Catégories
Livre

Cinder – Chroniques Lunaires 1 – Marissa Meyer

 

CinderTitre Original : Cinder
Genre :
 
roman, science-fiction, dystopie, jeunesse, littérature américaine
Auteur : Marissa Meyer
Année :  2013
Nombre de pages : 412

Résumé : Cinder, c’est une cyborg adoptée. Son papa étant décédé, elle se tape sa vilaine belle-mère, Adri, et ses deux demi-soeurs, même si la petite, Peony, est sympa. Son job, c’est la mécanique, elle répare tout et n’importe quoi. C’est pourquoi, un jour, déboule à son atelier le prince Kai : son robot de compagnie Nainsi (sic!) doit être réparé. Evidemment, ils se kiffent à mort, mais c’est une histoire d’amour impossible. D’une parce qu’elle est cyborg, donc sous-humaine, et que lui, il va devoir se farcir la reine Levana, la dirigeante de la Lune, pour épargner à la Terre d’atroces souffrances, soit à cause d’une cinquième guerre mondiale, soit parce que l’humanité aura été décimée par la létumose, une néo-peste. Et puis bon, l’adversité fait que Cinder va en découvrir, des vertes et des pas mûres, sur ses propres origines.

Ce que j’ai aimé : C’est une Cendrillon revisitée de manière assez marrante. Évidemment, ça se lit vite, parce que c’est pour les « djeuns ». Je croyais que ça allait moins tenir la route que ça.
Ce que je n’ai pas aimé : C’est ma première immersion dans la littérature « Young Adult » qui marche du tonnerre ces dernières années et je trouve que cette qualification est un peu abusive, parce que je classe vraiment ce roman dans la catégorie jeunesse, et est tout à fait adapté à votre ado, limite votre pré-ado. La vieille bique que je suis ne continuera sans doute pas cette saga, sauf évidemment si ça me tombe entre les mains, mais certainement pas au prix fort.

NDLR : Je remercie vivement Moody du blog Take A Book et les éditions Pocket Jeunesse pour m’avoir fait gagner ce bouquin.
Note : 3/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

22/11/63 – Stephen King

 

221163Titre Original : 11/22/63
Genre :
 
roman, fantastique, littérature américaine
Auteur : Stephen King
Année :  2011
Nombre de pages : 930

