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Knock – Jules Romains

KnockTitre Original : Knock
Genre :
 
théâtre, humour, littérature française
Auteur : Jules Romains
Année :  1920
Nombre de pages : 152

Résumé : Le Docteur Parpalaid, c’est un toubib qui n’en glande pas une ou presque. Sa patientèle est donc, on ne peut plus autonome, même si dans le coin, il n’y a pas l’air d’y avoir de rebouteux ou de sorcière. Bref, le Parpalaid, il essaie quand même d’enrober sa belle affaire comme un oeuf de Pâques pour la refourguer au Docteur Knock. Ne Pimp My Ride pas qui veut, le Knock, il sent le coup foireux, mais il a de la suite dans les idées et le sens du business. Il commence à se maquer avec le pharmacien, lance une consultation gratuite. Forcément, ça ramène du monde qui ne demande que ça, raconter sa misère. Il est tellement à l’écoute, que parfois même, ça en lance plus d’un à avoir la vocation de la maladie.
« LE TAMBOUR – Quand j’ai dîné, il y a des fois que je sens une espèce de démangeaison ici. Ça me chatouille, ou plutôt ça me gratouille.
KNOCK – Attention. Ne confondons pas. Est-ce que ça vous chatouille, ou est-ce que ça vous. gratouille
LE TAMBOUR – Ça me gratouille. Mais ça me chatouille bien un peu aussi…
KNOCK – Est-ce que ça ne vous gratouille pas davantage quand vous avec mangé de la tête de veau à la vinaigrette ?
LE TAMBOUR – Je n’en mange jamais. Mais il me semble que si j’en mangeais, effectivement, çà me gratouillerait plus. »

Ce que j’ai aimé : Je suis retombée sur cette œuvre, que j’avais complètement oublié de l’intérieur, même si je me souviens d’y avoir passé quelques cours de français bien endiablés au collège. Et cette pièce est non seulement très drôle, avec des personnages bien bourrus et hyper bien dessinés, mais en plus son thème est très contemporain. Knock fait son fond de commerce sur la « peur maîtrisée » : ses clients vivaient très bien avant son arrivée, mais d’un coup, ils se découvrent des maladies qui ne les handicapent pas encore, mais qu’il faut surveiller comme de l’huile sur le feu. Et franchement, quand tu te promènes sur les internettes modernes avec un peu de recul, finalement en un siècle, ça n’a pas tellement bougé. Évidemment, parallèlement à cette lecture, vous conseille de vous taper l’intégrale du Pharmachien. Et d’emmener ce bouquin à votre prochaine consultation : il se lit très vite, et sera du plus bel effet dans la salle d’attente.
Ce que je n’ai pas aimé : Même si le thème reste très actuel, faut pas se leurrer, ça a un peu vieilli quand même.

Note : 3/5
DianaCagothe
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Lettre au père – Franz Kafka

lettre au pèreTitre Original : Brief an den Vater
Genre :
 
biographie, littérature tchèque
Auteur : Franz Kafka
Année :  1952
Nombre de pages : 112

Résumé : L’auteur écrit une lettre qu’il n’enverra jamais à son père. Il revient sur ses années d’enfance : comment il admirait et haïssait ce père autoritaire, qui a fait de lui un être chétif, peu sûr de lui.

Ce que j’ai aimé : Ca se lit très vite, c’est plutôt bien écrit. Kafka écrit à son père mais pour nous tous. Ce qui fait que l’on s’imagine assez bien le personnage.
Ce que je n’ai pas aimé : La lecture, c’est quand même deux heures de torture. Ok, c’est très bien que Kafka ait réussi à sortir tout ce vomi qui était à l’intérieur de lui, mais j’ai observé ceci avec un peu de distance. Du coup, j’ai eu l’impression d’assister à un lavage de linge sale en famille. Je me suis sentie gênée. Surtout parce que ce père n’a jamais reçu cette lettre. A réserver à ceux qui veulent vraiment en savoir plus avec Kafka ou qui ont un truc à régler avec papa.

