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Ténèbres sur Sethanon – Chroniques de Krondor 4 – Raymond E. Feist

Ténèbres sur SethanonTitre Original : A darkness at Sethanon
Genre :
 
roman, fantasy
Auteur : Raymond E. Feist
Année :  1986
Nombre de pages : 608

Résumé : Les Faucons de la nuit et autres sbires de Murmandamus sont de retour de la vengeance de la mort qui tue la vie (mais pas vraiment). Arutha, qui selon la prophétie, est le dernier rempart à Murmandamus, décide de feinter et se faire passer pour mort. Il prend ses cliques et ses claques et se barre dans le Nord avec Martin, Jimmy Les Mains Vives, Roald et Laurie. A Armengar, il va falloir se battre contre les méchants, mais surprise, il trouve le traître Guy du Bas-Tyra à la tête de la ville. Il va devoir décider s’il se bat avec ou contre lui.
En parallèle, Pug retrouve Tomas. Ils vont appeler Ryath, un dragon et voyager à travers les cieux, les mondes et les dimensions pour retrouver Macros le Noir. Ils sont persuadés que celui-ci détient la clef des événements qui sont en train de se dérouler, et eux aussi veulent  faire la peau à Murmandamus et ce qui se cache potentiellement derrière.

Ce que j’ai aimé : Ah, enfin le big boss de fin de niveau! Nous avons une bonne bataille « Gouffre de Helm-esque » bien haletante. Ça taille dans le vif et j’aime ça!
Ca fait également plaisir de voyager avec Pug et Tomas, les deux copains d’enfance avec qui le cycle avait commencé. Tout le monde a bien changé, il s’en est passé des choses dans leur vie. Feist nous boucle bien la boucle et c’est une sacrée bonne fin de cycle.
Ce que je n’ai pas aimé : La fin est clairement bâclée, tout se goupille dans les dernières dizaines de pages, et il se passe un peu trop de choses un peu trop vite. Dommage, c’est un peu comme quand tu te casses la gueule dans la dernière marche de l’escalier.

Note : 4/5
Nancy
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Autour du livre

[Expo] Sade – Marquis de l'ombre, prince des Lumières – L'éventail des libertinages du XVIe au XXe siècle

Sade - Marquis de l'ombre, prince des Lumières - L'éventail des libertinages du XVIe au XXe siècleSi tu te souviens bien, on avait ouvert les portes du WC avec ma chronique sur les 120 journées de Sodome : j’avais conchié le livre mais je lui avais quand même donné un 5/5 parce que quand t’as du mythe devant toi, ça te remue les tripes, et c’est un peu ce que ça m’avait fait, même si c’était pour une légendaire diarrhée.
En tout cas, il s’agit du maître à penser de mon keum, donc, pour son anniv’ je l’ai trimbalé à l’une des expos commémoratives du 200e anniversaire de sa mort.
Tout le monde te rebat les oreilles avec le Musée d’Orsay, t’inquiète, on y va bientôt. Là, il s’agit de l’institut des Lettres et des Manuscrits (et non pas le Musée des Lettres et des Manuscrits, te fais pas avoir, comme nous) qui nous présente plein, plein de manuscrits et d’édition originales : forcément, c’est carrément leur rayon. Leur pièce maîtresse, c’est THE rouleau du manuscrit des 120 journées. L’objet est entouré de toute une mythologie : enfermé pour la énième fois à la Bastille, sans jamais avoir été jugé, Sade, au fond de sa folie, avait rédigé cette compil’ best touffe des perversions et horreurs et a pleuré des larmes de sang en croyant le rouleau perdu lors de la chute de la Bastille. Forcément retrouvé, caché, sulfureux à souhait, objet de batailles juridiques incessantes, il est aujourd’hui à la vue de tous pour la modique somme de 5 euros. Alors forcément, tout pauvres qu’on est, on s’est quand même pas privés.
L’expo nous présente, au travers d’un couloir rouge (un boudoir sexy de bordel? un vagin ragnagneux?) jalonné de rideaux hymenesques à traverser, nous présente le libertinage, plus des idées que sexuel, même si forcément tout est lié.
Sade2 Sade1
Ce qui m’a le plus ému quand même, c’était de voir un écrit de Molière, me demande pas pourquoi, et celle de Casanova. Pour mon mec, c’était de lire les ratures de Gainsbourg. J’ai également bien aimé comment l’expo conchie un peu l’idée 2.0 du libertinage à coup de chanteuses rousses et de clubs échangistes.
Conclusion, tu peux traîner tes guêtres Rive Gauche sans problème, pour 5 euros, ça vaut le coup!
En souvenir, j’ai quand même ramené ça, coming soon aux WC:
sade3Nancy
 

