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Innocent – Gérard Depardieu

innocentTitre Original : Innocent
Genre :
 
 biographie, littérature française
Auteur : Gérard Depardieu
Année :  2015
Nombre de pages : 192

Résumé : Gérard Dépardieu nous raconte sa vie ici, par bribes, le tout entrecoupé de réflexions au sujet de la vie, la mort, l’existence… L’enfant non désiré, qui a survécu aux aiguilles à tricoter, en ressort avec une soif de vie, une soif de tout, monte à Paris, devient comédien, parce que ce n’est pas un vrai travail pour lui, parce qu’il a plus envie de vivre. Il raconte ses modèles, ses idoles, ses amitiés, ses amours et ses enfants, ses erreurs, sa vie russe. Qu’on l’aime ou qu’on le conchie, c’est un franchouillard, certes, mais cultivé et réfléchi.

Ce que j’ai aimé : Son sens de la répartie. Le mec, tu peux ouvrir n’importe quelle page de son livre, tu vas avoir un moment d’anthologie. J’ai fait le test de la page 99, pour voir quel pavé de pragmatisme le Gégé il allait nous balancer : « Autant dans la moiteur des jungles, tu peux vite devenir de la pourriture, ou te comporter comme une pourriture, autant dans le désert tu peux devenir un saint. Parce que tu ne peux pas aller contre les soixante degrés, tu peux seulement essayer de les vivre, de les supporter, et si tu n’as pas une vie intérieure assez intense tu ne peux pas t’en échapper. » Bon j’avoue, ce n’est pas celle qui m’a le plus plu, mais c’est dans le ton du bouquin.
Ce que je n’ai pas aimé : Autant lire quelques pages, comme ça, au détour d’un petit caca, par exemple, c’est super, autant le lire de manière linéaire devient vite indigeste. On frôle l’overdose de brèvitude de comptoir.

Note : 3/5
DianaCagothe
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La Gloire de mon père / Le Château de ma mère – Marcel Pagnol

la gloire de mon père le château de ma mèreTitre Original : La Gloire de mon père / Le Château de ma mère
Genre :
 
 roman, biographie, littérature française
Auteur : Marcel Pagnol
Année :  1957
Nombre de pages : 384

Résumé : Marcel Pagnol nous raconte son enfance entre Aubagne et Marseille, son instituteur anti-clérical de père, sa mère qu’il adore plus que tout, son petit frère Paul. Il nous raconte surtout ses grandes vacances, à la maison de campagne dans les collines, son adoration pour les indiens, la chasse avec son copain Lili. 

Ce que j’ai aimé : Ça fleure bon la Provence et le début du XXe siècle, lieu et époque bénis. Ah la vieille France! J’ai surtout aimé parce que ce livre se lit en étant gosse et que ça m’a ramené à mes propres souvenirs de gosse. C’est une vraie bonne lecture pour les 8-12 ans, qui émerveillera leur rentrée scolaire et prolongera un peu plus leur été déjà loin.
Ce que je n’ai pas aimé : Il faut dire ce qui est, quand tu es adulte, le regard change un peu, et avec mon côté cynique, j’y vois un côté un outil un peu propagandiste, anti-cléricale, vive la république, gloire aux paysans, vive la France d’avant. Mais ça, c’est parce que je suis mauvaise, c’est surtout gnian gnian à souhait passé 13 ans.

Note : 4/5
DianaCagothe
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Lettre au père – Franz Kafka

lettre au pèreTitre Original : Brief an den Vater
Genre :
 
biographie, littérature tchèque
Auteur : Franz Kafka
Année :  1952
Nombre de pages : 112

Résumé : L’auteur écrit une lettre qu’il n’enverra jamais à son père. Il revient sur ses années d’enfance : comment il admirait et haïssait ce père autoritaire, qui a fait de lui un être chétif, peu sûr de lui.

