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Intrépide – Par delà la frontière 1 – Jack Campbell

intrepideTitre Original : Dreadnaught
Genre :
 
roman, science-fiction, space opéra, militaire, littérature américaine
Auteur : Jack Campbell
Année :  2012
Nombre de pages : 415

Résumé : Le cycle précédent « La flotte perdue » se termine par le retour de Black Jack Geary. Un retour pas vraiment triomphal puisqu’il est soupçonné d’organiser un coup d’état. Vous connaissez bien notre héros préféré et savez bien qu’il n’en est rien. Le nouveau cycle démarre donc sur un fond de tension politique, ses compagnons de première heure sur le point d’être arrêtés (ben oui, juste au cas où hein !) et Tanya (avec qui il est maintenant marié) est comme à son habitude prête à casser la baraque pour défendre son n’amoureux. Black Jack – toujours trop fort – réussi à apaiser les tensions et on lui confie la mission de repartir pour observer et établir un lien avec les Enigmas. Il repart donc et on kiffe un max.
Ce deuxième cycle est exactement sur le même ton que le premier, l’auteur ne nous a pas resservi un plat froid histoire de se remplir les poches et ça on apprécie vraiment. Le fait qu’il ait mis – quasiment – les mêmes protagonistes est un plaisir, on attaque donc en terrain connu et on veut en savoir plus.
Ce que j’ai aimé : le plat est resservi mais encore plus chaud, on ne s’en lasse pas.
Ce que je n’ai pas aimé : rien 

Note : 4/5
Tristan

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Sexe, drogues et pop-corn – Chuck Klosterman

Sexe, drogues et pop-cornTitre Original : Sex, Drugs, and Cocoa Puffs: A Low Culture Manifesto
Genre :
 
essai, littérature américaine
Auteur : Chuck Klosterman
Année :  2003
Nombre de pages : 359

Résumé : Chuck Klosterman, je l’avais déjà croisé pour un autre titre, mais ça je vous en parlerai plus tard. C’est un journaliste rock, qui passe au crible son environnement et la pop-culture. Il décortique sous son œil acerbe un certain nombre de choses : il s’est plongé à coeur perdu dans les Sims pour en comprendre le sens et de s’émouvoir lorsqu’il apprend qu’il peut tuer son avatar en le torturant, il a aussi décortiqué comment la première saison de Real World a déterminé de manière irrémédiable les prototypes des télé-réalités qui nous abreuvent depuis une vingtaine d’années. On a aussi droit a un bel exposé sur Star Wars et un tas d’autres choses.

Ce que j’ai aimé : Quand je connaissais les références culturelles, je trouvais le type drôlement percutant.
Ce que je n’ai pas aimé : Bien trop américano-centré, les deux tiers du livre sont consacrés soit au sport typiquement américain, soit à des références qui ne sont pas arrivées jusque chez nous. C’est vraiment destiné à un lectorat de trento-quarantenaires qui ont vécu chez l’Oncle Sam, surtout dans les années 90. Bref, je me suis bien souvent retrouvée comme une poule devant un couteau. Même si le titre aguiche bien, plutôt à fuir, donc.

Note : 2/5
Plumpy Trash
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Kevin le révolté – Torey L. Hayden

Kevin le révoltéTitre Original : Murphy’s Boy
Genre :
 
biographie, littérature américaine
Auteur : Torey L. Hayden
Année :  1983
Nombre de pages : 350

