Catégories
Livre

Voyages en Absurdie – Stéphane de Groodt

 

Voyages en absurdieGenre :  nouvelles, humour
Auteur : Stéphane de Groodt
Année :  2013
Nombre de pages : 200

Résumé : Difficile de faire un résumé de ces chroniques. Stéphane de Groodt sévit sur Canal+ depuis quelques années avec ses « Retours vers le futur ». Il imagine des rencontres virtuelles avec des grands de ce monde, vivants ou morts. Ces rencontres sont généralement cocasses, et l’objet de jeux de mots à tours de bras. Et parce qu’une citation sera plus évidente :
« D’une simple touche sur mon clavier à spirale j’ai rencontré Reza Pahlavi, le fils de feu le Shah et de la chatte, ai vu danser Régine le twist à gaine, me suis transporté de la baraque d’Obama au jacuzzi de Silvio, me suis encastré dans Fidel, suis entré dans la reine, ai fait marcher Delon en large, ai été à la peine avec Jean-Marine, et laissé à terre Mitt… »

Ce que j’ai aimé : Ses jeux de mots sont vraiment très très forts, on a parfois du mal à le suivre, mais c’est ce qui fait son charme. Redécouvrir ses chroniques à l’écrit m’ont parfois éclairée sur certains jeux de mots. Et puis c’est un bon petit livre de WC pour vos invités, on lit une chronique et puis s’en va!
Ce que je n’ai pas aimé : Ça manque de nouveauté. Si comme moi tu es une fidèle fan, ça sent le réchauffé, j’aurais bien aimé des extra-bonux.
Note : 4/5
Nancy
Catégories
Livre

La Dimension Fantastique 1 – Barbara Sadoul

 

La Dimension FantastiqueGenre :  fantastique, nouvelles
Auteur : Barbara Sadoul, E.T.A. Hoffmann, Théophile Gautier, Edgar Allan Poe, Gérard de Nerval, Erckmann-Chatrian, Alphonse Daudet, George Sand, Villiers de L’Isle-Adam, Guy de Maupassant, H.P. Lovecraft, Jean Ray, Claude Seignolle, Richard Matheson
Année :  1996
Nombre de pages : 160

Résumé : Voici donc (encore) un recueil de nouvelles (et pour quelqu’un qui n’aime pas trop ça, je trouve que j’en présente pas mal quand même, comme quoi…), que j’ai picouillé à Sieur Kwaite. Barbara Sadoul nous présente ici de grands noms du fantastique et d’autres, tout en morceaux choisis.
Hoffmann nous revisite le mythe du marchand de sable en version adulte et flippante. Gautier, en week-end, nous fait sombrer dans le rêve/cauchemar, avec des objets qui s’animent et qui vont au bal. Poe nous raconte l’histoire d’un tableau mangeur de vie. Nerval, roi de la chelouterie, nous revisite l’histoire du fils du diable. Le duo du nom de plume Erckmann-Chatrian nous fait réfléchir sur une enquête policière et la peur de l’étranger. Avec son homme à la cervelle d’or, Daudet nous fait partager un conte très Andersennien. Sand nous joue de l’orgue, mais d’une manière très originale et pittoresque. Villiers de L’Isle-Adam raconte une histoire sur le deuil. Lovecraft, roi de l’ambiance poisseusse et flippante, nous sert du Lovecraft : imparable. Jean Ray lui part dans une envie de choucroute très surprenante. Seignolle nous parle d’un meneur de loups, qui n’est pas sans me rappeler un téléfilm que j’avais adoré dans mon adolescence : L’Enfant des Loups, que je vous conseille si vous avez la chance de tomber dessus. Enfin, Matheson fait disparaître quelqu’un.

