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Moi, Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée… – Christiane Felscherinow

Moi, Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée…Titre Original : Wir Kinder Vom Bahnhof Zoo
Genre :
 
biographie, littérature allemande
Auteur : Christiane Felscherinow
Année : 1978
Nombre de pages : 343

Résumé : Encore une histoire de banlieusarde, mais allemande cette fois-ci. Christiane commence son histoire avec ses derniers souvenirs de campagne, où ses parents lui faisaient rêver d’un monde meilleur, un immense appartement de banlieue, de la place, de l’argent à profusion. Et puis, la réalité, le choc. Sa famille qui part à vau-l’eau, la violence domestique, physique et psychologique. Les prémisses de l’adolescence. Les premières sorties. Le départ de la spirale infernale.

Ce que j’ai aimé : Le titre explicite, jamais vu un si beau spoiler. Je me souviens de ma découverte livresque comme si c’était hier. Une heure d’étude quelconque en début de collège, l’errance du regard le long des étagères et paf, explosion de l’oeil : j’ai un peu hésité – je prends, je prends pas, je prends, je prends pas. Je me suis décidée et le documentaliste m’a fait un grand sourire et un gros clin d’oeil en me disant « Tu ne vas pas le lâcher, une fois commencé ». Je crois que je ferais un billet rien que sur ce mec, je ne le remercierai jamais pour tous ses bons conseils de lecture. Effectivement, je ne l’ai jamais lâché. C’est une histoire d’adolescente, pour tous les adolescents, mais pas que… Ca rentre dans le détail, ça change des mièvreries habituelles (même pour des histoires trash) qu’on nous sort souvent à cette époque de notre vie. J’aime à diffuser ce livre à tous les adolescents ou jeunes adultes autour de moi, j’ai dû le racheter une dizaine de fois : une amie m’a même demandé en combien d’exemplaires je l’avais, parce qu’elle avait l’impression que je la rachetais à chaque fois qu’elle venait en librairie avec moi.
Ce que je n’ai pas aimé : Rien, c’était juste parfait.

Note : 5/5
DianaCagothe
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Livre

Une Vie – Simone Veil

Une VieTitre Original : Une Vie
Genre :
 
biographie, littérature française
Auteur : Simone Veil
Année :  2007
Nombre de pages : 416

Résumé : « Maupassant, Maupassant que j’aime, ne m’en voudra pas d’avoir emprunté le titre d’un de ses plus jolis romans pour décrire un parcours qui ne doit rien à la fiction »… Épigraphe de S.V. en tête de son autobiographie… Un des personnages politiques français les plus charismatiques nous raconte son parcours hors du commun. Simone Veil est évidemment connue pour avoir fait passer la loi autorisant l’avortement. Cet évènement marquant ne représente pourtant qu’un des nombreux accomplissements de sa vie! Administration pénitentiaire, Ministère de la Santé, Parlement européen, Conseil constitutionnel. Autant d’institutions où elle aura été souvent la première femme à œuvrer.

Ce que j’ai aimé : Personnellement, cette lecture m’a inspirée. J’aime quand elle dit à son mari que maintenant qu’il a un boulot stable et qu’il est papa de 3 gamins, et bien elle, elle va pouvoir travailler! Et même si son mari préfère qu’elle s’occupe des enfants et qu’elle prépare le dîner, et bien non Simone, elle tient bon!!! C’est très bien écrit et c’est touchant sans être larmoyant (S.V. a survécu aux camps de concentration). J’ai également beaucoup apprécié les discours en annexe.
Ce que je n’ai pas aimé : La lecture de ce livre m’a réellement fait prendre conscience de mon ignorance en politique…

Note : 5/5
DrTomate
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Autour du livre