Résumé : J’étais tellement pressée de tester la Kobo que m’a prêtée Kwaite, que, lorsque j’ai ouvert mon Calibre, j’ai pris l’option « livre au hasard ». Le titre m’a laissée un peu pantoise, mais, pour toi, lectorat, tu sais bien que je n’en suis pas à un crash-test près.
Ca pue l’histoire vraie, comme on les aime dans le Nouveau Détective ou Confessions Intimes. Kevin (à ne pas confondre avec Kévina), c’est un gras de 15 ans dont on n’a jamais entendu le son de la voix, même quand il se cogne la tête aux tables sous lesquelles il aime planquer (tu parles d’un révolté!) Trimballé d’institution en institution, les bouts de son histoire se sont perdus dans les méandres administratifs.
Torey, la psychologue, spécialisée dans le mutisme des enfants, déboule là-dedans. Pour elle, gros défi, elle n’a bossé qu’avec des gosses bien avant leur puberté. En plus, on ne sait pas vraiment ce qui est arrivé au gamin et si ses cordes vocales ne pas tout simplement abîmées. Sans plus spoiler, le bouquin raconte les deux ans et demi de thérapie qui vont suivre, les progrès et les rechutes de Kévin, et l’engagement personnel de la psy.

Ce que j’ai aimé : Amateurs de rubriques « C’est arrivé près de chez vous », ce livre est pour vous. On se laisse forcément embringuer dans la lecture, on a envie de savoir ce qui va se passer, et puis ça ressemble tellement à de la real TV, que quelle que soit la qualité, on scotche comme une moule à son rocher.
Ce que je n’ai pas aimé : Ah les ricains, ils sont tout pleins d’une apparente mignonceté. Hélas, ce livre  n’échappe pas aux bons sentiments, omniprésents. L’écriture ressemble tellement à un scénario de téléfilm de l’après-midi sur M6! Réservé donc à feu la ménagère de moins de cinquante ans

Note : 3/5
Plumpy Trash
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Moins Que Zéro – Bret Easton Ellis

Résumé : On est aux alentours de l’anniv’ de WC, alors j’ai décidé de me replonger dans l’oeuvre d’un auteur que j’ai pas mais pas du tout aimé, souvenez-vous. Là, je reviens aux sources, je me tape le premier roman de Bret Easton Ellis. On y suit les aventures de Clay, un petit étudiant qui rentre passer les vacances de Naël chez pôpa-môman. Alors, Clay et ses copains, ce sont de bons gros gosses de riche. Les parents se branlent un peu de tout, il y a donc du pognon, donc de la coke et des putes (et du bronzage). Enfin, ça tapine beaucoup chez les mecs surtout. On écoute du bon son des années 80, et on erre de fête en fête. Clay participe à tout ça, se dope pas mal mais gère. Il est un peu au-dessus de tout ça, il regarde ça avec un oeil détaché, même des morts dans la rue ou un de ses potes se prostituer, ou une gamine de douze ans se faire droguer et violer.

Titre Original : Less Than Zero
Genre :
  roman, littérature américaine, contemporain
Auteur : Bret Easton Ellis
Année :  1988
Nombre de pages : 250

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Ce que j’ai aimé : L’auteur a soigné sa bande son, le petit Clay, il écoute de la bonne zik d’époque. Le style est facile à lire, ça se survole même.


Ce que je n’ai pas aimé : Qu’est-ce que je me suis emmerdée, c’est pas Dieu possible! Un peu comme Clay, et je crois que c’était la volonté de l’auteur : histoire de nous faire passer le côté désabusé de la première génération post-trente-glorieuses. Sur l’internette, les gens ont adoré ou détesté, comme bien souvent avec cet auteur. Moi j’ai surtout beaucoup baillé… Je ne sais pas si j’aurais un jour la force de m’attaquer à la suite.

Je ne veux pas de l’amour. Si je me mets à aimer des trucs, je sais que ça va être pire, que ce sera encore une chose qui me causera du souci. Tout est moins douloureux quand on n’aime pas.