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Flatland – Edwin Abbott Abbott

 

 FlatlandTitre Original : Flatland
Genre :
 
roman, science-fiction, philosophie, classique
Auteur : Edwin Abbott Abbott
Année :  1884
Nombre de pages : 150

Résumé : Attention, je me suis lancée dans un challenge « un peu fou » : lire le rayon SF de la bibliothèque de ma ville. C’est donc pour cela que je suis tombée sur ce livre non moins fou. Flatland, ou le plat pays qui n’est point la Belgique, soit dit en passant,  est le monde à deux dimensions. Un carré nous décrit donc son monde, où plus tu as de côtés, plus tu as le Mojo. en gros, si tu es un triangle, tu as la loose, et si tu as tellement de côtés et que tu ressembles à un cercle, tu es le roi du monde. En revanche, une femme reste toujours une ligne, quelle que soit son extraction sociale.
Ce carré nous raconte tous les petits détails de son quotidien de Flatland ainsi que quelques faits historiques marquants. Un soir, il se retrouve en rêve dans un nouveau monde : Lineland. Les deux visions, celles du monde à une dimension et celle du monde à deux dimensions se confrontent, et se comprennent peu. Mais le carré aura le choc en retour lorsqu’il recevra la visite d’une sphère, et pas que dans ses rêves…

Ce que j’ai aimé : Ce monde est fou, fou, fou! Franchement, te faire voyager dans la géométrie Euclidienne, Flatlandc’était un pari rudement risqué mais rondement bien mené. Et puis ce livre est intemporel, tellement moderne. Il t’ouvre les perspectives et les chakras! En plus, j’ai eu la chance d’avoir entre les mains un exemplaire de l’édition « Zones Sensibles », où ils se sont vraiment déchiré pour la présentation.
Ce que je n’ai pas aimé : Au début, j’ai vachement tiqué sur la position des femmes dans ce monde, qui n’ont pas franchement une place enviable. Bon, en remettant dans le contexte d’écriture et sachant qu’il s’agit d’une critique de l’étriquée société victorienne, je comprends mieux. Mais c’est ce qui date un peu le roman.

Note : 5/5
Nancy
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Autour du WC

Quelque part… dans la mythologie marseillaise et dans l'univers de Lala Schwarz……

Ah, et dire que la semaine dernière encore, je pouvais me baignais dans ma chère Méditerranée…
En souvenir, je partage avec vous le WC le plus génialissime sur lequel j’ai eu la chance de poser mon royal fessier. Typiquement marseillais, ce WC dans la loggia, duquel on peut observer l’extérieur sans être vu à l’intérieur, est, honnêtement, le WC le plus classe, le plus cosy, le nec plus ultra.
Je remercie ma très chère Lala Schwarz pour tous ces instants de bonheur.
Dans la mythologie marseillaiseMarseille2
Et parce que Lala Schwarz, c’est aussi un univers détraqué, tu vas voir sur son blog pour avoir un aperçu de tout ça!
Nancy
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Simulacron 3 – Daniel F. Galouye

 

simulacron 3Titre Original : Simulacron 3
Genre :
 
roman, science-fiction, cyberpunk, thriller
Auteur : Daniel F. Galouye
Année :  1964
Nombre de pages : 186

