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Au champ du déshonneur – Honor Harrington 4 – David Weber

auchampdudeshonneurTitre Original : Field of dishonor
Genre :
 
roman, science-fiction, space opéra, militaire, littérature américaine
Auteur : David Weber
Année :  1994
Nombre de pages : 448

Résumé : David Weber quitte vraiment le ton des deux premiers tomes et des batailles interstellaires sans nous ennuyer et nous démontre qu’une série peut ne pas s’essouffler une fois un premier chef d’œuvre pondu.
Cette fois-ci, notre charmante Honor quitte ses aventures spatiales et nous entraîne dans un opéra militaire sur fond de procès, de duels au pistolet et de politique. Bien entendu, tout cela tourne autour de son idylle démarrée à l’opus précédent et nous découvrirons à quel point l’ennemi d’Honor, que nous avions découvert depuis le début, est un sombre crétin sans honneur.
Pavel Young est donc viré de l’armée et en veut vraiment à notre amoureuse de toujours. Il lui fait une crasse monumentale, ce qui la met en rogne au plus haut point et quand notre bichette est furax, on en entend parler tout le bouquin.
Ce que j’ai aimé : Le scénario.
Ce que je n’ai pas aimé : Le procès de Pavel Young; on aurait aimé un déroulement qui colle plus à nos méthodes d’aujourd’hui avec des témoins interrogés et tout et tout.

Note : 4/5
Tristan

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Le Problème Spinoza – Irvin D. Yalom

 

le problème spinozaTitre Original : The Spinoza Problem
Genre :
 
roman, littérature américaine, historique, philosophie
Auteur : Irvin D. Yalom
Année :  2014
Nombre de pages : 544

Résumé : Yalom fait se croiser deux destins, celui de Spinoza, inventeur d’une éthique de la joie au 17eme siècle, et celui d’Alfred Rosenberg, nazi qui joué un rôle décisif dans l’extermination des juifs. Leur lien ? Spinoza était juif, mais excommunié (à une époque où c’était tout sauf symbolique). Il a eu une grande influence sur des générations de penseurs et en particulier sur Goethe, auteur particulièrement apprécié des nazis en général, et de Rosenberg en particulier. Le jour où il découvre cela, encore jeune homme, Rosenberg est ébranlé. Il cherchera tout sa vie à résoudre « le problème Spinoza ». A savoir, comment un grand penseur tel que Goethe a pu admirer un juif ?

Ce que j’ai aimé : J’ai aimé le style toujours alerte et vivant de Yalom, son érudition historique, sa précision et sa justesse dans la description des mécanismes psychologiques (pour ceux qui ne connaissent pas Yalom, c’est un psychiatre américain qui s’est fait une spécialité d’écrire des romans à la fois psychologiques et philosophiques. Dit comme ça, ça a l’air chiant, mais c’est le plus souvent drôle et enlevé), la découverte très vivante de la société d’Amsterdam du 17eme siècle.
Ce que je n’ai pas aimé : J’ai moins aimé ne pas retrouver ma sensation de comprendre de l’intérieur le système philosophique de Spinoza, alors que cela a été le cas avec Schopenhauer et Nietzsche dans les précédents ouvrages de Yalom. Si j’ai compris sa position concernant la religion, je n’ai pas d’éléments suffisants avec le livre de Yalom pour comprendre en quoi il est l’inventeur d’un éthique de la joie.

Note : 4/5
Marion
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Esprit d'hiver – Laura Kasischke

Esprit d'hiverGenre :  roman, littérature américaine, drame
Auteur : Laura Kasischke
Année :  2013
Nombre de pages : 276

Résumé : Ça se passe le matin de Noël. Holly se réveille à moitié, hantée par quelque chose : une phrase qu’elle doit écrire. Mais comme c’est le matin de Noël, qu’elle est à la bourre et que c’est chez elle que se passe le réveillon, elle ne l’écrit pas. Elle va réveiller sa fille Tatiana, adoptée, adolescente. Son mec se casse à l’aéroport chercher ses vieux. Holly, quant à elle rumine ses angoisses, pendant que son adolescente fait… Son adolescente… Elle fait chier.

