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Voyage au bout de la nuit – Louis-Ferninand Céline

Voyage au bout de la nuitGenre :  roman, drame, classique, littérature française
Auteur : Louis-Ferninand Céline
Année :  1932
Nombre de pages : 505

Résumé : Drôle de choix chez mon libraire : entre ceux qui ont entendu parlé de ce roman au Lycée (et donc « ça doit être chiant! ») ou ceux qui jugent de la personnalité un peu rêche de l’auteur, mon a priori n’était pas très favorable. Heureusement, une amie de bon conseil me l’a formellement indiqué.
Comme son titre l’indique, le roman est un récit de voyage .Ferdinand Bardamu vous entraine dans un parcours initiatique… entre l’Afrique, l’Amérique et la vieille Europe, mais surtout sociale (de la misère au luxe) et au final, en réalité, un voyage à travers la vie. Dans ce roman, toutes les caractéristiques du roman picaresque sont présentes : on explore avec le héros les bas-fonds, la misère et le luxe teintés d’une certaine vision pessimiste du monde.
Par contre, le livre est au-delà de ce que l’on peut attendre. Le style est moderne et percutant : pour ceux qui ont suivi mes fiches de lecture, on est proche d’un Hubert Selby Junior…. avec 30 ans d’avance ! Quant à l’ambiance générale, le cynisme rode. L’humour est teinté d’une sorte de fatalité. On écrase parfois un rire amer…
– Je vous en prie, venez vite Docteur ! Elle est tombée au bas des escaliers et s’est fracturée un os de la tête… « tout va bien ! », que je me suis dit en moi-même en entendant cette belle histoire. J’étais fixé. J’ai filé tout droit vers la gare : ouf ! je l’ai eu mon train de sept heure quinze. On ne s’est pas fait d’adieu.


Ce que j’ai aimé : Le réalisme prenant et le style si particulier font vraiment de ce livre un incontournable. Tout à la fois « grand classique » et empreint d’une modernité très actuelle. J’étais loin de me douter qu’un auteur aussi universitaire que L.F. Céline pouvait donner autant de frisson et de paires de gifles. A conseiller à ceux qui aiment la littérature contemporaine bien plus qu’à ceux qui recherche un roman classique à la Balzac.
Ce que je n’ai pas aimé : Il faut le dire, même si j’ai bien vendu l’article, le roman s’adresse quand même à un niveau de lecture « confirmé » voir « expert ». C’est assez touffu, parfois un peu erratique, choquant… et souvent très sombre.

Note : 4,5/5
TheSeb
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A Table Avec Les Veufs Noirs – Les Veufs Noirs 4 – Isaac Asimov

A table avec les veufs noirsTitre Original : Banquets of the Black Widowers
Genre :
 
nouvelles, polar, littérature américaine
Auteur : Isaac Asimov
Année :  1984
Nombre de pages : 320

Résumé : Bon, ben c’est le troisième volume des Veufs Noirs que je chronique ici. Si tu n’as pas suivi, c’est que tu es à la ramasse, ou que tu ne sais pas te servir de tes flux RSS (je peux te filer un coup de main dans ce cas) ou enfin que c’est la première fois que tu déboules dans nos WC.
Pas grave, dans un accès de sympathie inconsidéré, je vais te refaire un mini-débrief. Les Veufs Noirs, c’est une bande de potes (enfin je crois, parce qu’ils n’arrêtent pas de s’en envoyer plein la tronche), ils se voient une fois par mois au resto. Et ils s’en paient une bonne tranche sur la tronche de leur invité pas si surprise que ça. Comme d’hab, il y a toujours un mystérieux mystère à résoudre et c’est le serveur, Henry, qui trouve toujours la solution.

Ce que j’ai aimé : Comme dit dans les précédents épisodes, Asimov est vraiment un artiste à nous amuser avec des variations autour du même thème. Toujours le même squelette, c’est la cerise sur le gâteau qui change.
Ce que je n’ai pas aimé : Ca en devient presque un peu lassant. La pause s’impose.