Ce que j’ai aimé : Pour le coup, même si je n’aime pas trop les recueils de nouvelles, principalement, parce que je n’ai pas le temps de rentrer dans les histoires, cette fois-ci j’ai adoré! Barbara Sadoul a vraiment réussi sa compil, parce que les nouvelles sont toutes plus truculentes les unes que les autres. Il s’agit également d’une relecture de mon adolescence, je pense qu’il y a aussi un petit côté « Madeleine de Proust ». Je vais certainement attaquer les prochains volumes avec grand plaisir.
Ce que je n’ai pas aimé : Le format Librio est vraiment pratique et super cool pour la bibliothèque. Mais en revanche, des fois, le côté « gros pâté, je saute pas de lignes pour économiser de la paperasse » est vraiment chiant.

Note : 5/5
Nancy
Catégories
Autour du WC

Quelque part à l'Escapade Bellifontaine…

Des fois, on se promène, en forêt ou ailleurs et le bon sens nous saute dessus. Même en cas d’urgence…IMG_20140621_112156

Catégories
Livre

Le Journal Secret d'Amy Wingate – Willa Marsh

 

imagesTitre Original : Amy Wingate’s Journal
Genre :
 
 journal intime, chick-lit
Auteur : Willa Marsh
Année :  1996
Nombre de pages : 251

Résumé : Amy, une quinqua fringante mais un peu hystéro sur les bords, se rend chez son toubib pour comprendre pourquoi elle pète les plombs. Ah, saloperie d’hormones! Pas grand chose à faire, sinon tenir un journal, et analyser a posteriori les événements. Amy, prof à la retraite s’y colle donc (pour notre plus grand plaisir) On découvre donc sa vie : un couple d’amis trentenaires, beaux, riches, un peu trop merveilleux, qui ont l’impression de faire leur B.A. en socialisant un peu Amy. La maison d’Amy vaut le détour aussi, au bord d’une falaise et so tipically British.
Un jour, Amy va à la supérette. Elle y surprend un petit con en train de larciner. Au lieu de la jouer « position basse« , il la nargue. Elle lui court après, mais le jeune fringant est plus véloce. Après avoir déblatéré avec la propriétaire de l’épicerie, en mode mégère, Amy reprend sa voiture pour rentrer. Sur le chemin du retour, elle trouve le voleur assis sur le parapet d’un pont. Il la reconnaît et continue de la narguer avec ses petits larcins. Mais Amy, c’est une meuf qui en a : en sortant son bras par la vitre, elle pousse le petit merdeux par dessus le parapet. Cet événement va bouleverser la suite de sa vie, mais d’une manière assez inattendue.

Ce que j’ai aimé : Ça se lit assez vite, je crois l’avoir lu en à peu près deux jours. Encore une fois, ça n’est pas mon genre littéraire favori, mais j’ai été assez agréablement surprise. Et puis, sous ses airs guindés, Amy, c’est une meuf trash comme on les aime au village!
Ce que je n’ai pas aimé : Ca avait pourtant bien commencé, c’est si rare ce type de personnages. Mais c’est de la chick-lit, donc forcément, à un moment donné ça dégouline de la guimauve. C’est bien dommage!
NDLR: Merci à B(r)ouillon pour ce prêt, et toi tu en as pensé quoi?

Note : 4/5
Nancy
Catégories
Livre

La Maison Qui Glissait – Jean-Pierre Andrevon

 

La maison qui glissaitGenre :  roman, anticipation, post-apocalyptique
Auteur : Jean-Pierre Andrevon
Année :  2010
Nombre de pages : 608

Résumé : Nous sommes dans une ville quelconque, un jour d’un été quelconque, mais un été caniculaire. Dans cette ville, comme dans tant d’autres, des tours. Andrevon va nous conter l’histoire de la tour des Erables. Cette tour, c’est le reflet de l’habitat vertical, on a un peu de tout, des pauvres, des gens plus aisés, des blacks-blancs-beurs, des bosseurs et des chômeurs, des jeunes et des vieux. On a même un gardien d’immeuble, ancien gendarme, bien revêche, que tout le monde ou presque craint, mais dont personne ne peut vraiment se passer. Mais on n’est pas là pour voir si l’habitat vertical est réussi ou pour faire de la sociologie de comptoir, n’est-ce pas?
Un matin de la fin du mois d’août, l’ensemble des habitants se réveille à 7h. La luminosité extérieure est très vive, la tour est entourée d’une brume poisseuse, et l’électricité est HS. On se rend vite compte que certains habitants ont disparu pendant la nuit. Ceux qui tentent l’aventure de pénétrer dans la brume disparaissent également à tout jamais. Les habitants ne savent pas ce qui leur arrive et vont devoir s’organiser, ne sachant ni ce qui leur arrive, ni combien de temps ça va durer.