Ce que j’ai aimé : Le synopsis, qui nous promettait un grand moment d’huis-clos d’angoisse.
Ce que je n’ai pas aimé : Je n’ai pas réussi à dépasser la centième page. Il ne se passe tellement rien, je me suis emmerdée comme un rat mort. Alors peut-être que tout se débloque vers la fin, le reste de la toile est scotchée par la fin, mais je n’ai pas tenu le choc. C’est extrêmement rare que j’abandonne un livre, alors vous imaginez le supplice…
NDLR : Ce bouquin m’avait été offert par Price Minister pour les Matchs de la Rentrée Littéraire 2013, je devais le chroniquer pour le 1er décembre, mais je n’ai pas pu survivre à cette chianteur.
Note : 1/5

DianaCagothe
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Retour au Club des Veufs Noirs – Les Veufs Noirs 2 – Isaac Asimov

Retour au Club des Veufs NoirsTitre Original : More Tales of the Black Widowers
Genre : 
nouvelles, polar, littérature américaine
Auteur : Isaac Asimov
Année :  1989
Nombre de pages : 316

Résumé : Au cas où tu sois dans un monde parallèle, c’est la suite de ma dernière chronique. Donc on récapitule : une fois par mois, une bande de potes se retrouve dans un resto. Les règles :
* pas de gonzesses (faut pas déconner),
* chacun son tour, on ramène un invité qui se fera cuisiner en fin de repas,
* être membre du club te vaut l’attribution du titre « Docteur ». Si tu es déjà docteur, tu deviens docteur docteur.
Toutes les nouvelles suivent invariablement le même schéma : tout le monde s’envoie des mots doux à la tête, on passe au brandy et on pose la fatidique question à l’invité : « comment justifiez-vous votre existence? ». Suite à cela, les Veufs Noirs arrivent toujours à trouver quelque chose qui turlupine l’invité, en général une énigme (quand ce n’est pas carrément le but de l’invitation). Tout le monde commence à tergiverser, mais invariablement, ce sera Henry, le serveur qui trouvera la solution.
Ce que j’ai aimé : Le deuxième tome, c’est comme le premier, je ne l’ai pas vu passer.
Ce que je n’ai pas aimé : Ca commence à en faire des nouvelles à ingurgiter.

Note : 4/5

DianaCagothe
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Fondation – Fondation 3 – Isaac Asimov

FondationTitre Original : Foundation
Genre :
 
nouvelles, science-fiction, littérature américaine
Auteur : Isaac Asimov
Année :  1951
Nombre de pages : 236

Résumé : Alors, pour commencer, on va expliquer pourquoi je commence par le volume 3 d’un cycle. C’est le premier à avoir été écrit, tout simplement. Le before a été écrit bien après, donc j’ai décidé de faire une lecture chronologique du cycle.
Maintenant que les choses sont claires, ce sont des nouvelles mais qui suivent un fil conducteur historique. On est bien loin dans le futur, les hommes ont colonisé moult planètes pour former l’Empire Galactique avec sa super planète-capitale : Trantor. Hari Seldon, un super-mathématicien-statisticien fonde une nouvelle discipline : la psychohistoire. En gros, c’est de la voyance qui s’appuie de la statistique. Le gars, il prévoit donc l’effondrement imminent de l’Empire. Il réussit donc à les convaincre que la chute ne peut pas être stoppée, mais qu’il faut faire une planète avec moult cerveaux qui compilera tous les savoirs dans l’Encyclopaedia Galactica. On l’envoie lui et ses acolytes sur Terminus, qui porte bien son nom : un caillou au fin fond de la périphérie. Seldon, pas con pour un sou, fait une colonie parallèle à l’autre bout : Star’s End.
Petit à petit, l’Empire se délite effectivement et Terminus, sans protection impériale, doit commencer à se débrouiller. Les nouvelles racontent successivement plusieurs ères des encyclopédistes et comment ils se débrouillent pour que leur but perdure.