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Silverthorn – Chroniques de Krondor 3 – Raymond E. Feist

 

silverthornTitre Original : Silverthorn
Genre :
 
roman, fantasy, littérature américaine
Auteur : Raymond E. Feist
Année :  1999
Nombre de pages : 448

Résumé : La guerre de la faille est terminée depuis deux ans. Les frères conDoin ont entamé une petite tournée à travers le royaume, Pug et Kulgan ont commencé à construire leur école de magie. Bref, tout le monde vit plutôt paisiblement. Arutha va même se marier avec la petite Anita, saytrogénial!
Ben oui, mais il fallait bien qu’il se passe quelque chose dans toute cette guimauve ambiante, non? A son retour à Krondor, Arutha va faire l’objet de plusieurs tentatives d’assassinat, avec des morts qui ne restent pas morts bien longtemps. Et puis le jour de son mariage, Jimmy Les Mains Vives, réussit à faire échouer un autre attentat contre le prince, mais cette fois, c’est Anita qui est touchée par un carreau empoisonné. Les magots et les prêtres se penchent à son chevet, personne ne sait ce qu’elle a. Il va donc falloir organiser une expédition à l’abbaye de Sarth pour le découvrir, et après cela, partir chez les Moredhel chercher LA plante, le Silverthorn, qui pourra combattre le poison. (Tu le sens bien le schéma classique de la quête?)
En attendant, Pug, qui n’y peut pas grand chose, va essayer de découvrir qui se cache derrière tout cela et pourquoi. Il ne va pas être déçu, il va même devoir retourner en Tsurannuani, où il se doute qu’il ne sera pas attendu les bras ouverts.

Ce que j’ai aimé : Du pavasse et de la fantasy, que demande le peuple? Bon, tout comme le premier roman de la saga, il s’agit d’un roman de mise en place d’une deuxième grosse intrigue de cycle. Les personnages sont néanmoins bien approfondis, l’auteur fait encore le focus sur des personnages qui avaient été secondaires précédemment, je trouve ça plutôt pas mal, on ne s’en lasse pas. Je reste sur ma faim en attendant le grand méchant loup qui va arriver, mais c’est ce qui fait qu’on a envie d’enchaîner, n’est-ce pas? Et ce sera sans doute avec grand plaisir. Et là-dessus, Feist nous laisse un beau final à suspense.
Ce que je n’ai pas aimé : L’histoire du vilain poison et de la princesse à sauver, c’est un peu surfait.

Note : 3/5
DianaCagothe
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Le Mage – Chroniques de Krondor 2 – Raymond E. Feist

 

le mageTitre Original : The Riftwar : Master
Genre :
 
roman, fantasy, littérature américaine
Auteur : Raymond E. Feist
Année :  1999
Nombre de pages : 508

Résumé : Quatre ans se sont écoulés depuis que nous avons quitté Pug. Il a été capturé par les Tsuranni et est devenu esclave sur leurs terres, de l’autre côté de la faille. Tomas, de son côté, a vécu avec les nains et les elfes, avec sa puissante armure blanc et or, qui l’épuise par tant de pouvoirs. Du côté de Crydee, tout le monde est à droite et à gauche, guerre oblige. Le roi est un peu fou, et en plus de la guerre épuisante avec les Tsuranni, la guerre civile Midkemianne menace.
Dans ce tome, les personnages grandissent et se développent, deviennent moins manichéens, la guerre n’étant pas toujours une affaire très très propre. On fait vraiment connaissance avec les Tsuranni, puisqu’une bonne partie de l’intrigue se passe chez eux : leur culture, leurs systèmes de castes et leur sens de l’honneur, comment fonctionne la magie chez eux. On en apprend également plus sur les failles entre les différents mondes et leurs origines.
Ce que j’ai aimé : Franchement, encore un gros pavasse qui est passé tout seul, même si en ce moment, je suis dans une période de « basse consommation ». Le 1er tome, qui était vraiment un peu trop facile et estampillé jeunesse, quoique j’aie bien aimé, laisse ici place à un deuxième tome avec un peu plus de rebondissements (quoique souvent attendus). Les personnages ont vraiment mûri et donc l’auteur leur a fait prendre plus de profondeur, ce qui n’est pas désagréable.
Même s’il laisse la voie ouverte pour une suite, ce tome s’achève avec une vraie fin. Pour ceux qui auraient la flemme d’aller voir plus loin… C’est assez rare pour être souligné, même si je bouderai pas mon plaisir en entamant le tome 3, évidemment.
Ce que je n’ai pas aimé : Tout ce petit monde est parfois un peu trop lisse et un peu propret, fidèle à ses convictions, et proprice aux happy ends. Mais bon, c’est dans la plus pure tradition fantasyesque, des histoires de chevaliers, de princesses, d’elfes, de nains et de dragons…
NDLR: encore merci La Bicoque