Ce que j’ai aimé : Ca se lit très vite, c’est plutôt bien écrit. Kafka écrit à son père mais pour nous tous. Ce qui fait que l’on s’imagine assez bien le personnage.
Ce que je n’ai pas aimé : La lecture, c’est quand même deux heures de torture. Ok, c’est très bien que Kafka ait réussi à sortir tout ce vomi qui était à l’intérieur de lui, mais j’ai observé ceci avec un peu de distance. Du coup, j’ai eu l’impression d’assister à un lavage de linge sale en famille. Je me suis sentie gênée. Surtout parce que ce père n’a jamais reçu cette lettre. A réserver à ceux qui veulent vraiment en savoir plus avec Kafka ou qui ont un truc à régler avec papa.

Note : 1/5
DianaCagothe
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Chanel m'a dit… – Lilou Marquand

chanel m'a ditTitre Original : Chanel m’a dit…
Genre :
 
biographie, littérature française
Auteur : Lilou Marquand
Année :  1990
Nombre de pages : 163

Résumé : Lilou Marquand, fan absolulu de Mademoiselle Coco, s’endette un jour pour s’acheter quelques tailleurs de la dame. Elle va se planter devant la boutique pendant quelques jours, jusqu’à se faire remarquer. Chanel l’engage d’abord comme RP, puis finit par en faire son assistante/bras droit/exutoire.
C’est donc à travers le regard de l’auteur qu’on va découvrir le petit quotidien de cette grande dame bien fantasque tout au long des années où elle l’a accompagnée, jusqu’à la fin.

Ce que j’ai aimé : Ça se lit vite et au milieu, il y a des photos. (Tu le sens le kif?)
Ce que je n’ai pas aimé : Bon, j’avoue, au départ, je n’étais pas hyper emballée par le sujet. La mode ça me passionne pas, et bon, le tailleur Chanel, ça reste très étrange pour moi. En ce qui concerne l’écriture, bon ça n’est pas un style littéraire très prenant.
J’ai particulièrement détesté le regard de l’auteur : pseudo-fan mais hyper critique et un peu gratuitement. Chanel est un mythe, à quoi ça sert de nous raconter qu’elle est un génie et que donc elle n’a que peu de prise avec la réalité? Ça me paraît assez lié. Lilou Marquand chouine beaucoup sur le fait qu’elle avait une vie impossible à côté de la grande dame, pleine d’horaires au boulot, pleine de délires de la vieille. Du coup, on passe plus de temps

Note : 1/5
DianaCagothe
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Oona & Salinger – Frédéric Beigbeder

Oona & SalingerTitre Original : Oona & Salinger
Genre :
 
roman, biographie, littérature française
Auteur : Frédéric Beigbeder
Année :  2014
Nombre de pages : 335

Résumé : Deux adolescents, presque adultes, dans un monde en plein mutation, dans des comportements déjà adultes. On a J.D. Salinger, l’écrivain en herbe qui écrira par la suite, l’Attrape-coeurs, 21 ans, qui traine au Stork Club. On the other hand, on a Oona O’Neill, fille du dramaturge Eugene O’Neill, aujourd’hui oublié ou presque, mais star en son temps. Oona a 15 ans et mène une vie très parishiltonienne, future épouse de Charlie Chaplin, à qui elle fera 8 enfants. Elle traine aussi au Stork Club. Ces deux timides vont se rencontrer, un peu s’aimer, beaucoup se détester, mais vont garder un lien indéfectible qui traversera la vie, la guerre, la maladie et la mort.