Note : 1/5
DianaCagothe
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Les Justes – Albert Camus

Les JustesTitre Original : Les Justes
Genre :
 
théâtre, littérature française
Auteur : Albert Camus
Année :  1949
Nombre de pages : 150

Résumé : 1905, dans un appartement Moscovite, un groupe de terroristes révolutionnaire se prépare à tuer le grand-duc lors d’une soirée au théâtre. Ils peaufinent les derniers détails qui jettera chacune des bombes et le timing. Au dernier moment, Kaliayev se débine, parce qu’il croise le regard des neveux du grand-duc.
L’attentat est reporté et finit par réussir deux jours plus tard. Kaliayev est arrêté puis pendu.

Ce que j’ai aimé : Il s’agissait pour moi moi d’une relecture, la première fois ayant eu lieu dans le cadre scolaire. Dans mes yeux d’adolescente, j’avais adoré tout ce romanesque : engager sa vie pour une cause, la révolution pour la fin de la noblesse, l’amour impossible, des personnages marqués et tranchés.
Ce que je n’ai pas aimé : Ma relecture avec mes yeux d’adulte m’a mise très mal à l’aise. Ironie du sort, j’avais mis ce bouquin dans mon sac à main le jour des attentats de Bruxelles. Dans le contexte actuel, plein de choses se sont bousculées dans ma tête. J’ai presque trouvé l’oeuvre déplacée, hors de propos. Alors qu’elle joue son rôle, elle incite d’autant plus à la réflexion.

Note : 3/5
DianaCagothe
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La Route – Cormac McCarthy

la routeTitre Original : The Road
Genre :
 
roman, post-apocalyptique, science-fiction, littérature américaine
Auteur : Cormac McCarthy
Année :  2006
Nombre de pages : 251

Résumé : Post-apo oblige, on est dans un monde dévasté. On ne sait pas vraiment bien ce qu’il s’est passé, mais c’est moche : tout ou presque a brûlé, le ciel est constamment gris, les animaux semblent avoir disparu. Un homme et son fils chargés d’un caddie et de maigres possessions tentent de rallier la mer, pour rallier une hypothétique parcelle de terre habitable. Ils survivent des boîtes de conserve qu’ils trouvent dans les maisons abandonnées.
Ils esquivent le plus possible les autres êtres humains, ou ce qu’il reste de l’humanité. C’est la loi du plus fort et sans nourriture l’humanité en est réduite au cannibalisme. Le père tente d’élever son fils non pas dans l’espoir d’un monde meilleur, mais plutôt pour qu’il garde le souvenir du monde passé.

Ce que j’ai aimé : La couverture scandaleusement pailletée : je peux vous dire que dans les transports en commun, ça a plutôt fait un effet wouahou. Ce bouquin fait affreusement réfléchir sur la condition humaine, le sens de la vie, la mort, l’existence…
Ce que je n’ai pas aimé : La couverture scandaleusement pailletée : mais pourquoi alors que c’est le bouquin le plus glauque au monde? On appelle ça le défaut de la qualité, on va dire. Pour être glauque, il est glauque. Il ne faut pas s’attendre à un Walking Dead alternatif, ou bien à un Malevil. Il ne se passe pas grand chose et en plus l’écriture est un peu horrible, épurée voire dépouillée, comme le monde, mais pénible… Bref, à ne pas lire si vous n’avez pas trop le moral…

Note : 2/5
DianaCagothe
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Chanel m'a dit… – Lilou Marquand

chanel m'a ditTitre Original : Chanel m’a dit…
Genre :
 
biographie, littérature française
Auteur : Lilou Marquand
Année :  1990
Nombre de pages : 163

Résumé : Lilou Marquand, fan absolulu de Mademoiselle Coco, s’endette un jour pour s’acheter quelques tailleurs de la dame. Elle va se planter devant la boutique pendant quelques jours, jusqu’à se faire remarquer. Chanel l’engage d’abord comme RP, puis finit par en faire son assistante/bras droit/exutoire.
C’est donc à travers le regard de l’auteur qu’on va découvrir le petit quotidien de cette grande dame bien fantasque tout au long des années où elle l’a accompagnée, jusqu’à la fin.