Ce que j’ai aimé : C’est un classique incontournable de la science-fiction. J’adore comment Asimov imaginait l’avenir, mais de manière tellement empreinte du XXe siècle.
Ce que je n’ai pas aimé : J’aurais aimé passer un peu plus de temps avec Hari Seldon.

Note : 5/5

DianaCagothe
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Cordelia Vorkosigan – Vorkosigan 1 – Lois McMaster Bujold

cordeliavorkosiganTitre Original : Shards of Honor
Genre :
  
roman, science-fiction, space opéra, littérature américaine
Auteur : Lois McMaster Bujold
Année :  1994
Nombre de pages : 320

Résumé : Toujours dans mon trip space op militaire, je farfouille une fois de plus chez mon libraire qui ne se lasse pas de me voir l’enrichir et je tombe (ouille) sur la saga Vorkosigan. Je lis le pitch, ça à l’air pas trop mal, bon je le prends.
C’est histoire d’un type commandant militaire que Lois McMaster Bujold fait passer pour un vieux crouton. Précision : il a 40 ans, merci donc Lois, j’avais déjà l’impression d’avoir un certain age, maintenant grâce à toi, en plus je suis un vieux crouton. Donc, le « vieux » rencontre Cordélia – son pendant militaire mais chez la faction ennemie – et la fait plus ou moins prisonnière pour traverser une forêt hostile sur une planète inhabitée très lointaine. Bon an mal an, ils se croisent et se décroisent sur fond de guerre interstellaire et de conflit politique. Les deux militaires deviennent progressivement deux tourtereaux tout mignons avec du je t’aime moi non plus à tire larigot.
Les combats spatiaux sont bons bien qu’en dessous de ceux de Honor Harrington ou de la flotte perdue mais le problème est qu’on se sait pas vraiment pourquoi ils se battent. Les motifs politiques tiennent en peu de pages et sont trop compliqués (ou mal expliqués ?). L’immersion du lecteur dans les scènes d’action est donc difficile.
Point de space opéra militaire ici en fait, les grands thèmes du genre ne sont pas abordés : ni management des armées, ni les stratégies militaires, c’est donc uniquement un space op d’une histoire d’amour entre deux militaires de deux factions différentes. J’ai donc mal pioché, mon libraire sera alors pendu haut et court ou guillotiné et pas de suite pour moi sur cette saga.
Ce que j’ai aimé : Les personnalités des deux tourtereaux bien retranscrite et crédible.
Ce que je n’ai pas aimé : L’intrigue politique de fond trop compliquée qui perd le lecteur dans les scènes d’action.

Note : 2/5

Tristan

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Le Club des Veufs Noirs – Les Veufs Noirs 1 – Isaac Asimov

Le Club des Veufs NoirsTitre Original : Tales of the Black Widowers
Genre : 
nouvelles, polar, littérature américaine
Auteur : Isaac Asimov
Année :  1989
Nombre de pages : 223

Résumé : Une fois par mois, une bande de potes se retrouve dans un resto. Les règles :
* pas de gonzesses (faut pas déconner),
* chacun son tour, on ramène un invité qui se fera cuisiner en fin de repas,
* être membre du club te vaut l’attribution du titre « Docteur ». Si tu es déjà docteur, tu deviens docteur docteur.
Toutes les nouvelles suivent invariablement le même schéma : tout le monde s’envoie des mots doux à la tête, on passe au brandy et on pose la fatidique question à l’invité : « comment justifiez-vous votre existence? ». Suite à cela, les Veufs Noirs arrivent toujours à trouver quelque chose qui turlupine l’invité, en général une énigme (quand ce n’est pas carrément le but de l’invitation). Tout le monde commence à tergiverser, mais invariablement, ce sera Henry, le serveur qui trouvera la solution.
Ce que j’ai aimé : Même si toutes les nouvelles sont construites sur le même schéma, chacun d’elles est un vrai petit plaisir, on ne s’ennuie jamais. Chaque nouvelle est également ponctué par une remise en situation par l’auteur, et c’est très sympa. C’est ma lecture avant dodo du moment, une nouvelle et hop, Morphée! En plus c’est assez marrant de voir Asimov dans un autre registre que la SF : même si ce n’est pas de la grande littérature, ça se lit bien!
Ce que je n’ai pas aimé : Rien.