Ce que j’ai aimé : Beigbeder, dans cette biographie romancée, transcende le premier amour, l’initiatique, celui qui détermine comment tu aimeras les autres dans la vie. On dit que les histoires d’amour finissent mal en général, ici, elle n’a même pas bien commencé. Ce qui est fort ici, c’est leur incapacité à aimer, si jeunes et déjà si blasés. Oona ne trouve son bonheur que dans quête à trouver un père de substitution. Quant à Jerry, plus amoureux d’Oona, emmènera une image d’elle de vierge sadique, mais qui l’aidera tout de même à traverser et gagner la grande loterie des survivants de la seconde guerre mondiale.
J’ai aussi beaucoup aimé comment Beigbeder utilise les yeux de Salinger pour nous décrire comment la guerre est sale, prosaïque, sanglante et folle : mon passage préféré est cleui où Salinger rencontre Hemingway à la libération de Paris, et où ils devisent sur l’image la plus ressemblante pour décrire un crâne fracassé : un pot de fleurs ou de la confiture mélangée de blanc d’œuf?
Ce livre m’apporte également un nouveau regard sur l’Attrape-Cœurs, que je relirai sans doute d’une autre manière à la lumière de la vie de l’auteur. Je ne m’attendais vraiment pas à cette bonne surprise :Beigbeder, comme Houellebecq et Despentes, ont accompagné le début de ma vie d’adulte, avec l’expression des révoltes que je portais en moi et on mis des maux à mes mots. Je me disais que 20 ans plus tard, j’avais pris un chemin différent et que je ne retrouverai pas goût à cette littérature, mais on vit dans le même siècle, on vieillit ensemble. J’ai apprécié la sérénité qui se dégage de Beigbeder lorsqu’il se raconte un peu à la fin. Finalement, je vais peut-être retrouver le goût à cette littérature contemporaine empreinte d’un côté sulfureux comme l’est ma vie.
Ce que je n’ai pas aimé : C’est une biographie romancée, je vais devoir démêler le vrai du faux maintenant.

Note : 4/5
DianaCagothe
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Trajectoire – Paco Rabanne

TrajectoireTitre Original : Trajectoire
Genre :
 
biographie, ésotérisme, littérature française
Auteur : Paco Rabanne
Année :  1991
Nombre de pages : 251

Résumé : C’est la biographie de Paco. Elle date « d’avant », oui avant le ridicule échec de sa prévision de la chute de la station Mir sur nos petites tronches le jour de l’éclipse de 1997. Et Paco, il est à donf dans la découverte de ses vies antérieures, la compréhension du monde qui nous entoure, dans toutes ses dimensions parallèles possibles. Le bouquin est même agrémenté de petits schémas pour t’aider à atteindre un bout de La Connaissance.

Ce que j’ai aimé : Faire un Live Tweet. Ce bouquin est une poilade assurée. Chaque page recèle des moments laule. Si t’es dépressif, que t’as le moral en berne, vas-y! Achète! En plus, il coûte max 1€ dans n’importe quelle bouquinerie…
Trajectoire LT
Ce que je n’ai pas aimé : Alors bon, commencer par une traduction erronée de ton nom de famille, c’est un peu poser les fondations de ta loose en crédibilité, non Paco?

Note : 2/5
DianaCagothe
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Un enfant du rock – Thierry Taittinger

Un enfant du rockTitre Original : Un enfant du rock
Genre :
 
biographie, nouvelles, essai, littérature française
Auteur : Thierry Taittinger
Année :  2008
Nombre de pages : 160

Résumé : Difficile de résumer ce petit concentré en quelques mots, tellement ça part dans tous les sens. Thierry Taittinger nous livre des chroniques autant sur la musique que ses souvenirs, pas forcément liés à la musique.
Il ouvre le bal avec la rencontre entre John Lennon et Paul McCartney, une histoire de deux ados un poil romancée. Puis vogue entre des histoires de bluesmen, les origines du rock et des souvenirs personnels, comme ses virées dans le Paris by night.