Ce que j’ai aimé : Ça se lit vite et au milieu, il y a des photos. (Tu le sens le kif?)
Ce que je n’ai pas aimé : Bon, j’avoue, au départ, je n’étais pas hyper emballée par le sujet. La mode ça me passionne pas, et bon, le tailleur Chanel, ça reste très étrange pour moi. En ce qui concerne l’écriture, bon ça n’est pas un style littéraire très prenant.
J’ai particulièrement détesté le regard de l’auteur : pseudo-fan mais hyper critique et un peu gratuitement. Chanel est un mythe, à quoi ça sert de nous raconter qu’elle est un génie et que donc elle n’a que peu de prise avec la réalité? Ça me paraît assez lié. Lilou Marquand chouine beaucoup sur le fait qu’elle avait une vie impossible à côté de la grande dame, pleine d’horaires au boulot, pleine de délires de la vieille. Du coup, on passe plus de temps

Note : 1/5
DianaCagothe
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Millénium – Stieg Larsson

MilléniumTitre Original : Millenium
Genre :
 
 roman, polar, littérature suédoise
Auteur : Stieg Larsson
Année :  2007
Nombre de pages : 2378

Résumé : Pour le premier tome, Les Hommes qui n’aimaient pas les femmes, deux personnages vont se retrouver à enquêter sur une disparition vieille d’une quarantaine d’années. D’abord, Mikael Blomkvist, ex-journaliste star déchu après un papier mal fichu sur un magnat industriel. Ensuite, Lisbeth Salander, une femelette anorexique, qui parait avoir dix ans de moins que son âge, un peu Goth sur les bords, complètement asociale mais qui a de la ressource. Un autre vieux magnat de l’industrie les embauche pour enquêter sur la mort de sa nièce. Les deux futurs acolytes vont tomber sur un sacré sac de nœuds : famille/meurtres/business, un combo explosif.
Au début du deuxième tome, Super Blomkvist et Lisbeth Salander ne sont plus en contact, le temps a passé. Les deux derniers tomes se concentrent surtout sur l’histoire de Lisbeth. Elle est accusée du meurtre de Dag Svensson, un nouveau collaborateur de Millénium et de sa femme. Le journaliste était sur le point d’achever une grosse enquête à scandale au sujet de la prostitution : nombre de personnes « bien placées » pourraient être amenées à tomber. Super Blomkvist a un peu du mal à croire à la théorie de la police sur la culpabilité de Lisbeth, alors que l’arme du crime porte ses empreintes et que son tuteur, Nils Bjurman, est lui aussi retrouvé mort, la même nuit que les autres.
L’enquête va se poursuivre le long du troisième tome également. On va découvrir que l’histoire de Lisbeth est intimement liée à un gros scandale d’état, impliquant une partie de la Sapö, le service des renseignements. Blomkvist va enquêter pour blanchir son amie, au risque de sa réputation et aussi sa vie.

Ce que j’ai aimé : Moi qui ne suis pas une très grande fan de polars, j’ai compris pourquoi cette trilogie a été un succès mondial. Il ne faut pas avoir peur de plonger dans les plus de deux milles pages du cycle. Comme j’aime assez rester longtemps dans des univers, je me suis sentie comme un poisson dans l’eau. L’écriture de Stieg Larsson est très détaillée, il aime à nous faire visualiser les scènes comme au microscope. Toutefois, l’action n’en pâtit pas du tout, parce qu’il se passe plein de choses tout le temps et le rythme est assez effréné malgré la longueur des pages. L’auteur a trouvé le bon combo pour happer l’imagination et l’attention. Chaque fois qu’on ferme les bouquins pour reprendre une vie normale, on est un peu déchiré.
Cette œuvre a quelque peu changé ma vision du polar, pour une fois, j’ai l’impression qu’on n’a pas eu de gros persos bien stéréotypés sortis de sous les fagots. C’est frais et sombre à la fois. N’hésitez pas à vous jeter dedans. Mais si vous êtes amateurs de café, préparez les cafetières et les thermos. Non seulement les personnages n’arrêtent pas d’en boire, ce qui met l’eau à la bouche, mais vous n’aurez plus envie de dormir tant que vous ne serez pas arrivé au bout au moins du premier tome.

