côté, part en mission du côté de Lucifer. Évidemment, suite à un détournement de navette, le petit-fils et ses co-équipiers se crashent sur Europe et papy, qui fait de la résistance, doit aller le sauver.

Ce que j’ai aimé : Clarke me fait toujours marrer, avec ses pointes d’humour, comme lorsqu’il sort son pénétromètre. Ça se lit très vite, on ne voit pas le temps passer.
Ce que je n’ai pas aimé : Mais pourquoi ce roman? Il y avait absolument une commande à remplir? Parce que bon, Floyd et ses potes artistes qui font du tourisme sur Halley, c’est sympa, mais on s’emmerde autant qu’eux, parce qu’il n’y a pas grand chose à faire. Et il faut attendre les derniers chapitres pour que l’intrigue avance… Je finirai quand même, mais j’ai un doute : Clarke serait-il devenu gâteux sur ses vieux jours?

Note : 2/5
DianaCagothe
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Le Salaire de la Peur – Georges Arnaud

Le salaire de la peurGenre :  roman, aventures, littérature française
Auteur : Georges Arnaud
Année :  1949
Nombre de pages : 186

Résumé : Au Guatemala, les ricains exploitent les locaux pour pomper tout le pétrole qu’ils peuvent. Forcément, de nombreux hommes viennent de ce côté du Pacifique, une nouvelle ruée vers l’or, mais noir cette fois-ci.
Après un énième incident de forage et de nombreux morts, un incendie se déclare dans le puits de pétrole. Pour l’éteindre, il va falloir tout faire péter à la nitroglycérine.
Évidemment, acheminer cette matière si sensible à tout ne va pas être une mince affaire, surtout que le coin ne comporte pas vraiment d’autoroutes longilignes sans nids de poules.
La compagnie pétrolière va faire convoyer deux chargements et payer à prix d’or quatre hommes pour cette mission quasiment vouée à l’échec, car la moindre ornière, le moindre caillou, où le moindre rayon de soleil tapant trop fort peut te transformer en chair à pâté.
Ce que j’ai aimé : Vivre dans une cabine, fumer des clopes et boire du café avec les chauffeurs. Hit the road Jack! Et puis ça sent le bonhomme tout ça, de la sueur et de la virilité.
Ce que je n’ai pas aimé : J’ai eu un peu de mal à accrocher, surtout que ça démarre vraiment à la moitié du bouquin. Les personnages sont un peu trop stéréotypés, et le scénario est un peu trop téléphoné, surtout la fin.

Note : 2/5
DianaCagothe
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Brûlons tous ces punks pour l'amour des elfes – Julien Campredon

Brûlons tous ces punks pour l'amour des elfesGenre :  nouvelles, littérature française, fantastique, humour
Auteur : Julien Campredon
Année :  2011
Nombre de pages : 157

Résumé : Il y a neuf nouvelles dans cette œuvre, toutes plus folles les unes que les autres. La nouvelle qui donne son titre à l’ouvrage, raconte comment un musée se retrouve en état de siège tous les soirs, assailli par des hordes de punks. On a aussi l’histoire d’un arbre qui se venge d’avoir été maltraité, l’histoire d’une branleuse espagnole ou encore d’un vieux sénateur ariégeois statufié.

Ce que j’ai aimé : Au départ, j’ai été très très très emballée. Il faut dire que le titre m’avait accrochée comme une malade. Les premières nouvelles, je les ai dévorées et je me suis laissée emporter dans les univers un peu, comme celui du docker qui répond à l’appel des sirènes. Le livre est complètement fou. C’était presque devenu un livre à diffuser dans mon entourage. Ca se lit très vite.
Ce que je n’ai pas aimé : Si j’ai été super enthousiaste au début, il faut dire que vers la moitié, j’ai commencé à me lasser, à avoir un peu plus de mal à rentrer dans chaque nouvelle. C’est un peu trop n’importe quoi, et on a l’impression que l’auteur sèche un peu en terme d’inspiration. A force de vouloir nous faire perdre pied avec la réalité, on finit par s’y casser la gueule.

Note : 2/5
DianaCagothe
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Le Livre des Livres Erotiques – Emmanuel Pierrat

 

Le livre des livres érotiquesGenre :  bibliographie, littérature érotique, encyclopédie
Auteur : Emmanuel Pierrat
Année :  2011
Nombre de pages : 192

Résumé : L’auteur nous propose ici une sorte de recensement de livres et œuvres érotiques, illustrée par de nombreuses gravures et autres dessins. Il nous vide un peu de sa bibliothèque qui « met le rose aux joues » et partage avec nous le contexte de rédaction et de vie de ces ouvrages.