Ce que j’ai aimé : C’est vraiment un livre à mettre aux WC. Vos convives se régaleront de ces historiettes qui se lisent en quelques minutes, qui sont plutôt pas mal écrites et se laissent avaler, pendant que vous déchargez la marchandise.
Ce que je n’ai pas aimé : Si j’ai été très enthousiaste au départ, je me suis vite demandé quel était l’objectif de cette compil’. Au départ, on m’a vendu du rock, alors ok, au départ, c’est pas mal. Mais, à partir de la seconde moitié, ça s’effiloche. Je ne sais si c’est un choix artistique, ou s’il fallait remplir, mais on a quelques chroniques qui nous relatent des souvenirs personnels, et ces chroniques sont complètement hors de propos : par exemple, Thierry Taittinger nous raconte une croisière qu’il aurait fait adolescent avec ses parents. Pourquoi? Non seulement on s’en tamponne le coquillard, mais ça n’a rien à voir avec ce que nous laisse imaginer le titre et la 4e de couv’. Et évidemment, ça se finit par des histoires autour du monde du sexe, un peu à la Paris Dernière, mais sans le talent et juste avec le côté pathétique. Au moment où j’en arrive à ce stade de la lecture, j’ai déjà acheté, bordel, pas de besoin de dévoiler systématiquement du cuissot! Bref, si vous tombez dessus, feuilletez, mais ça vaut vraiment pas le coup de l’acheter.

Note : 2/5
DianaCagothe
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Wild – Cheryl Strayed

wildTitre Original : Wild
Genre :
 
biographie, aventures, littérature américaine
Auteur : Cheryl Strayed
Année :  2012
Nombre de pages : 504

Résumé : Cheryl, petite fille d’une famille recomposée, dont le père a peu ou prou disparu, vit avec son frère et sa soeur, sa maman et son beau-père. Tout ça grandit dans une cabane, dans un délire écolo-nature. Quand Cheryl devient adulte, à la petite vingtaine, sa mère meurt très vite d’un cancer du poumon, elle qui n’avait jamais clopé et qui était la reine de la nature… Forcément, Cheryl, elle comprend pas… Elle arrive pas vraiment à faire son deuil et sombre dans le sexe, drogue et rock’n roll. Et puis elle décide de faire son grand voyage initiatique, le Pacific Crest Trail, une méga rando de plusieurs mois et de milliers de kilomètres, pour se laver l’esprit de tout ça.

Ce que j’ai aimé : Putain, ça m’a donné envie de chausser mes super décat’ et partir loin. Du paysage, en veux-tu, en voilà. Un petit conseil d’amis, ayez toujours un « Google Images » ouvert pendant votre lecture, et allez explorer le parcours de Cheryl. Ça donne envie.
Ce que je n’ai pas aimé : Pourquoi, pourquoi, mais oh grand pourquoi tu ne te lâches jamais Cheryl? C’est ton grand voyage initiatique et tu le partages avec nous, merde! L’auteure nous raconte surtout ses galères de randonneuse, mais part très rarement dans l’introspection, et quand elle le fait, c’est toujours avec retenue, ou au moins, elle ne va pas jusqu’au bout d’elle-même. C’est dommage, parce que c’est un peu ce qu’on vient chercher dans ce genre d’histoires, on s’en fout un peu que ses ongles de doigts de pied se fassent la malle.

Note : 2/5
DianaCagothe
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La Promesse de l'Aube – Romain Gary

La Promesse de l'aubeGenre :  biographie, littérature française
Auteur : Romain Gary
Année :  1960
Nombre de pages : 464

Résumé : Romain Gary, moi, c’est un gars que je ne connaissais pas. Si, je savais juste que c’est le gars qui a fait la nique au prix Goncourt (et tu sais que ce prix me tient à cœur) en le gagnant deux fois, la seconde fois avec un pseudo et un emberlificotage. A le voir me cligner de l’œil avec son beau manteau de cuir dans mes suggestions Booknode, j’ai dit « bingo, chalumeau! ».
Le gars, il est fils unique, avec un papa qui s’est un peu fait la malle mais qui envoie un peu de pognon de temps en temps. Il grandit donc avec une maman, vraiment, mais alors vraiment rocambolesque. C’est une ancienne actrice qui a des rêves de grandeur pour son fiston : elle a tout donné pour lui, vraiment. Comme son fils doit être un grand homme, elle l’essaie à différents talents, pour lesquels La promesse de l'aube citation 1visiblement Romain n’a aucun don, si ce n’est peut-être la peinture. Mais comme en général ils ne connaissent la gloire qu’après la mort, c’est moyennement intéressant. Alors, au final, ça se termine par l’écriture. A part sa passion incommensurable pour son fils, cette mère ne rêve que d’un Éden, la France. Le bouquin parle surtout de cette relation mère-fils, comme elle laisse peu de place aux autres, même quand chacun d’eux essaie et comme ils donnent tout l’un pour l’autre, mais sans pour autant que cette relation les étouffe (même si parfois…)