Ce que je n’ai pas aimé : Que la saga se fasse continuer après la mort de l’auteur, alors que ça aurait pu se terminer comme ici. Mais on verra plus tard pour la suite.

Note : 5/5
DianaCagothe
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Route de la gloire – Robert A. Heinlein

Route de la gloireTitre Original : Glory Road
Genre :
 
roman, science-fiction, fantasy, littérature américaine
Auteur : Robert A. Heinlein
Année :  1963
Nombre de pages : 352

Résumé : Oscar, soldat démobilisé du Vietnam, fait un petit tour en Europe pour kiffer un peu la vibz. En goguette sur l’île du Levant, il rencontre une petite nénette, qui a l’air physiquement et intellectuellement pas mal. Tant et si bien qu’il est carrément étonné qu’elle s’intéresse à lui. Il la retrouve quelque temps plus tard, en répondant à une petite annonce pour un job. Elle est toubib et se propose de l’embarquer pour une grande aventure.
Là, le roman bascule totalement, un peu à la « Une nuit en Enfer« . En fait, la gonzesse se révèle être Star, impératrice des 20 Univers, et elle va le transporter dans des mondes parallèles pour qu’il l’aide à accomplir sa quête : retrouver un oeuf de Phénix. Oscar va se retrouver dans sdes tas de situations rocambolesques à essayer de survivre au milieu de créatures fantasques.

Ce que j’ai aimé : La partie « réaliste » : j’ai eu l’impression de partager un peu de la vie de François Pignon.
Ce que je n’ai pas aimé : Je me suis perdue assez vite. Le côté burlesque était trop omniprésent, ça partait tellement dans tous les sens, que j’ai souvent perdu le fil. Terminer ce roman a été une épreuve de longue haleine. Décidément, nous restons un peu hermétiques à Heinlein ici.

Note : 1/5
DianaCagothe
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Tristan et Iseut

Tristan et IseutTitre Original : Tristan et Iseut
Genre :  roman, courtois
Auteur : Anonyme
Année :  inconnue
Nombre de pages : 154

Résumé : Hashtag ma vie est trollambolesque. Tristan, le neveu du roi Marc, vaillant guerrier, fait la nique à Morholt, un bon gros chevalier qui rackette le royaume. Il se fait soigner par la nièce, Iseut, qui le déteste, mais, comme il a vraiment tué un dragon, elle le préfère à un escroc pour épousailles. Sauf que Tristan veut la ramener à Marc, à qui elle doit se marier pour engendrer de la progéniture sinon les barons vont faire la nique à Tristan, parce qu’ils ne veulent pas qu’il hérite. La mère d’Iseut, pour que sa fille soit heureuse en ménage, file une popo à Brangien, la suivante qui accompagne Iseut, pour que les futurs époux s’aiment d’amour et d’eau fraîche et passent une nuit de noces youmpala. Sauf qu’une bleu-bite sur le bateau file la popo à Tristan et à Iseut. Et là, c’est le drame. Evidemment, leur amour est plus fort que tout, mais triplement maudit car ne pourra jamais être vécu au grand jour. Oui, mon histoire est décousue, mais je suis sûre que tout le monde connaissait à peu près le pitch.