Note : 4/5

DianaCagothe
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Cent Ans de Solitude – Gabriel García Márquez

 

Cent Ans De SolitudeTitre Original : Cien años de soledad
Genre :
 
roman, historique, fantastique, littérature colombienne
Auteur : Gabriel García Márquez
Année :  1969
Nombre de pages : Plein dans la version de poche (NDLR: officiellement 437)

Résumé : C’est l’histoire de la famille Buendia qui vit dans le village imaginaire de Macondo, inspiré du village natal de l’auteur en Colombie. Dans la famille, les hommes s’appellent Jose Arcadio ou Aureliano et les femmes Ursula, Amaranta ou Remedios. On suit la famille sur six générations, depuis la formation du village par Jose Arcadio et sa femme Ursula, jusqu’au sort du dernier Aureliano… Toute l’histoire se passe à Macondo, mais on ne s’ennuie pas. Ce roman alterne des histoires inspirées de la vraie vie (guerre révolutionnaire, politique, secrets de famille…) et des éléments fantastiques (les tapis volants des gitans entre autres…) et se termine par un dénouement un peu fou qui explique le titre du livre…

Ce que j’ai aimé : Tous les éléments sont réunis pour produire une histoire exaltante: sexe, mensonges, secrets de famille, aventures, fantastique … et une fin parfaite! J’ai aimé que l’histoire se passe sur plusieurs générations, un peu dans le style de la série de Rougon-Macquart de Zola…
Ce que je n’ai pas aimé : Mais avec 22 Aureliano, et 5 Jose Arcadio, on se mélange un peu les pinceaux.

Note : 5/5
DrTomate
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Retour au Club des Veufs Noirs – Les Veufs Noirs 2 – Isaac Asimov

Retour au Club des Veufs NoirsTitre Original : More Tales of the Black Widowers
Genre : 
nouvelles, polar, littérature américaine
Auteur : Isaac Asimov
Année :  1989
Nombre de pages : 316

Résumé : Au cas où tu sois dans un monde parallèle, c’est la suite de ma dernière chronique. Donc on récapitule : une fois par mois, une bande de potes se retrouve dans un resto. Les règles :
* pas de gonzesses (faut pas déconner),
* chacun son tour, on ramène un invité qui se fera cuisiner en fin de repas,
* être membre du club te vaut l’attribution du titre « Docteur ». Si tu es déjà docteur, tu deviens docteur docteur.
Toutes les nouvelles suivent invariablement le même schéma : tout le monde s’envoie des mots doux à la tête, on passe au brandy et on pose la fatidique question à l’invité : « comment justifiez-vous votre existence? ». Suite à cela, les Veufs Noirs arrivent toujours à trouver quelque chose qui turlupine l’invité, en général une énigme (quand ce n’est pas carrément le but de l’invitation). Tout le monde commence à tergiverser, mais invariablement, ce sera Henry, le serveur qui trouvera la solution.
Ce que j’ai aimé : Le deuxième tome, c’est comme le premier, je ne l’ai pas vu passer.
Ce que je n’ai pas aimé : Ca commence à en faire des nouvelles à ingurgiter.

Note : 4/5

DianaCagothe
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Fondation – Fondation 3 – Isaac Asimov

FondationTitre Original : Foundation
Genre :
 
nouvelles, science-fiction, littérature américaine
Auteur : Isaac Asimov
Année :  1951
Nombre de pages : 236