Ce que j’ai aimé : La deuxième moitié du roman, les choses s’accélèrent : la véritable nature des personnages commence à se révéler. D’autre part, la fin m’a agréablement surpris : d’habitude, ça se termine soit un peu à l’arrache, soit c’est une fin un peu « what the fuck ». Ici l’auteur arrive plutôt bien à retomber sur ses pattes, en nous laissant un peu sur notre faim, mais pas trop.
Ce que je n’ai pas aimé : J’ai eu vraiment du mal à rentrer dedans. La première moitié a été laborieuse à ingurgiter : plein de personnages et l’auteur nous embrume autant que les Erables. Et puis bon, difficile de ne pas avoir « Brume » de Stephen King en tête. C’est aussi ce qui m’a chiffonné et qui m’a empêché de bien rentrer dedans.

NDLR : Merci à Sylvana pour ce prêt, ce livre sera à jamais dans mon coeur, parce que c’est ce que je lisais pendant mon changement de vie!
Note : 3/5
Nancy
Catégories
Livre

Spéciale 100e : Cycle de La Flotte Perdue – Jack Campbell

 

Cycle La Flotte PerdueTitre Original : The Lost Fleet
Genre :
 
roman, space-opéra, militaire
Auteur : Jack Campbell
Année :  2008 à 2010
Volumes : 6 – Indomptable, Téméraire, Courageux, Vaillant, Acharné, Victorieux
Nombre de pages : 2341

Résumé : John Geary se réveille après un sommeil d’un siècle dans une capsule de survie et devient par la force des choses le commandant en chef d’une flotte spatiale militaire. Ce fameux siècle a été mis à profit pour le hisser sur un piédestal, il revient donc en « élu libérateur » mais n’a pas été préparé à ça (normal il était en hibernation dans cette capsule). Ça pourrait être fastoche mais :

– Cette flotte est hyper loin de chez elle et en plein territoire ennemi : va donc falloir l’en sortir.
L’auteur a construit une carte de la galaxie très bien pensée, il dessine très bien les systèmes d’étoiles, les passages des uns aux autres et les choix qui s’offrent à cette flotte pour rentrer chez elle. On se croirait en pleine partie de Risk tellement les stratégies de passage en fonction des réactions de l’ennemi sont pensées et étudiées. Dans certains systèmes, on guerroie, dans d’autres on se ravitaille, et puis on n’oublie pas de libérer des prisonniers des camps de travail. Ce dernier point apporte un vrai plus au lecteur qui ne s’ennuie pas dans de la continuelle histoire dans les étoiles. Ceci étant, on n’est pas dans un Honor Harrington, aucun planet opéra en vue quand même pour certains opus. Bien entendu la flotte prendra le chemin le plus long pour rentrer chez elle pour notre plus grand plaisir.

 – Ils ont oublié ce qu’était une hiérarchie militaire : pas donc évident de s’imposer en tant que commandant.
Durant un siècle de guerre interminable contre les Mondes Syndiqués, le fonctionnement militaire a évolué et les décisions sont prises démocratiquement, le commandant en chef – notre héros – peine donc à s’imposer et nous livre une belle leçon de management comme on en voit dans notre entreprise moderne. Il a en interne ses amis, ses ennemis, et pire, ses détracteurs intégristes qui sont prêts à tuer en son nom – en quelques sorte ses ennemis aussi … Notre héros à la vieille école va donc devoir composer pour se faire accepter, faire appliquer la hiérarchie militaire et surtout fédérer tout ce beau monde et tenter de ramener tout ça à la maison.