Résumé : Fuller bosse sur un projet de réalité virtuelle qui pourra permettre de faire plein d’expériences sociologiques (comme tester une loi anti-tabac, ou l’impact d’une publicité). Ça tombe bien, parce que dans ce monde, les enquêteurs foisonnent et on ne peut pas se dérober pour répondre à un sondage. Alors tu penses bien que ça plaît à tout le monde. Mais Fuller meurt.
Son assistant, Douglas Hall, apprend par Morton Lynch, que cette mort ne serait pas si naturelle que ça. Hall se met alors à douter, et puis à enquêter. Lynch disparaît alors corps et biens, mais genre, comme s’il n’avait jamais existé. Tout ça commence à turlupiner Hall, qui se demande s’il devient fou ou pas, surtout en commençant à avoir des choses étranges qui se passent autour de lui.

Ce que j’ai aimé : Amis du classique bonjour! Si vous avez aimé les paranoïaques Matrix et Inception, ce roman est fait pour vous, puisqu’il a inspiré ces œuvres. Forcément génialissime et tellement visionnaire! Ça se lit très vite et on passe un bon moment.
Ce que je n’ai pas aimé : Une écriture et un style un peu démodés, et pas assez vintage pour susciter la nostalgie.

Note : 3/5
Nancy
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Guide de survie en territoire Zombie – Max Brooks

#bookcrossing #LireauxWC #maxbrooks

Une photo publiée par Diana Cagothe (@dianacagothe) le


 

Guide de Survie en territoire ZombieTitre Original : The zombie survival guide: complete protection from the living dead
Genre :
 
encyclopédie, fantastique, post-apocalyptique
Auteur : Max Brooks
Année :  2003
Nombre de pages : 308

Résumé : Une fois n’est pas coutume, je vais vous coller la 4e de couv’, qui résume assez bien la situation et les dix commandements :
1. Organisez-vous avant leur arrivée.
2. Ils ignorent la peur. Faites de même.
3. Coupez-leur la tête. Utilisez la vôtre.
4. Les machettes n’ont pas besoin de munitions.
5. Cheveux courts, vêtements serrés = protection optimale.
6. Grimpez à l’étage. Démolissez l’escalier.
7. Abandonnez votre voiture. Prenez un vélo.
8. Remuez-vous. Soyez discret. Taisez-vous. Restez sur vos gardes.
9. Aucun endroit n’est totalement sûr. Juste moins dangereux.
10. Même si les zombies sont partis, la menace subsiste.
Il s’agit ici d’un « vrai » guide de survie : on nous décrit dans le menu détail la problématique zombie, comment se préparer, les bons plans pour survivre, les bons plans pour lutter. Le guide se termine par l’historique des invasions zombies, depuis la Rome Antique jusqu’à nos jours (ou alors ce qu’il en reste).

Ce que j’ai aimé : C’est complètement barré comme guide! A lire de toute urgence si vous prenez les transports en commun ^^ D’une part, vous serez complètement aux aguets, d’autre part, les regards se tourneront vers vous, implorants, parce que tout le monde a un instinct de survie.
Sans déconner, j’ai lu à droite et gauche que des gens se sont emmerdés en lisant le bouquin, parce que ça fait trop sérieux… Je crois que le titre n’est pas mensonger, il s’agit bien d’un guide. Quand vous lisez un Routard pour faire du tourisme, vous vous plaignez pas que c’est chiant parce que vous lisez pas tout bout à bout? Ben là c’est pareil, c’est un livre qui se picore, au besoin, et a une bonne place aux WC. Vos invités vous seront gré d’en feuilleter un peu et de s’instruire. Parce que c’est important, la vie…
Ce que je n’ai pas aimé : Je trouve que l’auteur aurait pu s’inspirer d’Ange Bastiani et disséminer les récits historiques un peu à droite et à gauche, au lieu de tout rassembler à la fin, ça aérerait le bouzin et ça permettrait une lecture en continu.