Résumé : Jack, un petit prof d’anglais, vit une vie pépère de prof d’anglais, divorcé d’une alcoolo, mais avec son con de chat. Pour arrondir ses fins de mois, il file des cours du soir. Il aime enseigner, bien sûr, mais ce cours ne le transcende pas vraiment. Jusqu’à ce qu’il lise les copies d’une rédac dont le sujet était de raconter le jour qui avait changé votre vie. Harry, le concierge du lycée, boiteux et n’ayant pas un esprit trop fulgurant, y raconte comment son père a déboulé un soir à la maison, a buté sa mère, ses deux frères et sa sœurn avec un marteau et comment il l’a salement amoché. Forcément, Jack, qui ne reverra jamais une copie comme ça, lui met la meilleure note. A la remise de diplômes, pour fêter ça, Jack paie un petit repas à George dans la gargote déserte où il a ses habitudes.
Le lendemain, Jack reçoit un coup de fil d’Al, le patron de la baraque à frites qui lui demande de venir tout de suite. Le cuistot, qui allait très bien la veille, a prix dix ans dans la nuit. Il a un cancer du poumon, et ses jours sont comptés. Mais avant de se retrouver de l’autre côté, Al confie à Jack l’existence d’une faille temporelle dans sa remise qui renvoie toujours à la même date, en 1958. Dans l’autre sens, quel que soit le temps resté dans le passé, le retour en 2011 se fait systématiquement deux minutes plus tard et chaque voyage remet les compteurs à zéro. Al a essayé de rester cinq ans dans le passé pour empêcher l’assassinat de Kennedy avant que ce foutu crabe ne le choppe. Ce n’est pas un hasard, le passé ne tient pas trop à être modifié.
Jack décide de la jouer petit pour commencer en essayant de sauver Harry, le concierge, de cette folle nuit d’Halloween 1958. Il foire à moitié son coup mais après son retour en 2011, il y retourne, pour sauver Harry et Kennedy, pour terminer le travail d’Al.
Le roman est composé de trois grosses parties qui s’imbriquent les unes dans les autres : le départ, que je vous ai résumé ci-dessus, les cinq ans à tirer avant l’attentat, où King nous dépeint de manière assez réaliste la société de cette époque, les difficultés d’un homme du XXIe siècle à s’y adapter, et la dernière partie consistant en la traque de Lee Harvey Oswald.
Ce que j’ai aimé : Pfiou, ça a été dur de refermer la dernière page, parce que ça veut dire que ça se termine. J’ai aimé le retour de George Amberson, le pseudo de Jack dans le passé, à Derry. Georgie à Derry, ça ne vous rappelle rien? Un indice : « Viens, tout le monde flotte ici... »
Bon, au départ, je n’étais pas très emballée par le sujet. Ici en France, l’assassinat de Kennedy ne revêt pas l’importance qu’il a de l’autre côté de l’Atlantique et on ne fantasme plus dessus depuis longtemps; d’autres « théories du complot » ont coulé sous les ponts depuis longtemps. Pourtant, le bouquin fait l’objet d’une très bonne documentation, et le côté historique passe sans qu’on s’en rende compte, si ce n’est le côté moite et poisseux volontairement instillé par King.
Le vrai bon truc du roman, c’est le côté « Feel Good » des cinq ans vécus par Jack/George. Même s’il garde un côté lucide sur cette époque qui n’était pas si reluisante que ça, on s’y sent quand même bien avec lui, à vivre ses petites  aventures et sa grande histoire d’amour.
Un autre truc vraiment bon, c’est comment King joue avec l’effet papillon.
Bref, je n’ai pas pu décrocher du bouquin, et je vous parle en direct de ma nuit blanche, parce qu’il fallait que je termine mes 300 dernières pages absolument. Et si comme moi, vous le lisez, n’hésitez pas à prolonger le plaisir sur le site oueb qui est vraiment très bien, mais qui spoile un peu.
Ce que je n’ai pas aimé : Ça va être dur de commencer un autre livre maintenant.

Note : 5/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

Le Salaire de la Peur – Georges Arnaud

Le salaire de la peurGenre :  roman, aventures, littérature française
Auteur : Georges Arnaud
Année :  1949
Nombre de pages : 186

Résumé : Au Guatemala, les ricains exploitent les locaux pour pomper tout le pétrole qu’ils peuvent. Forcément, de nombreux hommes viennent de ce côté du Pacifique, une nouvelle ruée vers l’or, mais noir cette fois-ci.
Après un énième incident de forage et de nombreux morts, un incendie se déclare dans le puits de pétrole. Pour l’éteindre, il va falloir tout faire péter à la nitroglycérine.
Évidemment, acheminer cette matière si sensible à tout ne va pas être une mince affaire, surtout que le coin ne comporte pas vraiment d’autoroutes longilignes sans nids de poules.
La compagnie pétrolière va faire convoyer deux chargements et payer à prix d’or quatre hommes pour cette mission quasiment vouée à l’échec, car la moindre ornière, le moindre caillou, où le moindre rayon de soleil tapant trop fort peut te transformer en chair à pâté.
Ce que j’ai aimé : Vivre dans une cabine, fumer des clopes et boire du café avec les chauffeurs. Hit the road Jack! Et puis ça sent le bonhomme tout ça, de la sueur et de la virilité.
Ce que je n’ai pas aimé : J’ai eu un peu de mal à accrocher, surtout que ça démarre vraiment à la moitié du bouquin. Les personnages sont un peu trop stéréotypés, et le scénario est un peu trop téléphoné, surtout la fin.