Note : 4/5
DianaCagothe
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Cinder – Chroniques Lunaires 1 – Marissa Meyer

 

CinderTitre Original : Cinder
Genre :
 
roman, science-fiction, dystopie, jeunesse, littérature américaine
Auteur : Marissa Meyer
Année :  2013
Nombre de pages : 412

Résumé : Cinder, c’est une cyborg adoptée. Son papa étant décédé, elle se tape sa vilaine belle-mère, Adri, et ses deux demi-soeurs, même si la petite, Peony, est sympa. Son job, c’est la mécanique, elle répare tout et n’importe quoi. C’est pourquoi, un jour, déboule à son atelier le prince Kai : son robot de compagnie Nainsi (sic!) doit être réparé. Evidemment, ils se kiffent à mort, mais c’est une histoire d’amour impossible. D’une parce qu’elle est cyborg, donc sous-humaine, et que lui, il va devoir se farcir la reine Levana, la dirigeante de la Lune, pour épargner à la Terre d’atroces souffrances, soit à cause d’une cinquième guerre mondiale, soit parce que l’humanité aura été décimée par la létumose, une néo-peste. Et puis bon, l’adversité fait que Cinder va en découvrir, des vertes et des pas mûres, sur ses propres origines.

Ce que j’ai aimé : C’est une Cendrillon revisitée de manière assez marrante. Évidemment, ça se lit vite, parce que c’est pour les « djeuns ». Je croyais que ça allait moins tenir la route que ça.
Ce que je n’ai pas aimé : C’est ma première immersion dans la littérature « Young Adult » qui marche du tonnerre ces dernières années et je trouve que cette qualification est un peu abusive, parce que je classe vraiment ce roman dans la catégorie jeunesse, et est tout à fait adapté à votre ado, limite votre pré-ado. La vieille bique que je suis ne continuera sans doute pas cette saga, sauf évidemment si ça me tombe entre les mains, mais certainement pas au prix fort.

NDLR : Je remercie vivement Moody du blog Take A Book et les éditions Pocket Jeunesse pour m’avoir fait gagner ce bouquin.
Note : 3/5
DianaCagothe
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Plaisirs coupables – Anita Blake 1 – Laurell K. Hamilton

 

plaisirscoupablesTitre Original : Guilty Pleasures
Genre :
 
 Roman, Bit-Lit, fantastique, littérature américaine
Auteur : Laurell K. Hamilton
Année :  1993
Nombre de pages : 350

Résumé : C’est l’histoire d’Anita Blake, une nana chasseuse de vampires qui bosse avec la police – mais dans une division spéciale qui s’occupe du surnaturel – et qui mène des enquêtes. Dans ce premier opus, suite à des assassinats un peu trop répétés de maîtres vampires hyper puissants, elle va côtoyer les bas-fonds surnaturels de la ville de Saint Louis. Au cours de son enquête elle découvre un milieu vampire hyper organisé ainsi que des zombies, des goules, des hommes rats et j’en passe. 