Note : 3/5
DianaCagothe
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Le Bréviaire du Crime – Ange Bastiani

 

Le Bréviaire du CrimeGenre :  encyclopédie, polar, nouvelles
Auteur : Ange Bastiani
Année :  1968
Nombre de pages : 443

Résumé : Encore un O.L.N.I (le L. c’est pour « littéraire », au cas où) dans notre petit WC adoré. Je vous avoue que le titre est alléchant, mais le contenu plus encore.
Allez, qui n’a pas eu ses petites envies de meurtre, à l’occase, parce que le conjoint, le patron, le boucher (rayez la mention inutile) nous font chier la bite.
Ange Bastiani, nous a fait un petit listing alphabétique de toutes les manières, des plus banales aux plus originales, de se débarrasser de l’objet du conflit. Alors, on a les bonnes vieilles méthodes traditionnelles, comme l’empoisonnement, mais aussi des originales, comme le bain, aux plus farfelues pour les pratiquants de sorcellerie et autres joyeusetés.
Parce que le meurtre, ce n’est pas que le crime en lui-même, mais aussi que faire du colis encombrant restant? Rassurez-vous, l’auteur vous guidera aussi sans problème là-dessus.
Ange Bastiani a fait un énorme travail de recherche pour nous raconter des méthodes utilisées dans des crimes réels, mais aussi de grands crimes de la littérature. Et puis, parce qu’il faut se détendre parfois, la méthode est jalonnée de quelques nouvelles, qui restent dans le thème, bien sûr, mais qui vous distrairont de vos projets machiavéliques.

Ce que j’ai aimé : Je ne suis pas une grande amatrice de romans noirs, mais quand on me l’a offert, j’ai sauté de joie. Ce bouquin est tout simplement génial : d’une part, son style littéraire rétro (c’est une réédition) nous plonge dans une ambiance d’Agatha Christie et d’Audiard à la fois.
Les nouvelles cassent aussi le côté académique du guide pratique, et ça fait du bien.
Encore une fois, il s’agit d’un bouquin idéal pour vos latrines, à lire d’une traite ou à feuilleter au fil des pages. Et puis, bien mis en évidence, ce livre saura aviser vos convives que vous êtes quelqu’un sur qui on peut compter.
Ce que je n’ai pas aimé : Quelques répétitions parfois.
NDLR : Merci aux mecs de La Bicoque pour ce somptueux cadeau d’anniv’!

Note : 4/5
Nancy
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Côté Cour – Leandro Ávalos Blacha

Résumé : Il n’y a pas si longtemps que ça, je vous avais fait partager ma lecture d’un roman complètement chtarbé que j’avais adoré. Alors, quand j’ai trouvé une autre œuvre du même auteur, autant vous dire que je me suis carrément jetée dessus.
Alors, c’est à  la fois un recueil de nouvelles, puisqu’on y suit les vies de personnages différents, et à la fois un roman, puisque toutes ont l’air de se passer à la même époque (contemporaine?) et surtout dans le même quartier : certains personnages principaux d’une nouvelle en traverseront une autre. Dans ce quartier, il y a une antenne de la société de téléphonie Phonemark, qui est opérateur téléphonique, mais un peu plus que ça aussi. Les usagers doivent envoyer un quota d’appels et SMS sinon ça les fait flipper. Ils se savent surveillés par l’antenne qui est capable de raser leur maison, mais aussi faire des trucs un peu fous (comme faire des spectacles en donnant vie à une poupée abandonnée).
Mais Phonemark, ça n’est pas que de la téléphonie, c’est une société qui gère le placement des prisonniers. Et ici, les prisonniers sont placés chez les particuliers, à eux d’en faire la surveillance. Chaque nouvelle nous plonge dans une maison du quartier, et nous raconte comment se passe la vie avec son prisonnier, ou nous raconte une histoire d’habitants, toujours avec Phonemark en fond visuel.