Note : 2/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

L'Encyclopédie de la Fantasy – Jacques Baudou

 

L'encyclopédie de la fantasyGenre :  encyclopédie, fantasy
Auteur : Jacques Baudou
Année :  2009
Nombre de pages : 175

Résumé : Jacques Baudou nous parle des origines de la fantasy, des contes populaires en passant par Lewis Carroll et son Alice au Pays des Merveilles. Il fait une part belle à l’oeuvre de J.R.R. Tolkien puis nous décrit les divers genres de fantasy : héroïque, épique, arthurienne, humoristique, urbaine… L’ouvrage accorde un dernier chapitre aux jeux sous toutes leurs formes.

Ce que j’ai aimé : Ça parle de fantasy, un de mes genres chouchous en littérature.
Ce que je n’ai pas aimé : L’auteur spoile sans hésiter les œuvres dont il parle, ce qui est très dommage, parce que si tu acquiers ce genre d’ouvrages, c’est pour élargir tes horizons, entre autres. Cela manque également de profondeur. Baudou dresse une sorte de catalogue, surtout d’œuvres archi-connues du grand public. J’aurais aimé qu’il sorte un peu des sentiers battus. D’autre part, il s’agit surtout d’une encyclopédie de la littérature. Le cinéma, les jeux de rôle et de plateau, la bande dessinée et l’illustration, qui sont les principaux médias vecteurs de ce genre aujourd’hui, sont survolés. Bref, une encyclopédie qui n’en a que le nom.

Note : 1/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

Pontesprit – Joe Haldeman

 

PontespritTitre Original : Mindbridge
Genre :
 
roman, science-fiction, militaire, space opéra, littérature américaine
Auteur : Joe Haldeman
Année :  1976
Nombre de pages : 296

Résumé : Dans le courant du XXIe siècle, on découvre un cristal qui permet la téléportation. Enfin de manière temporaire, puisque les objets et gens reviennent systématiquement à leur lieu d’origine au bout d’un certain temps.
Ce cristal, une fois maîtrisé, permet de commencer pour de vrai l’exploration spatiale. Jacque Lefavre, suisse-allemand, mi-brute, mi-surdoué, deviendra un de ces explorateurs, nommé maîtriseurs. Lors d’une de ses expéditions, Jacque et ses collègues découvrent une bestiole qui, tue la première personne qui la touche, mais qui permet un contact télépathique entre les suivants qui entrent en contact. Les humains se serviront de cette bestiole pour tenter de communiquer avec une autre espèce intelligente qu’ils découvriront plus tard, mais qui est très, très méchante.

Ce que j’ai aimé : La construction du roman, émaillée de tableaux, rapports, graphiques. C’est très original.
Ce que je n’ai pas aimé : L’omniprésence de tableaux, rapports, graphiques. C’est marrant au départ, mais ils sont vraiment trop nombreux, on s’en lasse vite. Surtout que ça prend vachement de place par rapport à l’histoire. J’ai aussi détesté la quatrième de couverture, qui spoile complètement la fin du livre dès la première phrase. Du coup, j’ai trouvé que ça mettait vachement de temps à démarrer. Bref, je me suis vraiment ennuyée, surtout que j’avais bien aimé auparavant le même auteur avec Rêves Infinis.

Note : 1/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

2010 : Odyssée deux – Les Odyssées de l'Espace 2 – Arthur C. Clarke

2010 Odyssée deuxTitre Original : 2010, Odyssey Two
Genre :
 
roman, science-fiction, littérature anglaise
Auteur : Arthur C. Clarke
Année :  1983
Nombre de pages : 279

Résumé : Pas facile de faire un résumé sans spoiler le volume 1. Bref, neuf ans plus tard après le pétage de plombs de Hal 2000, le super ordi, on décide d’organiser une expédition pour analyser le vaisseau Discovery et en savoir un peu plus sur AMT-2. Les Russes et les Amerloques travaillent de concert pour construire le Leonov. Parmi les membres de l’équipage, on retrouve Heywood Floyd, un des gars qui était là le jour où on a déterré AMT-1. Au bout de quelques temps de voyage, le Leonov se fait doubler par les Chinois, qui eux aussi ont construit un super vaisseau.