– Le héros est épaulé par une politicienne et une capitaine folles de lui : mettez deux nanas en chaleur autour d’un mec hyper sexy sur un ring et observez.
Alors là, on ne pouvait imaginer mieux comme auteur bien macho avec son harem. Étant commandant en chef (et hyper sexy, beau, fort, intelligent, …), il ne dirige pas un vaisseau mais une flotte et est hébergé dans le vaisseau mère. Le capitaine de ce vaisseau mère est forcément folle de lui parce que c’est dans l’ordre des choses. Sur ce même vaisseau mère, il y a une politicienne haut placée – avide de sexe – chargée des négociations avec l’ennemi. Ce personnage apporte une autre dimension à cet univers militaro-militaire et rappelle au lecteur que l’objectif est de revenir chez les civils et de faire cesser d’une manière ou d’une autre cette interminable guerre. Les deux meufs ont une relation compliquée : elles reluquent le même mec, ont le même objectif professionnel vis à vis de la gestion de la flotte, ont des point de vue différents (politique Versus castagne) et ont bien évidemment également le même objectif face à notre héros et ce qu’il a dans son pantalon … et là ça coince un tantinet. On se régale donc des frasques de l’une comme de l’autre, voire des deux à la fois.
– Les distances entre les vaisseaux sont mesurées en heures lumières : hurlez un coup dans l’espace et … attendez longtemps la réponse.
L’auteur nous met constamment en condition par rapport aux distances entre les vaisseaux par les temps de trajet des messages ou des déplacements. Par exemple, l’image d’un vaisseau à l’autre bout d’un système sera vu avec plusieurs heures de retard et les messages qui vont lui être envoyés seront d’autant plus lents à lui parvenir.  Cette notion ajoute un réel plus aux stratégies appliquées et même au suspens généré. On comprend donc que chaque scène, chaque stratégie, chaque position de vaisseau a été maquettée et le réalisme en est parfait.

Ce que j’ai aimé : Si on aime comme moi la tôle froissée de vaisseau spatial alors on ne se lasse jamais et on enfile les opus les uns après les autres sans discontinuer. A ces combats spatiaux, la dimension relationnelle du héros face à ses deux femmes et managériale face à aux autres protagonistes rend le tableau parfait.
Ce que je n’ai pas aimé : un petit bémol sur la fin qui décrit mal les derniers protagonistes ou qui laisse place à une suite possible … mais sans la suite attendue !

Note : 5/5
Tristan NDLR : nous inaugurons ici une nouveauté, le billet de cycle. Et tout ça, c’est pour fêter notre 100e billet. On en a chié, mais longue vie aux WC!

 

Catégories
Livre

Maudit Karma – David Safier

Maudit KarmaTitre Original : Mieses Karma
Genre :
 
roman, chick-lit
Auteur : David Safier
Année :  2008
Nombre de pages : 343

Résumé : En ce moment, ma vie, mon œuvre, c’est le chaos. Mon temps de cerveau disponible est peu propice à la lecture. Alors, même si la chick-lit, c’est pas mon délire, j’avais, par hasard, déjà lu un petit quelque chose du même auteur. Comme j’avais passé un bon moment, et que le titre du présent roman résume à peu près bien ma vie, why not?
Je me suis donc plongée dans la vie de Kim Lange, star de la télé allemande. Bon, elle est mariée avec un gars trop gniangnian adorable et elle a une super petite fille. Mais ils sont un peu trop pas assez paillettes, elle s’emmerde. Kim pense que sa vie serait tellement mieux si elle couchait avec son concurrent Daniel. Bref, un jour sa triste vie tragique de femme du monde qui a trop de problèmes bascule dans la mort : ben oui, un satellite se scratche sur sa tronche. Kim meurt (super, pour de la chick lit, tu me diras?)
Mais comme il faut qu’on se marre un peu, elle se réincarne en fourmi (ce qui est un peu le has-been absolu de la réincarnation). Il va falloir qu’elle gagne un peu de bon Karma pour se réincarner en autre chose, parce que bon, la vie de fourmi, ce n’est génial que dans les bouquins de Werber, ou lorsqu’on adore la discipline.
Ce que j’ai aimé : Bouarf, ça mange pas de pain. On réfléchit pas trop. Le bouquin fait le job.
Ce que je n’ai pas aimé : C’est un peu lourdingue quand même, et plein de morale à deux balles. Next.