Ce que j’ai aimé : A travers de nombreuses anecdotes, on apprend comment les auteurs et éditeurs ont déjoué la censure pour faire survivre cette littérature. Les illustrations sont également magnifiques.
Ce que je n’ai pas aimé : On nous a promis ça « Parmi ces objets de «curiosité», certains sont bien connus des spécialistes, d’autres présentent des gravures rarissimes, voire des feuillets et des aquarelles totalement inédits. Le but recherché n’est ni l’exhaustivité, ni l’ennui que subiraient tant les profanes que les initiés à une énième bibliographie. Le Livre des livres érotiques n’est pas une leçon scientifique assommante sur l’histoire des fameux curiosa. Il s’agit en revanche d’un parcours distrayant, à l’érudition joyeuse et pétillante, sous les jupons du «second rayon». » Je trouve que c’est un peu raté, le livre ne se lit pas, il se feuillette avec parcimonie, sinon on y s’y fait vite chier.

Note : 2/5
DianaCagothe
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Une guerre victorieuse et brève – Honor Harrington 3 – David Weber

uneguerrevictorieuseetbreveTitre Original : The short victorious war
Genre :
 
 roman, science-fiction, space opéra, militaire, littérature américaine
Auteur : David Weber
Année :  1994
Nombre de pages : 448

Résumé : Ce nouvel épisode nous fait vivre une République Du Havre qui tente une guerre éclair contre le Royaume De Manticore et en passe d’essuyer un coup d’état. Contrairement aux deux épisodes précédents, l’auteur nous livre un point de vue de Havre plus poussé de l’intérieur et enfin Honor est amoureuse ! On assiste peut-être à un tournant dans l’esprit de la saga. David souhaite t-il donner un nouveau souffle au cycle ou a t-il un problème avec son éditeur ?
Le pari semble en tout cas raté s’il souhaite donner un nouveau souffle au cycle, l’auteur nous fait subir des problématiques politiques de la République Du Havre alors que l’on attend des batailles dans l’espace, une bien maigre histoire de cœur d’Honor et pour couronner le tout, la tôle froissée de vaisseau spatial arrive à 40 pages de la fin, un peu maigre donc comme menu.
Vous l’avez compris, « Une guerre victorieuse et brève » est décevant mais pas suffisamment pour bouder le quatrième épisode « Au champ du déshonneur » en espérant que l’erreur de parcours soit vite oubliée … ou alors faut il dépoussiérer Black Jack Geary pour en prendre une nouvelle fois plein les yeux ?
Ce que j’ai aimé : La petite histoire de cœur d’Honor qui nous révèle une facette de sa personnalité que l’auteur n’avait pas abordé jusque la.
Ce que je n’ai pas aimé : L’embourbement de l’histoire dans les problématiques politique de Havre et la faible proportion d’action spatiale dans le livre.
Note : 2/5
Tristan

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Cordelia Vorkosigan – Vorkosigan 1 – Lois McMaster Bujold

cordeliavorkosiganTitre Original : Shards of Honor
Genre :
  
roman, science-fiction, space opéra, littérature américaine
Auteur : Lois McMaster Bujold
Année :  1994
Nombre de pages : 320

Résumé : Toujours dans mon trip space op militaire, je farfouille une fois de plus chez mon libraire qui ne se lasse pas de me voir l’enrichir et je tombe (ouille) sur la saga Vorkosigan. Je lis le pitch, ça à l’air pas trop mal, bon je le prends.
C’est histoire d’un type commandant militaire que Lois McMaster Bujold fait passer pour un vieux crouton. Précision : il a 40 ans, merci donc Lois, j’avais déjà l’impression d’avoir un certain age, maintenant grâce à toi, en plus je suis un vieux crouton. Donc, le « vieux » rencontre Cordélia – son pendant militaire mais chez la faction ennemie – et la fait plus ou moins prisonnière pour traverser une forêt hostile sur une planète inhabitée très lointaine. Bon an mal an, ils se croisent et se décroisent sur fond de guerre interstellaire et de conflit politique. Les deux militaires deviennent progressivement deux tourtereaux tout mignons avec du je t’aime moi non plus à tire larigot.
Les combats spatiaux sont bons bien qu’en dessous de ceux de Honor Harrington ou de la flotte perdue mais le problème est qu’on se sait pas vraiment pourquoi ils se battent. Les motifs politiques tiennent en peu de pages et sont trop compliqués (ou mal expliqués ?). L’immersion du lecteur dans les scènes d’action est donc difficile.
Point de space opéra militaire ici en fait, les grands thèmes du genre ne sont pas abordés : ni management des armées, ni les stratégies militaires, c’est donc uniquement un space op d’une histoire d’amour entre deux militaires de deux factions différentes. J’ai donc mal pioché, mon libraire sera alors pendu haut et court ou guillotiné et pas de suite pour moi sur cette saga.
Ce que j’ai aimé : Les personnalités des deux tourtereaux bien retranscrite et crédible.
Ce que je n’ai pas aimé : L’intrigue politique de fond trop compliquée qui perd le lecteur dans les scènes d’action.

Note : 2/5

Tristan