Note : 5/5

DianaCagothe
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Pour l'honneur de la reine – Honor Harrington 2 – David Weber

couverture-14961-weber-david-honor-harrington-pour-l-honneur-de-la-reineTitre Original : The Honor of the queen (Mais pourquoi avoir traduit le titre pour l’édition française ??)
Genre :
  
roman, space opéra, science-fiction, littérature américaine
Auteur : David Weber
Année :  1993
Nombre de pages : 496

Résumé : Cette fois-ci, David Weber emmène notre Honor de service pour une négociation plutôt politique d’un accord avec une planète à mi-chemin entre le royaume de Manticore et la république du Havre. Une fois lu le premier opus, on connaît les talents désastreux de la pauvre bichette en matière de ronds de jambe et là, ça n’est pas vraiment mieux. Heureusement, on a une bande de fanatiques religieux anti-meufs avec des vaisseaux spatiaux en bois qui lui font reprendre de ce qu’elle préfère : plier du vaisseau spatial.
L’auteur nous emmène dans une aventure rythmée comme Mission Basilic : la première moitié pour nous faire connaître les différentes factions et les rapports qu’elles entretiennent entre elles, le quart suivant, on goûte à de la bataille type planet-opéra et le quart suivant elle fait tout péter dans l’espace. Honor est tout aussi bien mise en scène et David nous fait presque tomber amoureux d’elle tellement elle est magique et on aimerait avoir un manager qui en a comme ça dans le pantalon.
Des messages absolument pas subliminaux sont transmis comme la place de la femme dans la société, dans les postes de direction et dans la religion. A mon avis, on ne peut qu’approuver son point du vue à moins d’être complètement arriéré, le bouquin a été écrit en 1993, il n’est donc quand même pas avant-gardiste sur les idées.
Ce que j’ai aimé : Honor !
Ce que je n’ai pas aimé : La première partie un peu longue, on attend impatiemment de faire la guerre plutôt que de la politique et c’est justement pour ça qu’on ouvre ce bouquin.
Note : 4/5

Tristan

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La Source Vive – Ayn Rand

bagde

La Source ViveTitre Original : The Fountainhead
Genre :
 
roman, littérature américaine, philosophie, politique
Auteur : Ayn Rand
Année :  1943
Nombre de pages : 686

Résumé : On est à New York dans les années 20, la ville change de visage et commence à s’élever dans les hauteurs. Le livre s’axe surtout au départ sur deux personnages, étudiants en architecture. Le premier est Howard Roark, un brillant étudiant, un génie visionnaire, mais dont les œuvres ne sont comprises que par peu de monde. Il est intransigeant et est capable de crever de faim pour ses idéaux. Le deuxième est Peter Keating, son camarade. Lui, il est bon mais pas top. Sa qualité principale est sa capacité à se frayer un chemin dans un monde de requins et il y arrive plutôt brillamment, ce qui fait qu’il gravit rapidement les échelons et devient très vite l’associé de Guy Francon, Le Top Of The Pops de l’architecture. La fille de ce dernier, Dominique, est une créature un peu surréaliste, adulée par tous mais comprise par personne. Elle est journaliste et tient une rubrique dans l’Etendard, la feuille de chou populaire du moment. Un de ses collègues, Ellsworth Toohey, est le chroniqueur star, communiste à souhait, qui ne croit qu’au collectivisme et à la collectivité. Dans les faits, c’est le manipulateur de l’histoire, il tire les ficelles de tout le monde pour toujours parvenir à ses fins. Leur Big Boss, c’est Gail Wynand, le patron de l’Etendard, qui est parti de rien du tout, mais qui est l’incarnation de l’American Dream et sa feuille de chou a un peu pouvoir de vie ou de mort sur tous.
L’action se déroule principalement entre ces personnages et leurs interactions, on passe une petite dizaine d’années à les voir monter et tomber ou vice-versa.