Ce que j’ai aimé : Cette mère absolument rocambolesque, ancienne actrice dont le grand rôle de sa vie consiste à faire de son fils un héros. Elle fume des clopes à longueur de journée, a un sacré caractère, roublarde mais pas malhonnête au fond, et qui se donne les moyens de ses ambitions. Romain Gary a une vraie jolie plume et même si on sent bien qu’il y a beaucoup d’embellissement pour cette maman juive, on se laisse prendre au jeu et on se laisse emporter. En plus, on se marre, parce qu’en guise de vie de héros, c’est surtout une histoire de destinée, parce que v’là quand même le pied nickelé que ce petit Romain. Et il y a beaucoup de pointes d’humour, qui dédramatisent bien ce grand personnage qu’est la Mamma. Bref, on pleure, on rit, et c’est un bouquin qui fait le job!
la promesse de l'aube citation 2
Ce que je n’ai pas aimé : Cette mère, au départ est bien trop étouffante, j’ai eu du mal à rentrer dans le bouquin. Et puis j’ai du mal à saisir cet Oedipe des mères et de leurs fils.

Note : 4/5
DianaCagothe
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Diam's autobiographie – Mélanie Georgiades

Diam's - autobiographieTitre Original : Diam’s autobiographie
Genre :
 
biographie
Auteur : Mélanie Georgiades
Année :  2012
Nombre de pages : 352

Résumé : La petite Mélanie aime bien rapper. Ça lui permet d’exorciser un peu son mal être. Nous allons donc la suivre, de toute minotte à la fin de sa carrière de rappeuse et son retrait de sous les projecteurs. Des MJC à La Boulette, de grandes tournées à ses vacances à l’île Maurice, sa vie d’artiste puis sa lente descente dans l’enfer de la dépression à son investissement dans des associations caritatives y sont décrites. Elle a écrit ce livre pour expliquer à ses fans ainsi qu’à ses détracteurs comment elle a trouvé la paix et sa renaissance à travers sa conversion à l’Islam.

DIam's - extrait
Ce que j’ai aimé : il est léger, le bouquin se lit bien, à part quelques passages un peu relou (je déteste quand on a des pleines pages de citation du Coran – mais c’est pareil quand Tolkien nous sort ses chansons dans le SDA ou Zola qui décrit sur 28 pages un pré de pissenlits). J’ai lu ce livre parce que, d’une part, j’aime beaucoup ses chansons et que, d’autre part, je voulais en savoir plus sur ses motivations pour avoir voulu d’un coup se convertir à une religion. Et puis c’est aussi l’histoire de cette artiste, qui a fait de superbes textes et de son parcours personnel pour réussir à exorciser ses démons.
Ce que je n’ai pas aimé : C’est une autobiographie, certes mais pas si exhaustive que ça. Il y a des pans qui ne sont jamais abordés: la rencontre avec son mari par exemple qui doit tenir en une demi phrase, pourtant, moi ça me semblait aller de pair avec la sérénité son mariage, mais bon, soit!  Et les moments où elle s’extasie sur le monde quand elle commence sa lecture du Coran, c’est un peu éreintant: regarde Chacha, un arc en ciel, c’est trop génial ! Oh regarde Chacha, un chaton mort, c’est super chouette !

 
Note : 3/5
  Kwaite