Ce que j’ai aimé : Les paysages. Franchement, je ne regarderai jamais plus le ciel de la même façon. Clarke arrive à me faire voir Jupiter et ses satellites. Le livre se lit également très rapidement et d’une traite. On ne quitte pas le Leonov.
Ce que je n’ai pas aimé : La fin est un peu, comment dire… What the fuck? Mais ça ne m’empêchera pas de me plonger avec plaisir dans le volume 3.

Note : 4/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

Brûlons tous ces punks pour l'amour des elfes – Julien Campredon

Brûlons tous ces punks pour l'amour des elfesGenre :  nouvelles, littérature française, fantastique, humour
Auteur : Julien Campredon
Année :  2011
Nombre de pages : 157

Résumé : Il y a neuf nouvelles dans cette œuvre, toutes plus folles les unes que les autres. La nouvelle qui donne son titre à l’ouvrage, raconte comment un musée se retrouve en état de siège tous les soirs, assailli par des hordes de punks. On a aussi l’histoire d’un arbre qui se venge d’avoir été maltraité, l’histoire d’une branleuse espagnole ou encore d’un vieux sénateur ariégeois statufié.

Ce que j’ai aimé : Au départ, j’ai été très très très emballée. Il faut dire que le titre m’avait accrochée comme une malade. Les premières nouvelles, je les ai dévorées et je me suis laissée emporter dans les univers un peu, comme celui du docker qui répond à l’appel des sirènes. Le livre est complètement fou. C’était presque devenu un livre à diffuser dans mon entourage. Ca se lit très vite.
Ce que je n’ai pas aimé : Si j’ai été super enthousiaste au début, il faut dire que vers la moitié, j’ai commencé à me lasser, à avoir un peu plus de mal à rentrer dans chaque nouvelle. C’est un peu trop n’importe quoi, et on a l’impression que l’auteur sèche un peu en terme d’inspiration. A force de vouloir nous faire perdre pied avec la réalité, on finit par s’y casser la gueule.

Note : 2/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

Le Livre des Livres Erotiques – Emmanuel Pierrat

 

Le livre des livres érotiquesGenre :  bibliographie, littérature érotique, encyclopédie
Auteur : Emmanuel Pierrat
Année :  2011
Nombre de pages : 192

Résumé : L’auteur nous propose ici une sorte de recensement de livres et œuvres érotiques, illustrée par de nombreuses gravures et autres dessins. Il nous vide un peu de sa bibliothèque qui « met le rose aux joues » et partage avec nous le contexte de rédaction et de vie de ces ouvrages.

Ce que j’ai aimé : A travers de nombreuses anecdotes, on apprend comment les auteurs et éditeurs ont déjoué la censure pour faire survivre cette littérature. Les illustrations sont également magnifiques.
Ce que je n’ai pas aimé : On nous a promis ça « Parmi ces objets de «curiosité», certains sont bien connus des spécialistes, d’autres présentent des gravures rarissimes, voire des feuillets et des aquarelles totalement inédits. Le but recherché n’est ni l’exhaustivité, ni l’ennui que subiraient tant les profanes que les initiés à une énième bibliographie. Le Livre des livres érotiques n’est pas une leçon scientifique assommante sur l’histoire des fameux curiosa. Il s’agit en revanche d’un parcours distrayant, à l’érudition joyeuse et pétillante, sous les jupons du «second rayon». » Je trouve que c’est un peu raté, le livre ne se lit pas, il se feuillette avec parcimonie, sinon on y s’y fait vite chier.