Ce que j’ai aimé : Comme le précédent roman, j’ai adoré! L’auteur nous plonge dans des histoires complètement loufoques, mais on y plonge de bon cœur. Ce livre a également plusieurs degrés de lecture, ce qui me laisse supposer que j’y remettrai le nez dedans dans pas trop longtemps. Et puis bon, on a critique de notre société qui est carrément audacieuse. Le petit plus que j’ai adoré, c’est la playlist que nous propose l’auteur pour accompagner la lecture. Ca c’est une idée qu’elle bonne!

Ce que je n’ai pas aimé : Trop, mais alors vraiment trop court!

Titre Original : Medianera
Genre :
  roman, nouvelles, fantastique, littérature argentine
Auteur : Leandro Ávalos Blacha
Année :  2011
Nombre de pages : 153

Avant que le plumage pouilleux est touché le gazon, un faisceau de lumière fondit sur le volatile et lui rendit son vol, non sans l’avoir transformé en un imposant oiseau coloré. Ses plumes brillaient avec une intensité comme les spectateurs n’en avaient jamais contemplée sur leurs écrans de portables, même en haute définition. Le phœnix s’éloigna à tire d’aile en direction de l’antenne de Phonemark.

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Anna Karénine – Léo Tolstoï

 

Anna KarénineTitre Original : Анна Каренина
Genre :
 
roman, classique, littérature russe
Auteur : Léo Tolstoï
Année :  1885
Nombre de pages : 1032

Résumé : Attention pavé dans la mare, sploutch! Comme je vous le racontais précédemment, l’été est propice à la bonne vieille saga. J’ai donc sorti le cadeau de Naël de mon cher Kwaite de sous les fagots.
Alors, même si le titre évoque un personnage principal, il s’agit de l’histoire de 3,5 couples. D’abord, la petite Kitty, amoureuse de Lévine depuis toujours, elle se laisse séduire par le beau Vronskï, qui tombe amoureux d’Anna Karénine, qui est la soeur d’Oblonski qui est le mari de Dolly, qui elle-même est la soeur de Kitty. C’est bon, t’as tout pigé?
En fait, on est le tableau typique de la Russie au XIXe. Anna, la femme adultère qui décide de laisser mari et fils pour partir avec son amant fait scandale. Le monde la rejette, mais elle assume sa passion, bien que cela implique la souffrance de la séparation avec son fils adoré. Cette passion, et la peur de perdre Vronskï, pour qui elle a tout quitté vont la ronger.
Son frère, Oblonskï, c’est vraiment un bon gars bien sympatoche. Ils forment un joli couple avec Dolly et ils ont moult enfants. Le problème, c’est qu’il aime vivre la grande vie, au-dessus de ses moyens, et tremper son biscuit à droite et à gauche. Ce qui a le don d’agacer Dolly.
La petite soeur de cette dernière, Kitty, aime Lévine, mais c’est un homme mur, campagnard, attaché à la terre et qui aime tergiverser. Elle refuse sa demande en mariage, mais s’en mordra les doigts. Lévine est le deuxième personnage principal du roman : à travers lui, Tolstoï nous raconte la vie paysanne de l’époque.

Ce que j’ai aimé : Pfiou, je ne l’ai pas lâché une seule seconde. J’ai été fascinée par cette saga où les personnages sont attachants et Tolstoï réussit vraiment à nous faire ressentir leurs émotions, j’ai eu parfois envie de pleurer et quelquefois j’ai même éclaté de rire. On veut toujours savoir ce qui va leur arriver et ça n’a pas vieilli d’un pouce, sinon quelques concepts désuets, notamment sur les droits des femmes.
Ce que je n’ai pas aimé : Un poil long peut-être. Mais on lui pardonne.
NDLR : Merci Kwaite pour ce somptueux cadeau de Noël, mais toi qui me trouvais des points en commun, j’ai quand même bien fait d’attendre d’aller un peu mieux avant de le lire. 😉

Note : 4/5
Nancy
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Autour du WC Journal intime

Quelque part… en travaux

Des fois, les gens de WC vont faire des travaux dans d’autres WC #thatslife
 
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