Résumé : Alors, pour commencer, on va expliquer pourquoi je commence par le volume 3 d’un cycle. C’est le premier à avoir été écrit, tout simplement. Le before a été écrit bien après, donc j’ai décidé de faire une lecture chronologique du cycle.
Maintenant que les choses sont claires, ce sont des nouvelles mais qui suivent un fil conducteur historique. On est bien loin dans le futur, les hommes ont colonisé moult planètes pour former l’Empire Galactique avec sa super planète-capitale : Trantor. Hari Seldon, un super-mathématicien-statisticien fonde une nouvelle discipline : la psychohistoire. En gros, c’est de la voyance qui s’appuie de la statistique. Le gars, il prévoit donc l’effondrement imminent de l’Empire. Il réussit donc à les convaincre que la chute ne peut pas être stoppée, mais qu’il faut faire une planète avec moult cerveaux qui compilera tous les savoirs dans l’Encyclopaedia Galactica. On l’envoie lui et ses acolytes sur Terminus, qui porte bien son nom : un caillou au fin fond de la périphérie. Seldon, pas con pour un sou, fait une colonie parallèle à l’autre bout : Star’s End.
Petit à petit, l’Empire se délite effectivement et Terminus, sans protection impériale, doit commencer à se débrouiller. Les nouvelles racontent successivement plusieurs ères des encyclopédistes et comment ils se débrouillent pour que leur but perdure.

Ce que j’ai aimé : C’est un classique incontournable de la science-fiction. J’adore comment Asimov imaginait l’avenir, mais de manière tellement empreinte du XXe siècle.
Ce que je n’ai pas aimé : J’aurais aimé passer un peu plus de temps avec Hari Seldon.

Note : 5/5

DianaCagothe
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Cordelia Vorkosigan – Vorkosigan 1 – Lois McMaster Bujold

cordeliavorkosiganTitre Original : Shards of Honor
Genre :
  
roman, science-fiction, space opéra, littérature américaine
Auteur : Lois McMaster Bujold
Année :  1994
Nombre de pages : 320

Résumé : Toujours dans mon trip space op militaire, je farfouille une fois de plus chez mon libraire qui ne se lasse pas de me voir l’enrichir et je tombe (ouille) sur la saga Vorkosigan. Je lis le pitch, ça à l’air pas trop mal, bon je le prends.
C’est histoire d’un type commandant militaire que Lois McMaster Bujold fait passer pour un vieux crouton. Précision : il a 40 ans, merci donc Lois, j’avais déjà l’impression d’avoir un certain age, maintenant grâce à toi, en plus je suis un vieux crouton. Donc, le « vieux » rencontre Cordélia – son pendant militaire mais chez la faction ennemie – et la fait plus ou moins prisonnière pour traverser une forêt hostile sur une planète inhabitée très lointaine. Bon an mal an, ils se croisent et se décroisent sur fond de guerre interstellaire et de conflit politique. Les deux militaires deviennent progressivement deux tourtereaux tout mignons avec du je t’aime moi non plus à tire larigot.
Les combats spatiaux sont bons bien qu’en dessous de ceux de Honor Harrington ou de la flotte perdue mais le problème est qu’on se sait pas vraiment pourquoi ils se battent. Les motifs politiques tiennent en peu de pages et sont trop compliqués (ou mal expliqués ?). L’immersion du lecteur dans les scènes d’action est donc difficile.
Point de space opéra militaire ici en fait, les grands thèmes du genre ne sont pas abordés : ni management des armées, ni les stratégies militaires, c’est donc uniquement un space op d’une histoire d’amour entre deux militaires de deux factions différentes. J’ai donc mal pioché, mon libraire sera alors pendu haut et court ou guillotiné et pas de suite pour moi sur cette saga.
Ce que j’ai aimé : Les personnalités des deux tourtereaux bien retranscrite et crédible.
Ce que je n’ai pas aimé : L’intrigue politique de fond trop compliquée qui perd le lecteur dans les scènes d’action.