Note : 2/5
Nancy
Catégories
Livre

La Machine à Explorer le Temps – H.G. Wells

La Machine à explorer le tempsTitre Original : Time Machine
Genre :
 
roman, science-fiction, littérature anglaise
Auteur : H.G. Wells
Année :  1895
Nombre de pages : 187

Résumé : Un mec, un soir, invite des potes à dîner, leur sort une théorie de « perméabilité du temps » et leur fait un petit tour de passe-passe en faisant disparaître une étrange machinette devant leurs yeux : il s’agirait d’une machine à voyager dans le temps. Tout le monde rit un peu sous cape, mais revient dîner la semaine suivante. Leur hôte apparaît à table bien débraillé, bien affamé et un peu, décontenancé.
Il leur explique revenir d’un voyage de plus de 800.000 ans vers le futur. Là-bas, la société s’est divisée en deux classes:
– Les Elois : des adulenfants, qui bouffent des fruits toute la journée, piapatent sans arrêt.
– Les Morlocks : créatures souterraines, pas plus intelligentes que les premières, mais carnivores. Et comme il n’y a pas l’air d’y avoir grand chose à bouffer dans le coin…
Les convives sont toujours sceptiques, mais comme le voyageur ramène une fleur d’un type inconnu, le doute s’installe…
Ce que j’ai aimé : Amis du steampunk, bonjour! On est en plein dedans là. Sinon, c’est assez facile à lire, on ne décroche pas.
Ce que je n’ai pas aimé : On est au tout début de la conception de ce que sera la SF. Point donc de grosse théorie alambiquée, mais à défaut, c’est ce qui le rend accessible pour les non-amateurs.

Note : 4/5
DianaCagothe

Catégories
Autour du WC

Quelque part aux Passages…

Oui, oui, au pluriel… Matez-moi ces géniales portes-livres et cette horloge qui affiche l’heure en toutes lettres…
Les Passages
Kwaite

Catégories
Livre

Psychologie pathologique – Abrégés Masson – Jean Bergeret

Psychologie PathologiqueTitre Original : Psychologie pathologique – Abrégés Masson
Genre :
 
 Abrégés de médecine
Auteur : Jean Bergeret
Année :  2012 (11ème édition, refondue et augmentée)
Nombre de pages : 368 pages

Résumé :  Cet ouvrage,  le véritable couteau Suisse du psy (chologue-chiatre-chanalyste) est LE livre indispensable : c’est purement et simplement « la psycho pour les nulles » ! Tout est expliqué du début, simplement mais toujours avec une rigueur indiscutable (c’est la base incontestée des diplômes universitaires). Bergeret met à la disposition du lecteur les connaissances théoriques et une approche très clinique (c’est à dire concrète et objective) sur ce qui distingue ou relie les différentes organisations pathologiques ou non. 
Ce que j’ai aimé : Est ce qu’il suffit de maîtriser le « Bergeret » pour devenir psy ? Évidemment non… Par contre, c’est le manuel indispensable à toutes les personnes intéressées, de près ou de loin par la psychologie : si vous n’achetez qu’un livre, ce sera celui-là. Au même titre que le Vidal, le Manuel Merck, le Garnier Delamare et le Dalloz….
Ce que je n’ai pas aimé : Certes, c’est la psychologie « pour les nulles » par son abord progressif (le B-A-BA)… mais sa lecture nécessite tout de même de l’attention, de la concentration et pas mal de réflexion… Le niveau est universitaire, il convient donc de ne pas le lire à la plage avec des enfants qui hurlent et une piña colada sous peine de ne rien comprendre.

Note : 5/5
TheSeb