[Télévision] Voyage au bout de la nuit

Voyage Au Bout De La Nuit

Dans la nuit noire et obscure, obscure et sombre, un OVNI télévisuel : Voyage au bout de la nuit. Je suis en direct live devant D8 (mais pour de sombres raisons éditoriales concernant le Triumvirat, quand vous lirez cet article, ce sera un autre moment; on s’en fout me direz vous, mais je vous évite ainsi un jeté de vous-même sur la zapette)
Le principe de cette émission, qui perdure depuis cinq ans déjà, est simple : un canapé, une bonasse, un livre. Voyage Au Bout De La Nuit 2Et ça se passe tous les jours de 3h à 6h (du matin, oui, oui) sur D8. Et vas-y que ça débite de la ligne en tranche. L’animatrice : une blonde à gros seins, perles aux lobes et robe grise à manches longues (pour le côté intello) mais courte sur pattes (pour le côté putassier). Caméra sur sa face, elle commence son émission par une petite présentation de l’auteur du jour. La pauvre, elle n’a même pas de prompteur, seulement une feuille A4 chiffonnée. Elle ne s’en sort finalement pas trop mal, voire plutôt bien.
Avant de commencer sa lecture, le plan devient large. L’animatrice se rend compte qu’on voit un peu trop de jambe, elle tire maladroitement sur sa robe, enchaîne sur un croisé-décroisé de jambes sharonstonien. Puis, elle prend son livre bien en main #ohoui. Le livre est lui recouvert d’une feuille blanche : cachez cet éditeur que je ne saurais voir. En effet, les lectures sont exclusivement des œuvres tombées dans le domaine pubis public.
Honnêtement, cette émission ne se regarde pas : on tombe dessus lorsqu’on rentre bourré de soirée ou lors de fatales insomnies (du brouillard dans la tête dans tous les cas). C’est le meilleur hypnotique que les dealers aient créé : tu es obligé de bloquer, comme un enfant à qui on lit une histoire avant d’aller dormir, ou sur la meuf que tu te taperas dans tes rêves à venir. En tout cas, ça détrône Histoires Naturelles sur TF1 : avouons-le, c’est meilleur que la chasse à courre.
Et puis, bon, c’est quand même couillu de mettre un tel programme à l’antenne, plutôt qu’une énième redif’ d’émission à paillettes et à cris. Et c’est bien meilleur que feu « Les mots de minuit » qui n’était vraiment pas regardable.
Je laisse le mot de la fin à Victoria, qui a repris goût à la lecture grâce à l’émission (huhu), et l’image de la fin à Nabilla (oui, oui, don’t hallucine), j’ai souffert pour elle.

DianaCagothe

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Hard – Raffaëla Anderson

HardGenre :  biographie, littérature française
Auteur : Raffaëla Anderson
Année :  2001
Nombre de pages : 220

Résumé : Raffaëla est une petite banlieusarde. Elle veut se faire un peu de pognon. Une annonce assez banale l’interpelle, elle appelle. C’est un petit bout de bonne femme, mais apparemment le physique importe peu. Raffaëla s’y rend : il s’agit d’un casting pour un film X. Elle est vierge, tant pis, elle perdra sa virginité sur le tournage. L’auteure nous raconte ses années dans le milieu, avec ses belles rencontres et ses plans foireux, le plaisir parfois pris, mais aussi les moments pénibles et douloureux. Raffaëla n’omet pas de nous raconter son viol, juste parce que des gars avaient reconnu l’actrice, et la manière dont elle s’est fait traiter par l’appareil judiciaire, en raison de son métier.

Ce que j’ai aimé : La plongée dans le milieu : sans concessions, sans complaisance, mais également sans aigreur. Le style d’écriture est cru, ce qui accentue le réalisme pour le lecteur.
Ce que je n’ai pas aimé : Rien, c’était parfait.

Note : 5/5
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Les scandales littéraires – Claire Julliard

Les Scandales LittérairesGenre : essai
Auteur : Claire Julliard, littérature française
Année :  2009
Nombre de pages : 78

Résumé : Pas facile de résumer un essai, hein? Le titre de l’essai est racoleur à souhait, j’ai donc craqué et me le suis offert. En plus, c’est un Librio, donc ça coûte que dalle (enfin, 3 euros, quand même…) et au pire, ça se jette aux orties.
Claire Julliard va nous raconter le monde de la littérature et de l’édition, surtout en France. Elle commence par nous raconter les grandes erreurs de l’édition, comme Gide qui laisse filer Proust. Ensuite, Claire nous en raconte des vertes et des pas mûres sur les prix littéraires. Nous en apprendrons aussi pas mal sur la facétie et le rocambolesque de certains auteurs, comme Agatha Christie, qui organise une disparation très médiatisée et mystérieuse, ou Jean-Edern Hallier, qui tente la même, mais avec un résultat beaucoup plus pathétique. On en apprend aussi un peu plus sur les relations entre nègres et auteurs.

Ce que j’ai aimé : C’est une mine à potins! C’est aussi le bouquin idéal à emmener en salle d’attente chez ton médecin préféré, parce qu’il ne nécessite pas une concentration extrême. En plus, ça te remontera un peu le moral si tu ne vas pas très bien (c’est pour ça que tu es chez le toubib, non?) parce que tu te marres, quand même!
Ce que je n’ai pas aimé : Le prix, j’ai trouvé que c’était un peu cher pour du Librio.