Note : 2/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

2001, l'Odyssée de l'Espace – Les Odyssées de l'Espace 1 – Arthur C. Clarke

2001, l'Odyssée de l'EspaceTitre Original : 2001, A Space Odyssey
Genre :
 
roman, science-fiction, littérature anglaise
Auteur : Arthur C. Clarke
Année :  1968
Nombre de pages : 192

Résumé : C’est à peu près la période de la Guerre du feu. Des homo quelques choses tentent de survivre. Un soir, un gros bloc noir déboule d’on-ne-sait-où et commence à leur apprendre des techniques de chasse, comment utiliser des outils, etc. Avant de se casser définitivement.
Ensuite, de nos jours, on trouve une anomalie magnétique sur la lune, AMT-1. On va voir, on creuse et hop, on déterre un gros bloc noir. Le machin envoie un signal à l’autre bout du système solaire et se tait à jamais. On réussit à voir la destination du signal, donc il faut bien aller voir.
Hop hop, une fois le vaisseau pour aller sur Jupiter construit, on y met cinq bonhommes dont trois en hibernation, et un super ordi pour gérer tout ça. Le problème c’est que l’ordi va commencer à péter les plombs pendant le voyage…
Ce que j’ai aimé : Ca se lit hyper vite, le gros bloc noir nous hypnotise, on a envie de savoir ce que c’est. Donc on ne décroche pas. Impossible de ne pas avoir en tête le film de Kubrick, puisque les deux oeuvres ont été réalisées conjointement, ainsi que Strauss qui joue en boucle. Un classique à lire absolument.
Ce que je n’ai pas aimé : Pas grand chose, si ce n’est une fin un peu mystérieuse qui ne donne qu’une envie, attaquer la suite.

Note : 5/5
DianaCagothe
Catégories
Livre

Le Problème Spinoza – Irvin D. Yalom

 

le problème spinozaTitre Original : The Spinoza Problem
Genre :
 
roman, littérature américaine, historique, philosophie
Auteur : Irvin D. Yalom
Année :  2014
Nombre de pages : 544

Résumé : Yalom fait se croiser deux destins, celui de Spinoza, inventeur d’une éthique de la joie au 17eme siècle, et celui d’Alfred Rosenberg, nazi qui joué un rôle décisif dans l’extermination des juifs. Leur lien ? Spinoza était juif, mais excommunié (à une époque où c’était tout sauf symbolique). Il a eu une grande influence sur des générations de penseurs et en particulier sur Goethe, auteur particulièrement apprécié des nazis en général, et de Rosenberg en particulier. Le jour où il découvre cela, encore jeune homme, Rosenberg est ébranlé. Il cherchera tout sa vie à résoudre « le problème Spinoza ». A savoir, comment un grand penseur tel que Goethe a pu admirer un juif ?

Ce que j’ai aimé : J’ai aimé le style toujours alerte et vivant de Yalom, son érudition historique, sa précision et sa justesse dans la description des mécanismes psychologiques (pour ceux qui ne connaissent pas Yalom, c’est un psychiatre américain qui s’est fait une spécialité d’écrire des romans à la fois psychologiques et philosophiques. Dit comme ça, ça a l’air chiant, mais c’est le plus souvent drôle et enlevé), la découverte très vivante de la société d’Amsterdam du 17eme siècle.
Ce que je n’ai pas aimé : J’ai moins aimé ne pas retrouver ma sensation de comprendre de l’intérieur le système philosophique de Spinoza, alors que cela a été le cas avec Schopenhauer et Nietzsche dans les précédents ouvrages de Yalom. Si j’ai compris sa position concernant la religion, je n’ai pas d’éléments suffisants avec le livre de Yalom pour comprendre en quoi il est l’inventeur d’un éthique de la joie.

Note : 4/5
Marion