Note : 2/5

Tristan

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Le Club des Veufs Noirs – Les Veufs Noirs 1 – Isaac Asimov

Le Club des Veufs NoirsTitre Original : Tales of the Black Widowers
Genre : 
nouvelles, polar, littérature américaine
Auteur : Isaac Asimov
Année :  1989
Nombre de pages : 223

Résumé : Une fois par mois, une bande de potes se retrouve dans un resto. Les règles :
* pas de gonzesses (faut pas déconner),
* chacun son tour, on ramène un invité qui se fera cuisiner en fin de repas,
* être membre du club te vaut l’attribution du titre « Docteur ». Si tu es déjà docteur, tu deviens docteur docteur.
Toutes les nouvelles suivent invariablement le même schéma : tout le monde s’envoie des mots doux à la tête, on passe au brandy et on pose la fatidique question à l’invité : « comment justifiez-vous votre existence? ». Suite à cela, les Veufs Noirs arrivent toujours à trouver quelque chose qui turlupine l’invité, en général une énigme (quand ce n’est pas carrément le but de l’invitation). Tout le monde commence à tergiverser, mais invariablement, ce sera Henry, le serveur qui trouvera la solution.
Ce que j’ai aimé : Même si toutes les nouvelles sont construites sur le même schéma, chacun d’elles est un vrai petit plaisir, on ne s’ennuie jamais. Chaque nouvelle est également ponctué par une remise en situation par l’auteur, et c’est très sympa. C’est ma lecture avant dodo du moment, une nouvelle et hop, Morphée! En plus c’est assez marrant de voir Asimov dans un autre registre que la SF : même si ce n’est pas de la grande littérature, ça se lit bien!
Ce que je n’ai pas aimé : Rien.

Note : 5/5

DianaCagothe
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Les Particules Elementaires – Michel Houellebecq

 

Les particules élémentairesGenre :  roman, littérature françaisebagde
Auteur : Michel Houellebecq
Année :  1998
Nombre de pages : 316

Résumé : Fin des années 60, Jane a deux fils de deux pères différents. Mais elle est trop baba new age pour se laisser bercer par quelque chose d’aussi conventionnel que la maternité. Les deux pères récupèrent les enfants et les font élever par leurs grands-mères respectives, en mode vieille France. Michel et Bruno grandissent alors chacun de leur côté, en ignorant tout de l’autre. Au lycée, coïncidence, ils finissent par se retrouver.
Michel, se lie d’amitié avec la belle Annabelle, mais comme il est incapable de ressentir quelque chose, il passera à côté d’elle. Son cœur vide l’emmènera tout de même à faire une grande carrière scientifique. Quant à Bruno, il sera en permanence en quête du Nirvana sexuel, mais à être un pitoyable raté. Jusqu’à ce qu’il trouve Christiane, qui lui donnera quand même un peu de bonheur, avant de sombrer dans la folie.

Ce que j’ai aimé : Ce livre aborde quelque chose qui est peu évoqué, la misère sentimentale et sexuelle. On l’adore ou on le déteste, cette œuvre a fait scandale lors de sa sortie, je ne sais plus très bien pourquoi.Je l’avais lu à l’époque, et il m’avait beaucoup parlé. Dans notre société qui valorise tellement l’épanouissement dans ces deux domaines, si tu ne rentres pas dans le moule, tu es culpabilisé, mais peu de choses l’évoquent. Que celui qui est célib’ et qui ne zone pas sur les sites de rencontres me jette la première pierre. Presque quinze ans plus tard, je pensais avoir un regard différent sur ce livre, mais pas du tout. J’ai mûri, et ça me fait encore plus de bien de voir que quelqu’un ait abordé ces thèmes, surtout qu’avec l’âge, j’ai découvert que je n’avais pas été la seule dans ce cas.
Et puis c’est « so fin de siècle », la génération désenchantée, fille des soixante-huitards, qui a gagné de nouveaux droits et de nouvelles libertés mais qui doit reconstruire ses repères : « Les enfants, quant à eux, étaient la transmission d’un état, de règles et d’un patrimoine. C’était bien entendu le cas dans les couches féodales, mais aussi chez les commerçants, les paysans, les artisans, dans toutes les classes de la société en fait. Aujourd’hui, tout cela n’existe plus : je suis salarié, je suis locataire, je n’ai rien à transmettre à mon fils. Je n’ai aucun métier à lui apprendre, je ne sais même pas ce qu’il pourra faire plus tard ; les règles que j’ai connues ne seront de toute façon plus valables pour lui, il vivra dans un autre univers. Accepter l’idéologie du changement continuel c’est accepter que la vie d’un homme soit strictement réduite à son existence. » Voilà, ça nous renvoie bien à la vacuité de notre existence. On fait ce qu’on peut pour être heureux, et puis c’est tout, mais c’est aussi un droit à être malheureux.
Ce que je n’ai pas aimé : Rien, je l’ai ingurgité en trois jours.