Note : 5/5
DianaCagothe
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L’empire caché – Saga des sept soleils 1 – Kevin J. Anderson

lempirecacheTitre Original : Hidden Empire
Genre :
  
roman, science-fiction, space opéra, littérature américaine
Auteur : Kevin J. Anderson
Année : 2002
Nombre de pages : 670

Résumé : L’histoire commence par une expérience réalisée par la race humaine : transformer une géante gazeuse en soleil grâce à un trou noir afin de terraformer ses lunes pour y habiter (fastoche quoi).On découvre les races / factions de l’univers : des humains (classique), les humains à la peau verte (déclinaison de la race précédente sauf qu’il kiffent les arbres, un peu style les elfes), les Vagabonds (les clodos de l’histoire mais ils sont quand même hyper cools), les Ildirans (des vrais extraterrestres à la Star Trek) et les Klikiss (des robots intelligents mais on sait pas trop d’où ils viennent et eux non plus d’ailleurs).
Dans chaque race, on a plusieurs protagonistes, ce qui fait grave du monde dans l’histoire mais l’auteur a plutôt bien géré ce point parce que les chapitres sont courts et ne mettent en scène qu’un seul personnage principal – Le titre du chapitre est d’ailleurs celui du personnage du chapitre.
L’univers et ce qu’il s’y passe est assez classique du space opéra : du commerce, de la politique et de l’exploration. Malheureusement, les scènes de guerre sont trop peu nombreuses à mon gout, même si les combats sont joués d’avance, j’aurais aimé un peu plus de feu de l’action et me régaler avec de la tôle de vaisseau spatial froissée.
Dans l’ensemble, j’ai plutôt bien aimé, on ne se lasse pas du bouquin, chaque chapitre raconte son histoire et la multiplicité des protagonistes et donc des chapitres et donc des histoires reste lisible malgré tout. Le pavé de 670 pages se termine avec une envie de lire le deuxième opus donc pari gagné pour Kevin qui semble t-il n’a pas que des amis dans l’univers impitoyable du best-seller SF.
Ce que j’ai aimé : L’univers, le thème, le scénario
Ce que je n’ai pas aimé : Vous le savez, je n’aime pas les pavés (Pavé pour moi = plus de 400 pages), c’est quand même long 670 pages, il aurait pu ne pas faire figurer certains chapitres sans importance et faire moins de pages. Pour moi un auteur qui n’arrive pas à faire tenir son histoire dans 400 pages, il a du mal à tenir le lecteur en haleine. Bon, la ça passe mais c’est un peu limite.

Note : 3/5
Tristan

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Malevil – Robert Merle

MalevilTitre Original : Malevil
Genre : 
Roman, Aventures, Post-apocalyptique, littérature française
Auteur : Robert Merle
Année :  1972
Nombre de pages : 490

Résumé : Quelque part en France, en 1977… Il se passe un truc apocalyptique : je dis bien « truc apocalyptique » parce que nous ne saurons jamais ce qu’il est réellement advenu. Quelques hommes et une femme survivent : ils étaient en train de tirer le vin dans la cave du château de Malevil, lui même protégé par sa position géographique à côté d’une falaise. En sortant, ils voient que le paysage à perte de vue est en train de brûler, le ciel restant gris. Ils doivent alors s’organiser pour survivre dans ce nouveau monde.

Ce que j’ai aimé : Le procédé narratif. Le narrateur est le propriétaire du château, mais ses écrits sont quelques fois commentés par Thomas, un autre occupant du château. J’ai aussi aimé la réflexion menée par le narrateur sur les changements sociétaux nécessaires suite à un tel événement. Je n’ai pas pu m’arrêter sur les 150 dernières pages.
Ce que je n’ai pas aimé : Le côté « roman du terroir » m’a un peu dérouté au début.

Note : 5/5
DianaCagothe
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Le livre du voyage – Bernard Werber

Titre Original : Le livre du voyage
Genre :
 « OVNI » c’est un style littéraire ?
Auteur : Bernard Werber
Année :  1997
Nombre de pages : 66

Résumé : Il est tard, vous rentrez du boulot et vous tombez par hasard sur ce petit bouquin intitulé « Le livre du voyage ». Un feuilletage plus tard, toujours impossible à décrypter en diagonale, bon, il n’est pas long, je le commence maintenant et je le terminerais demain matin avant d’aller au taf – au même endroit où je l’ai laissé … sauf que vous allez y passer une heure aux petits coins, parce que vous ne pourrez pas décrocher du bouquin.
L’histoire est celle du lecteur qui devient un oiseau et qui va voyager dans plusieurs mondes : celui de l’air, celui de la terre, celui du feu et celui de l’eau. Dans ce voyage, le livre est soit un guide, soit un compagnon. Le guide nous immerge dans une trame scénaristique pendant que le compagnon nous aide à répondre aux questions posées. Ces réponses ne peuvent en effet pas être données par l’auteur car elle nous sont propres : le voyage est initiatique et embrasse un certain nombre de thèmes comme la peur, la mort, la malchance, le système, …
Alors si il y a bien un livre des WC c’est celui la : 66 pages, juste de quoi traîner une toute petite heure aux petits coins. L’auteur nous emmène dans un voyage et la seule chose que le lecteur ait à faire est de se laisser porter. On réfléchit aux thèmes posés. L’auteur, de son côté essaye de rester spectateur de nos réponses et nous endoctrine un peu mais pas trop de réponses toutes faîtes. On est la dans un univers complètement Werberien, avec un mélange de fantastique, d’onirique et aussi bien réel par les mises en situation.