Ce que j’ai aimé : Ayn Rand s’est vraiment fait chier à nous décrire le petit monde tragique de l’architecture, avec ses grandes œuvres, ses habitations bon marché, ses marchés privés et publics. Bref, ce petit monde de requins.
Ce que je n’ai pas aimé : Les personnages sont vraiment trop stéréotypés et coincés dans leurs idéaux, ce qui les rend presque sans âme, alors qu’elle a voulu en faire des passionarias, chacun dans leur combat. Du coup, leurs interactions sont presque plates. Seul le personnage de Gail Wynand arrive bien à se sortir de tout ça, alors que finalement, c’est lui qui risquait de tomber le plus dans le stéréotype.
Ensuite, ce n’est pas super bien écrit. Et puis c’est long, mais alors looooong, comme un jour sans pain. Et pour un bouquin « philosophique », il y a un peu trop de place à la romance. D’ailleurs, la romance prend une place prépondérante dans le bouquin, avec ses bons gros moments de WTF : à un moment, deux persos se retrouvent après une très longue séparation, il la prend dans ses bras, et l’assoit sur ses genoux. A ce moment-là, tu te dis que ça va niquer (ça nique toujours dans les bouquins, quelle que soit l’époque) : eh ben nan, elle se laisse glisser par terre, pose sa tête sur ses genoux et ils se regardent, yeux dans les yeux. D’ailleurs, leur histoire commence par le fait qu’il la viole, et qu’elle aime ça -_-. Ayn Rand réussit à faire passer son message : le capitalisme nous viole tous et on aime ça…
Bref, les capitalistes y voient sûrement du génie dans cette œuvre; moi, je trouve que c’est largement oubliable.

Note : 2/5
DianaCagothe
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Snuff – Chuck Palahniuk

SnuffTitre Original : Snuff
Genre :
  roman, littérature américaine
, trash
Auteur : Chuck Palahniuk
Année :  2012
Nombre de pages : 210

Résumé : Au terme d’une longue carrière dans le porno, Cassie Wright décide de casser sa pipe et d’assurer une vie riche à l’enfant qu’elle a abandonné une vingtaine d’années plus tôt. Elle décide de battre le record du plus grand gang-bang, avec 600 acteurs professionnels ou pas, recrutés sur petite-annonce. Le roman se déroule le jour du tournage avec quelques flashbacks. L’histoire se déroule autour de Sheila, la régisseuse qui doit gérer tout ce petit monde-là; le n°600, vieil acteur porno, qui a été le partenaire de Cassie bien plus souvent à l’écran que dans la vie; le n°137, présentateur télé déchu, qui est là pour (se) prouver sa sexualité; enfin, le n°72, un petit jeune persuadé d’être l’enfant abandonné de Cassie Wright. Pendant qu’ils attendent leur tour de passer dans la pièce où se déroule le tournage, on apprend ce qui les a amené ici et les espoirs qu’ils mettent dans ce tournage.

Ce que j’ai aimé : Le roman se déroule successivement autour des yeux de ces trois acteurs et de la régisseuse. On a donc plusieurs styles d’écriture, de pensée. Ça se lit également très vite.
Ce que je n’ai pas aimé : Des fois, on s’ennuie un peu dans cette pièce. Sinon, dans les transports, les gens jettent parfois des oeillades chelous à la couv’, mais c’est marrant.

Note : 3/5

DianaCagothe