Note : 5/5
DianaCagothe
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Pour l'honneur de la reine – Honor Harrington 2 – David Weber

couverture-14961-weber-david-honor-harrington-pour-l-honneur-de-la-reineTitre Original : The Honor of the queen (Mais pourquoi avoir traduit le titre pour l’édition française ??)
Genre :
  
roman, space opéra, science-fiction, littérature américaine
Auteur : David Weber
Année :  1993
Nombre de pages : 496

Résumé : Cette fois-ci, David Weber emmène notre Honor de service pour une négociation plutôt politique d’un accord avec une planète à mi-chemin entre le royaume de Manticore et la république du Havre. Une fois lu le premier opus, on connaît les talents désastreux de la pauvre bichette en matière de ronds de jambe et là, ça n’est pas vraiment mieux. Heureusement, on a une bande de fanatiques religieux anti-meufs avec des vaisseaux spatiaux en bois qui lui font reprendre de ce qu’elle préfère : plier du vaisseau spatial.
L’auteur nous emmène dans une aventure rythmée comme Mission Basilic : la première moitié pour nous faire connaître les différentes factions et les rapports qu’elles entretiennent entre elles, le quart suivant, on goûte à de la bataille type planet-opéra et le quart suivant elle fait tout péter dans l’espace. Honor est tout aussi bien mise en scène et David nous fait presque tomber amoureux d’elle tellement elle est magique et on aimerait avoir un manager qui en a comme ça dans le pantalon.
Des messages absolument pas subliminaux sont transmis comme la place de la femme dans la société, dans les postes de direction et dans la religion. A mon avis, on ne peut qu’approuver son point du vue à moins d’être complètement arriéré, le bouquin a été écrit en 1993, il n’est donc quand même pas avant-gardiste sur les idées.
Ce que j’ai aimé : Honor !
Ce que je n’ai pas aimé : La première partie un peu longue, on attend impatiemment de faire la guerre plutôt que de la politique et c’est justement pour ça qu’on ouvre ce bouquin.
Note : 4/5

Tristan

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Soie – Alessandro Baricco

SoieTitre Original : Seta
Genre : 
roman, littérature italienne, romance
Auteur : Alessandro Baricco
Année :  1996
Nombre de pages : 142

Résumé : L’histoire se passe en 1861. Hervé Joncour voyage souvent de l’autre côté de la Méditerranée pour se procurer des œufs sains afin d’alimenter les filatures de soie de Lavilledieu.
Une maladie décime hélas les élevages et il faut aller s’en procurer un peu plus loin. Ca tombe bien, le Japon commence un peu à s’ouvrir commercialement parlant. Les filatures de Lavilledieu financent alors une première expédition pour Joncour. Là-bas, il noue un partenariat avec Hara Kei. Mais il tombe amoureux de sa femme (maitresse?), une orientale qui n’a pas les yeux en amande.
Ce que j’ai aimé : Ca se lit vite (en deux bains, je dirais). Le bouquin est plein de belles images romantiques et romanesques.
Ce que je n’ai pas aimé : Je pense que l’auteur a clairement travaillé son bouquin pour que celui-ci en devienne un film. Bien qu’il y ait peu de dialogues, on a l’impression de lire un scénario, tellement tu dis « ah ouais! Ca, ça ferait un beau plan dans un film ». Et puis moi j’aime bien les livres qui durent longtemps. Dans le même genre, j’avais préféré Geisha, d’Arthur Golden. Là, tu as à peine le temps de t’attacher aux personnages que le bouquin est déjà fini.

Note : 2/5

DianaCagothe