Ce que Tristan a aimé : L’idée du bouquin, le côté ovni.

Ce que Tristan a moins aimé : Difficile de trouver un point noir au livre, soit on adore, soit on déteste, je suis tombé dans la première catégorie.

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La patrouille du temps – La patrouille du temps 1 – Poul Anderson

lapatrouilledutempsTitre Original : Guardians of time
Genre :
  roman, science-fiction
, time opera, littérature américaine
Auteur : Poul Anderson
Année :  1960
Nombre de pages : 288

Résumé : C’est l’histoire de Manse Everard qui trouve un taf de « patrouilleur du temps », le style de taf hyper secret qui ne se trouve pas à tous les coins de rue. L’idée est simple, le voyage dans le temps a été découvert dans un futur très lointain et dans ce job, Manse doit faire en sorte qu’aucune modification du passé n’arrive afin de préserver le futur. Pour chacune de ces quatre nouvelles, Manse est transporté dans une autre époque avec un collègue à lui , il analyse la situation, se retrouve piégé, emprisonné, bref en difficulté et par une pirouette, retrouve son vélo à voyager dans le temps et parvient enfin à ses fins.
A l’instar du Doctor Who, on a plusieurs nouvelles qui mettent en scène le héros dans différentes époques du temps et qui a une mission à remplir à chaque fois. L’auteur écrit plutôt bien même si l’organisation du bouquin laisse à désirer : les chapitres sont très longs, il est donc un peu difficile de saisir le rythme de l’histoire.
Autant vous prévenir, je suis fan de science fiction alors quand j’attaque un bouquin, c’est ce que j’attends. Et là, je déchante, l’univers n’a rien à voir avec cela. Le time opéra n’est qu’une simple succession de nouvelles à des époques différentes. Les questions relatives aux paradoxes sont écartées et le voyage dans le temps en lui-même n’est pas techniquement expliqué. Ces histoires sont divertissantes pour un amateur de nouvelles d’aventures, mais pas vraiment de science-fiction dedans à mon gout. A réserver à quelqu’un qui veut se mettre à la SF mais qui n’ose pas trop de peur de tomber dans quelque chose de trop technique.
Ce que j’ai aimé : la clarté du bouquin, la facilité de lecture
Ce que je n’ai pas aimé : peu crédible car l’auteur évince d’entrée de jeu la technique du voyage dans le temps ainsi que les problématiques inhérentes au voyage dans le temps (paradoxes, …).

Note : 2/5

Tristan

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La voix des morts – Le Cycle d'Ender 2 – Orson Scott Card

lavoixdesmortsTitre Original : Speaker for the Dead
Genre :
  romanscience-fiction, planet opéra, littérature américaine
Auteur : Orson Scott Card
Année :  1986
Nombre de pages : 464
Résumé : La Stratégie Ender avalée, une décision s’imposait : continuer le Cycle d’Ender à fond les ballons. Et la, le drame : le petit bout de chou à 35 ans, il débarque sur une planète et va y rester jusqu’à la fin, le space opéra du premier opus se transforme en science fiction werberienne mais du Werber, il n’y a que Werber qui sache le faire.
Ender est maintenant une sorte de prêtre / détective / juge, dans le bouquin on appelle ça un porte parole des morts. Il débarque donc sur la planète Lusitania pour enquêter sur la mort d’un gus qui s’est fait découper par des extraterrestres qui ressemblent un peu aux humains. Il se rend vite compte que ça ne va pas être du gâteau parce qu’un secret très secret permettrait de démêler le sac de nœuds mais que si on découvre ce secret on meurt.
L’univers dans lequel nous plonge l’auteur est plutôt beau, la planète nous est décrite avec des détails qui nourrissent correctement l’intrigue, les protagonistes nous apparaissent avec des personnalités crédibles également.
Le thème de la colonisation est décortiqué, l’auteur nous transmet un point de vue qui est que chacun doit rester à sa place en respectant les coutumes des autres sans pour autant être hypocrite et prendre les colonisés pour des barbares demeurés.
L’intrigue marche bien, ça tient la route, et toujours aussi bien écrit que le précédent. Je ne vais ceci dit pas me ruer sur le troisième opus ayant un peu été déçu par celui la.
Ce que j’ai aimé : L’univers, l’intrigue.
Ce que je n’ai pas aimé : Ne pas avoir ce qui m’a fasciné dans le bouquin précédent à savoir un space opéra magistral et mon petit bonhomme auquel je me suis attaché.
Note : 3/5Tristan