Ce que j’ai aimé : C’est une histoire d’amour FAN-TAS-TIQUE.
Ce que je n’ai pas aimé : Enfin, c’est ce que j’en avais pensé à ma première lecture, quand j’étais vraiment une jeune fille à peine pubère. Aujourd’hui, avec mon recul de vieille, c’est une toute autre histoire. C’est une bonne vieille telenovela, intrigue et compagnie. Les amants m’ont paru beaucoup moins charmants à essayer de prendre tout leur monde pour des cons. Bref, à lire absolument à l’âge de 12/13 ans, passé cela, on devient trop cynique pour se laisser emporter par ce classique.

Note : 1/5
DianaCagothe
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Alex – Verhaegen 2 – Pierre Lemaître

AlexTitre Original : Alex
Genre :
 
 roman, policier, littérature française
Auteur : Pierre Lemaitre
Année : 2011
Nombre de pages : 400

Résumé : Alex est une fille qui aime à changer de style. Elle affectionne particulièrement les perruques. Je ne dirais pas qu’elle a de multiples personnalités, non, juste une envie de s’amuser. Devant une vitrine, elle s’aperçoit qu’un mec la regarde avec insistance. C’est marrant, sa tête lui dit quelque chose… Elle s’en souvient maintenant, elle l’a eu en face d’elle dans le métro. Sûrement un mec un peu plus relou que les autres. Tant pis…
En rentrant chez elle, le type l’agresse, la fait monter de force dans une camionnette et l’embarque dans un entrepôt désaffecté de la banlieue. Alex s’attend à tout, le viol, la torture, la mort. Pourquoi elle? Parce que c’est elle et qu’il veut la voir crever. Il l’enferme dans une fillette : une cage où elle ne pourra jamais se déplier correctement, la suspend au plafond, la nourrit de croquettes pour animaux et la laisse en compagnie de gros rats d’égouts.

Ce que j’ai aimé : Sous son apparence de bon gros pitch bien classique, ce petit bouquin est très surprenant. Tout d’abord, il est divisé en trois actes où la victime devient bourreau puis victime, mais d’une manière très originale et inattendue. Du coup, le bon gros manichéisme des familles en prend un coup derrière le ciboulot. Et moi ça j’aime bien, les cinquante nuances de gris. Au final, c’est la justice qui triomphe, mais de quel point de vue?
Ce que je n’ai pas aimé : Les flics hyper stéréotypés. Ok, l’auteur se sert des ficelles du genre pour les nouer et les dénouer à sa guise, le résultat est sympa, mais ça donne quand même un côté lassant avant que l’intrigue se mette complètement en place. Et pour rentrer dans l’histoire, c’est chiant.

Note : 3/5
DianaCagothe
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Les Chroniques de San Francisco – Armistead Maupin

Chroniques de San Francisco
Titre Original : Tales of the City
Genre :
 
Roman
Auteur : Armistead Maupin
Année :  1978
Nombre de pages : 380

Résumé : Ça se passe dans les 70’s. Mary-Ann en a marre de sa ville natale moisie. Elle part à San Francisco (la traduction du titre est carrément le spoil des 3 premières pages, une honte) et emménage chez Mme Madrigal. Nous allons suivre la petite vie de cette maisonnée, entre petits boulots, histoires d’amour château-branlants, soirées homo et réception mondaines.

 
Ce que j’ai aimé : ça se lit facilement, ça n’oblige pas à une réflexion ultra compliquée. C’est un peu le livre du dimanche après midi pendant la sieste de ton chéri. J’ai bien aimé Mme Madrigal qui gère sa maison comme une bonne petite famille et qui offre un joint aux nouveaux arrivés.
Ce que je n’ai pas aimé : Ben, je me suis ennuyé (comme un dimanche après midi quand ton chéri fait la sieste) et je n’ai pas compris l’engouement de plusieurs personnes de mon entourage pour ce bouquin (je les invite à venir le chroniquer ici). Je sais qu’il y a une foultitude de suite mais j’ai pas assez de foi pour les lire. Je m’arrêterai là. Je pense que les romans feuilleton, c’est pas trop ma tasse de tisane.

 
Note : 2 sur 5
Kwaite