On découvre une nana hyper girly qui a des problèmes de fille, qui se pose beaucoup de questions sur les garçons, qui a des meilleurs copains et des meilleures copines, un univers très bien calqué sur celui de Buffy contre les vampires … sauf que toi lecteur, tu ne connais pas cette série mythique parce que le public visé a à peu près une vingtaine d’années, tu naissais donc à peine lorsque ça passait à la téloche.
L’écriture est très réussie, Anita parle à la première personne et s’adresse à un public adolescent plutôt féminin au travers duquel elle transmet les petits malaises de cet age avec les garçons sans tomber non plus dans quelque-chose de niais : on a bien sur le droit à pas mal de bagarres, on ne s’ennuie jamais.
Même si j’ai passé un excellent moment et si j’ai pris du plaisir pour ma première fois dans le bit-lit, je ne lirai pas les numéros suivants : je ne suis pas vraiment le lectorat visé.
Ce que j’ai aimé : Le côté girly, les problèmes de fille d’Anita, les scènes d’action.
Ce que je n’ai pas aimé : Rien mais je ne suis pas le public visé.

Note : 4/5
Tristan
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Pontesprit – Joe Haldeman

 

PontespritTitre Original : Mindbridge
Genre :
 
roman, science-fiction, militaire, space opéra, littérature américaine
Auteur : Joe Haldeman
Année :  1976
Nombre de pages : 296

Résumé : Dans le courant du XXIe siècle, on découvre un cristal qui permet la téléportation. Enfin de manière temporaire, puisque les objets et gens reviennent systématiquement à leur lieu d’origine au bout d’un certain temps.
Ce cristal, une fois maîtrisé, permet de commencer pour de vrai l’exploration spatiale. Jacque Lefavre, suisse-allemand, mi-brute, mi-surdoué, deviendra un de ces explorateurs, nommé maîtriseurs. Lors d’une de ses expéditions, Jacque et ses collègues découvrent une bestiole qui, tue la première personne qui la touche, mais qui permet un contact télépathique entre les suivants qui entrent en contact. Les humains se serviront de cette bestiole pour tenter de communiquer avec une autre espèce intelligente qu’ils découvriront plus tard, mais qui est très, très méchante.

Ce que j’ai aimé : La construction du roman, émaillée de tableaux, rapports, graphiques. C’est très original.
Ce que je n’ai pas aimé : L’omniprésence de tableaux, rapports, graphiques. C’est marrant au départ, mais ils sont vraiment trop nombreux, on s’en lasse vite. Surtout que ça prend vachement de place par rapport à l’histoire. J’ai aussi détesté la quatrième de couverture, qui spoile complètement la fin du livre dès la première phrase. Du coup, j’ai trouvé que ça mettait vachement de temps à démarrer. Bref, je me suis vraiment ennuyée, surtout que j’avais bien aimé auparavant le même auteur avec Rêves Infinis.

Note : 1/5
DianaCagothe
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Pavillon de l'exil – Honor Harrington 5 – David Weber

pavillondelexilTitre Original : Flag in exile
Genre :
 
roman, science-fiction, space opéra, militaire, littérature américaine
Auteur : David Weber
Année :  1995
Nombre de pages : 496

Résumé : David Weber nous emmène cette fois-ci non plus dans l’espace ni dans des histoires de duels mais sur la planète Grayson avec Honor en seigneur qui gère sa boîte de bâtiment. Elle va mettre toutes ses économies dans des constructions de dômes et – bien sur – il va y avoir un sabotage qui va faire effondrer toute une structure sur une école avec des enfants dedans. Inutile de vous préciser que tout va lui être mis sur le dos et qu’elle ne va pas lâcher les méchants qui ont fait ça.
Dans cet opus, David Weber transmet plus que jamais un certain nombre de messages sur le rôle des femmes dans la société et particulièrement à des postes de direction ainsi que sur la religion et une de ses dérives – l’intégrisme. On se dit que l’auteur a un vécu personnel fort du sujet, tellement ces sujets sont particulièrement bien amenés.
Ce que j’ai aimé : Les messages transmis par David Weber et bien sur qu’il sache toujours nous faire rêver au cinquième épisode.
Ce que je n’ai pas aimé : Rien

Note : 4/5
Tristan